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Maroc-Espagne : «La reprise des relations est sur la bonne voie»

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«La reprise des relations entre le Maroc et l’Espagne est sur la bonne voie». Les propos sont signés du président de Melilla lors d'un débat à l'Assemblée parlementaire locale. Edouard de Castro a fait cette révélation ce vendredi après sa rencontre avec le nouveau ministre des Affaire étrangères, ce jeudi à Madrid.

«J’ai l’impression que la feuille de route a changé» avec la nomination de José Manuel Albares aux commandes de la diplomatie espagnole, rapporte El Faro de Melilla. De Castro s’est prononcé pour donner au ministre le temps de s’installer. «Le ministre des Affaires étrangères m'a dit textuellement qu’il est en train d’élaborer une stratégie», promettant que «les choses vont changer», a précise le président de Melilla en réponse à une question orale d'un député du Parti populaire.

Visiblement très convaincu en une reprise rapide des relations avec le Maroc, de Castro a souligné que «le ministre marocain des Affaires étrangères, Nasser Bourita n’a pas décroché le téléphone» pour répondre aux appels d’Arancha Gonzalez «mais avec ce ministre (Albares), il le prendra».

Lors de la cérémonie de passation de pouvoir,  le nouveau chef de diplomatie a adressé des messages positifs en direction du Maroc, le qualifiant de «grand ami» de l’Espagne.

