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Hongrie : Le Maroc met le Polisario en «échec et mat»

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Temps de lecture: 1'

Le Maroc a réussi à exclure le Polisario de la Confédération Africaine des Echecs, lors d'une réunion de la CAE tenue en marge du congrès de la Fédération Internationale des Echecs (FIDE), organisé du 20 au 22 septembre à Budapest en Hongrie, a affirmé, dans des déclarations à Yabiladi, la présidente de la Fédération Royale Marocaine des Echecs, Mme Kadiri Bouchra.

Des efforts ont été déployés pour convaincre les pays africains pour exclure le Polisario, ancien membre de la CAF, et ce depuis 2019. Le siège de cette organisation continentale est, d’ailleurs, basé à Alger. Son président, Lakhdar Mazouz, est un Algérien. Fort de cet appui, le Polisario est toujours invité aux compétitions organisées en Algérie. En témoigne sa partcipation au tournoi qui a eu lieu à Jijel du 25 au 30 janvier 2024.

L’exclusion du Polisario de la CAE a été suivie d’un autre revers. Avant le début du congrès, l’Algérie avait préparé le terrain pour une admission du Polisario au sein de la Fédération internationale des Echecs. Apres presque 24 heures de négociations dans les coulisses, la demande algérienne a été rejetée dimanche.

Si les médias du Polisario avaient célébré l’adhésion à la Confédération Africaine des Echecs, ils ont passé sous silence l'échec au congrès de la FIDE en Hongrie.

Eamses
Date : le 26 septembre 2024 à 20h53
Il n'a pas enseigné à Léonard de Vinci, mais effectivement, il a bien enseigné à Leonardo Fibonacci, qui a appris les mathématiques à Béjaïa, en Algérie, où il a découvert les chiffres actuels qu'il a importés en Italie pour les utiliser à la place des chiffres romains. C'est également lui qui a découvert la suite de Fibonacci ainsi que ce qui est aujourd'hui appelé le nombre d'or.
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"espérons " à écrit:
Ramsès Demande a ton architecte ALMURADIA celui qui a vécu 18 siècles qui a construit la muraille de Chine et a enseigné a DE VINCI CE QUI IL EN PENSE
espérons
Date : le 24 septembre 2024 à 15h50
Ramsès Demande a ton architecte ALMURADIA celui qui a vécu 18 siècles qui a construit la muraille de Chine et a enseigné a DE VINCI CE QUI IL EN PENSE
GreenLemon
Date : le 24 septembre 2024 à 11h51
Salem Alikoum. Petite question , pourquoi des Algériens parviennent à commenter sur un site dédié aux Marocains et à l'actualité Marocaine. Je ne dis pas qu'il n'ont pas le droit ! Mais aller sur leur site et vous serez recu avec des insultes et vos commentaires effacé sans même avoir été insultant. Sincèrement ils seraient peut être temps de commencer à réagir et ee les bannir, mieux vaut tard que jamais à bon entendeur.
Dernière modification le 24/09/2024 11:51
HopeFloats
Date : le 24 septembre 2024 à 10h22
Déjà le polisario siège illégalement à l'UA parce qu'il ne remplit pas les conditions exigées pour être membre de cette organisation continentale, tout le monde sait comment le membership de cette entité a été forcé par l'Algérie et sa clique en enfreignant la Charte de l'UA. Donc, le polisario n'a pas sa place ni dans une Organisation politique ni dans une Confédération sportive et il est expulsable avant même d'entamer des procédures.
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Eamses à écrit:
Il semble qu'il existe des contradictions possibles en termes de procédures légales, de neutralité sportive et de respect des droits des entités membres dans ce texte. Le fait d’exclure une organisation pour des raisons politiques, dans un cadre qui devrait être apolitique, pourrait soulever des questions quant à la légitimité de cette décision. Voici quelques points de contradiction potentiels : Manque de transparence des procédures : Les organisations sportives internationales, comme la FIDE ou la CAE, ont généralement des procédures très claires et transparentes pour l'admission ou l'exclusion de membres. Si une entité comme le Polisario était un membre actif de la CAE depuis 2019, il est nécessaire que toute décision d'exclusion suive un cadre procédural respectant les statuts de l'organisation. Le texte ne mentionne pas si cette exclusion a suivi un vote, une consultation des membres ou une décision unilatérale, ce qui pourrait être en contradiction avec les règles de gouvernance de la CAE. Violation de la neutralité sportive : Les instances sportives sont censées rester neutres face aux enjeux politiques. Si des pressions politiques ont effectivement été exercées, comme le texte le suggère, pour exclure une entité pour des raisons qui ne sont pas purement sportives, cela pourrait contrevenir aux principes de neutralité de la FIDE et de la CAE. Utiliser la sphère sportive pour atteindre des objectifs politiques pourrait également être considéré comme une violation des règles éthiques de la FIDE. Droits des entités à participer : Si le Polisario était un membre régulier et actif de la CAE, son exclusion sans raison légitime, ou à cause de pressions externes, pourrait être perçue comme une violation de ses droits en tant que membre de l'organisation. Cela soulève aussi la question de la légalité d'une telle exclusion si elle n'est pas justifiée par des manquements aux règles sportives ou éthiques de la CAE. La dimension politique de l'exclusion : Le texte mentionne une opposition politique entre le Maroc et l'Algérie, impliquant des pressions pour exclure le Polisario. Or, dans un contexte international, la FIDE, en tant qu'organisation mondiale, doit respecter des critères objectifs pour accepter ou refuser des membres. Si la demande algérienne pour l'inclusion du Polisario à la FIDE a été rejetée, cela devrait être basé sur des critères réglementaires, non sur des considérations politiques. Le rôle de l'Algérie et du Maroc : La mention de l’Algérie qui "prépare le terrain" pour l'adhésion du Polisario à la FIDE semble souligner une dimension politique à une question sportive. Toutefois, toute entité, qu'elle soit gouvernementale ou non, a le droit de soumettre une demande à la FIDE, qui doit être traitée selon ses règles. L’échec de cette démarche, s’il est motivé par des pressions politiques plutôt que par une évaluation des critères sportifs et organisationnels, pourrait constituer une entorse aux principes de l’indépendance sportive internationale.
gustavo321
Date : le 24 septembre 2024 à 03h34
Ramsès, Ramsès! .... Comment fais-tu donc pour écrire autant, pour accoucher de tels pavés, sans parvenir a exprimer une idée claire et cohérente? Tu es et tu restera pour moi toujours une énigme! ... Les choses sont si simples et limpides pourtant: le Polizbel, entité terroriste créée de toute pièce par le duo Kadhafi/Boukharrouba au début, et entretenue depuis et à ce jours par votre junte, a coups de milliards de dollars (pendant que les algériens font la queue pour le lait en poudre et le smid!), n'est en aucun cas une entité dotée des attributs et prérogatives d'un État, et n'est pas reconnue par les Nations-Unies en tant que représentante d'un État doté de tels attributs, et de ce fait, ne peut être affiliée à la Fédération des jeux d'échecs. C'est la même logique qui sera promue et mise en œuvre pour la sortie, imminente, des mercenaires d'Alger de l'Union Africaine, et de toutes les instances internationales. Ramsès, tu devrais plutôt te préoccuper de la chute inquiétante et brutale du dinar algérien, et du naufrage en cours de l'économie de ton pays, aggravé et précipité par la chute des cours du pétrole ...
Citation
Eamses à écrit:
Il semble qu'il existe des contradictions possibles en termes de procédures légales, de neutralité sportive et de respect des droits des entités membres dans ce texte. Le fait d’exclure une organisation pour des raisons politiques, dans un cadre qui devrait être apolitique, pourrait soulever des questions quant à la légitimité de cette décision. Voici quelques points de contradiction potentiels : Manque de transparence des procédures : Les organisations sportives internationales, comme la FIDE ou la CAE, ont généralement des procédures très claires et transparentes pour l'admission ou l'exclusion de membres. Si une entité comme le Polisario était un membre actif de la CAE depuis 2019, il est nécessaire que toute décision d'exclusion suive un cadre procédural respectant les statuts de l'organisation. Le texte ne mentionne pas si cette exclusion a suivi un vote, une consultation des membres ou une décision unilatérale, ce qui pourrait être en contradiction avec les règles de gouvernance de la CAE. Violation de la neutralité sportive : Les instances sportives sont censées rester neutres face aux enjeux politiques. Si des pressions politiques ont effectivement été exercées, comme le texte le suggère, pour exclure une entité pour des raisons qui ne sont pas purement sportives, cela pourrait contrevenir aux principes de neutralité de la FIDE et de la CAE. Utiliser la sphère sportive pour atteindre des objectifs politiques pourrait également être considéré comme une violation des règles éthiques de la FIDE. Droits des entités à participer : Si le Polisario était un membre régulier et actif de la CAE, son exclusion sans raison légitime, ou à cause de pressions externes, pourrait être perçue comme une violation de ses droits en tant que membre de l'organisation. Cela soulève aussi la question de la légalité d'une telle exclusion si elle n'est pas justifiée par des manquements aux règles sportives ou éthiques de la CAE. La dimension politique de l'exclusion : Le texte mentionne une opposition politique entre le Maroc et l'Algérie, impliquant des pressions pour exclure le Polisario. Or, dans un contexte international, la FIDE, en tant qu'organisation mondiale, doit respecter des critères objectifs pour accepter ou refuser des membres. Si la demande algérienne pour l'inclusion du Polisario à la FIDE a été rejetée, cela devrait être basé sur des critères réglementaires, non sur des considérations politiques. Le rôle de l'Algérie et du Maroc : La mention de l’Algérie qui "prépare le terrain" pour l'adhésion du Polisario à la FIDE semble souligner une dimension politique à une question sportive. Toutefois, toute entité, qu'elle soit gouvernementale ou non, a le droit de soumettre une demande à la FIDE, qui doit être traitée selon ses règles. L’échec de cette démarche, s’il est motivé par des pressions politiques plutôt que par une évaluation des critères sportifs et organisationnels, pourrait constituer une entorse aux principes de l’indépendance sportive internationale.
Guil-li
Date : le 23 septembre 2024 à 23h54
Le Polizbel , marionette de l'Algérie , voyage dans les valises de son créateur .Le but : montrer au yeux du monde qu'il existe bien une pseudo république , avec des clubs de foot ( cf RASD USMA ... ) et toutes autres sortes de clubs de sport. LAlgérie veut à tout prix rendre visible sa créature. A coup de milliards. Ce qui est interessant dans l'exclusion du polizbel de la CAE c'est qu'elle est de bonne augure pour l'exclusion du polizbel de L'Union africaine. Après , ceux qui souffrent en silence , pourront toujours faire un remake de l'affaire du maillot de l'équipe de Berkane . Mais comment , vous êtes dans l'illégalité , vous avez violé la charte de ...etc etc Pleurez en silence pleurez en silence , tout ce que l'Algérie a dépensé pour sa créature est irrécupérable.Jamais , au grand jamais , aucun polizbel ou caporal algérien ne verra le lever de soleil de nos provinces du sud. Walou , Nada.
omarsharif
Date : le 23 septembre 2024 à 23h27
# Eamses On s´en faut complétement de tes régles . Pleure en silence !!!
Eamses
Date : le 23 septembre 2024 à 22h35
Il semble qu'il existe des contradictions possibles en termes de procédures légales, de neutralité sportive et de respect des droits des entités membres dans ce texte. Le fait d’exclure une organisation pour des raisons politiques, dans un cadre qui devrait être apolitique, pourrait soulever des questions quant à la légitimité de cette décision. Voici quelques points de contradiction potentiels : Manque de transparence des procédures : Les organisations sportives internationales, comme la FIDE ou la CAE, ont généralement des procédures très claires et transparentes pour l'admission ou l'exclusion de membres. Si une entité comme le Polisario était un membre actif de la CAE depuis 2019, il est nécessaire que toute décision d'exclusion suive un cadre procédural respectant les statuts de l'organisation. Le texte ne mentionne pas si cette exclusion a suivi un vote, une consultation des membres ou une décision unilatérale, ce qui pourrait être en contradiction avec les règles de gouvernance de la CAE. Violation de la neutralité sportive : Les instances sportives sont censées rester neutres face aux enjeux politiques. Si des pressions politiques ont effectivement été exercées, comme le texte le suggère, pour exclure une entité pour des raisons qui ne sont pas purement sportives, cela pourrait contrevenir aux principes de neutralité de la FIDE et de la CAE. Utiliser la sphère sportive pour atteindre des objectifs politiques pourrait également être considéré comme une violation des règles éthiques de la FIDE. Droits des entités à participer : Si le Polisario était un membre régulier et actif de la CAE, son exclusion sans raison légitime, ou à cause de pressions externes, pourrait être perçue comme une violation de ses droits en tant que membre de l'organisation. Cela soulève aussi la question de la légalité d'une telle exclusion si elle n'est pas justifiée par des manquements aux règles sportives ou éthiques de la CAE. La dimension politique de l'exclusion : Le texte mentionne une opposition politique entre le Maroc et l'Algérie, impliquant des pressions pour exclure le Polisario. Or, dans un contexte international, la FIDE, en tant qu'organisation mondiale, doit respecter des critères objectifs pour accepter ou refuser des membres. Si la demande algérienne pour l'inclusion du Polisario à la FIDE a été rejetée, cela devrait être basé sur des critères réglementaires, non sur des considérations politiques. Le rôle de l'Algérie et du Maroc : La mention de l’Algérie qui "prépare le terrain" pour l'adhésion du Polisario à la FIDE semble souligner une dimension politique à une question sportive. Toutefois, toute entité, qu'elle soit gouvernementale ou non, a le droit de soumettre une demande à la FIDE, qui doit être traitée selon ses règles. L’échec de cette démarche, s’il est motivé par des pressions politiques plutôt que par une évaluation des critères sportifs et organisationnels, pourrait constituer une entorse aux principes de l’indépendance sportive internationale.
Dernière modification le 26/09/2024 20:53
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