V1E
Date : le 17 juillet 2021 à 23h54
Hahaha l'Espagne sue à grosses gouttes, c'est à eux de se soumettre à nous et plus l'inverse. Sans nous l'Espagne s'effondre economiquement, ils viennent de le comprendre avec l'interdiction des ports espagnols vers le Maroc ! ptdr
AL MASSIRA
Date : le 17 juillet 2021 à 23h13
la méthode Coué ça continue. Je ne sais pas qui y avait fait référence, le fameux sketch de Dany Boon "je vais bien, tout va bien". Les Espagnols veulent arriver à leur fins et pensent que ... axis@7 , je suis désolé mais tu n'as rien compris au problème. On fait de la politique, on se fout de ce que veulent les marocains de Melilia et Sebta, la plupart sont commerçants et ne sont pas des natifs. S'ils ne sont pas contents, ils dégagent ce seront nos harkis à nous. Le Maroc veut récupérer ses deux villes. Ce n'es pas une histoire de PIB sinon les pays développés recolonisent le monde. Le Maroc a coincé les Espagnols. Si les Espagnols sont à plat ventre c'est que le Maroc est en position de force et ton raisonnement de PIB à deux balles ne tient pas.
Boujemaa73
Date : le 17 juillet 2021 à 18h19
Le président de Melilia a du saluer un policier marocain à travers les grilles de séparation. Le marocain lui a sourit furtivement, d'où cette déclaration pleine de confiance pour les relations futures ptdr
Axis.7
Date : le 17 juillet 2021 à 15h47
Faut pas trop se bercer d'illusions: tant que le Maroc ne sera pas prospère et democratique les habitants musulmans de Sebta et Mellila voteront pour leur portefeuille si on leur demande à quel pays il veulent être rattachés en cas de referendum. Il faut pas se cacher la réalité avec le petit doigt. Le passeport espagnol offre un libre accès à l'Europe, à des prestations sociales, des hopitaux de qualité et des ecoles, un etat de droit democratique et un niveau de vie superieur. Bref des domaines où le Maroc est bien en deçà. Le PiB marocain est ridicule à coté de celui de l'Espagne: 120 milliards de dollars contre...1 120 milliards!!! l'Algérie fait à peine mieux que le Maroc au passage. Le seul chiffre d'affaires de Volkswagen est superieur à celui des Pib du Maroc et de l'Algérie reunis!!! Par ailleurs, le Maroc comme par masochisme fait exprès de ternir son prestige international en faisant inutilement de journalistes inconnus des martyrs de sorte qu'ils sont reconnus internationalement tels que Raissouni et Radi. Et cela nous affaibli internationalement y compris sur la question du Sahara...et y compris vis à vis des USA independamment de la reconnaissance de notre souverainete sur le Sahara ( Voir la dernière sortie du porte parole du département d'Etat) P.S : Je suis marocain et rêve de voir Sebta et Mellila revenir au Maroc mais il y a des réalités qu'il faut lucidement affronter.
maurusia2021
Date : le 17 juillet 2021 à 13h33
La suite... Le rapprochement avec l’Algérie Dans cette veine, le consultant juridique met en avant « l’accélération sans précédent du rythme des échanges de visites entre les responsables espagnols et leurs homologues algériens qui prouve que ces deux forces régionales s’unissent contre le Maroc. Autant dire que le changement à la tête du ministère des Affaires étrangères ne va pas mener vers l’accalmie. « Cela pourrait casser la barrière psychologique qui s’est installée avec Arancha González, mais à quel point le nouveau ministre pourrait enclencher une grande percée ? », interroge Benhamza. Selon lui, ça sera difficile sauf si jamais il y aura un consensus entre les forces politiques espagnoles, car il faut noter que les sondages de ce vendredi augurent d’une perte, lors des élections qui ont eu lieu, de 30 sièges par les socialistes au profit du parti populaire. « Je crois que l’Espagne va « s’introvertir » lors des prochains mois. Le parti socialiste va revoir ses calculs sur le plan intérieur ce qui pourrait le pousser à éviter les hostilités verbales envers le Maroc sans pour autant réaliser une grande percée à mon sens », décortique l’analyste politique. Le thermomètre de Sebta et Melilla Interpelé par Hespress FR sur l’autre face de cette crise à savoir la question des présides occupés de Sebta et Melilla, qui se trouve au cœur des promesses électorales des différents partis espagnols, notamment, le chef du PP Pablo Casado qui a appelé une protection des deux villes par l’OTAN, Benhamza a considéré cette question comme « le mercure du thermomètre » des relations entre les deux royaumes. « Lorsque les tensions montent d’un cran apparaît le dossier de Sebta et Melilla », dit-il en poursuivant « ma conviction est que le Maroc du moins officiel a une conception de ce sujet, mais il l’appréhende selon la conception posée par Feu Hassan II qui part du constat que le cumul des siècles a créé une certaine réalité qui doit être traitée entre les deux pays dans le cadre d’une réflexion commune ». « Je crois que le discours officiel va partir dans ce sens. On ne va pas baisser les bras, mais ce n’est pas un sujet qui presse. Et le Maroc ne peut en aucun cas se soumettre à la position espagnole. Ainsi, le sujet de Sebta et Melilla restera l’indicateur principal de l’escalade ou la désescalade de la crise entre les deux pays », conclut M. Benhamza. Sources : https://fr.hespress.com/215158-maroc-espagne-quel-avenir-pour-les-relations-entre-les-deux-pays-le-point-avec-adil-benhamza.html
maurusia2021
Date : le 17 juillet 2021 à 13h32
Solidarité totale avec le Peuple Allemand après le drame vécu ces derniers jours. Il y a un article intéressant traitant du sujet : Maroc-Espagne : Quel avenir pour les relations entre les deux pays ? Le point avec Adil Benhamza Beaucoup sont les analystes politiques qui considèrent que le remplacement de l’ancienne ministre des Affaires étrangères, Arancha Gonzalez Laya par José Manuel Albares pourrait être la porte vers une accalmie de la crise qui ne dit pas son nom entre le Maroc et l’Espagne. À quel point ce point de vue est-il valable ? Hespress FR a choisi un fin connaisseur du dossier, qui n’est autre que Adil Benhamza, pour faire le point. Analyse. Beaucoup sont les analystes politiques qui considèrent que le remplacement de l’ancienne ministre des Affaires étrangères, Arancha Gonzalez Laya par José Manuel Albares pourrait être la porte vers une accalmie de la crise qui ne dit pas son nom entre le Maroc et l’Espagne. À quel point ce point de vue est-il valable ? Hespress FR a choisi un fin connaisseur du dossier, qui n’est autre que Adil Benhamza, pour faire le point. Analyse. D’emblée l’ancien porte-parole du parti de l’Istiqlal affirme qu’« il n’y aura pas une énorme percée parce que la problématique est tellement profonde qu’elle ne peut être résolue par le changement de personnes ». La sortie de la crise nécessite, affirme-t-il, la révision des choix stratégiques du côté espagnol, car pour le Maroc la question du Sahara est une affaire vitale et essentielle. « Quand l’Espagne a protesté concernant la délimitation des frontières maritimes, elle n’a évoqué la question de la souveraineté ou non du Maroc, car elle sait qu’il s’agit d’un fait établi qui a été soutenu davantage avec la prise de position américaine », a-t-il soutenu en soulignant que « le changement de l’attitude américaine a donné plus de force au Maroc dans sa relation avec l’Espagne et l’Europe de manière générale ». La preuve en est, avance-t-il, la réaction du gouvernement concernant la résolution adoptée par le parlement européen (au sujet de la prétendue instrumentalisation des mineurs par les autorités marocaines dans la crise migratoire de Sebta ndlr). Le mont Tropic en arrière plan D’après lui, le véritable fond de cette crise est la souveraineté du Maroc sur le mont sous-marin Tropic. L’enchaînement des événements, surtout en 2020, ne peut être dû au hasard et l’évolution de l’attitude étatsunienne est en liaison directe avec cette situation. C’est pourquoi l’Espagne devrait prendre un raccourci et venir discuter de ses intérêts avec le Maroc, met-il en évidence en soulignant que « la question du Sahara fait partie intégrante des intérêts du Maroc et se trouve au cœur des relations entre les deux royaumes ». « Certes, il parait difficile pour l’Espagne de trancher en faveur de la souveraineté du Maroc sur son Sahara et cela risque de prendre du temps, mais du moins il va falloir qu’elle donne des garanties au Maroc selon lesquelles elle ne va pas adhérer à la guerre de propagande et la guerre menées contre le Maroc par l’Algérie au sein de plusieurs instances régionales et internationales », poursuit M. Benhamza.
ssoum
Date : le 17 juillet 2021 à 13h14
ils m avaent i bien fait marrer avec leur chantage de ligne maritime avec le voisin de l est on allait voir c 'qu on allait vouaire… ils allait nous damer le piont nous foutre la haine du siecle PUIS……….. il se sont apercu un peut trop tot dommage qu il n allaient recolter que des bateaux bourre de ""haragas "" qui une fois sur place ne repartirais pas on a rate une bonne rigolade
ssoum
Date : le 17 juillet 2021 à 13h07
dans l espris des espagnol sur la bonne voie ca veut dire retour a la case depart sans aucun changement d ailleurs au moment ou ils la joue conciliant ils continuent a manigancer derrière le dos du Maroc mais a mon avis le Maroc n en a pas encore fini avec eux mes condolescences a Merkel au moment ou elle est alle a states de los angeles baver sur le Maroc dieu lui a envoye de s occuper de ses affaires paix aux ames des victimes
Respect#
Date : le 17 juillet 2021 à 11h51
C'est les trafiquants et les profiteurs de la main-d'œuvre pas chers qui pousse le gouvernement a une reprise avec le Maroc, moins de drogues qui circule . Le pouvoir espagnols est en difficulté à cause de la politique, moins de devise qui rentre et mois de touriste a cause de la flambée de covi et le retour du couvre feu. L'Espagne et le pays qui reçoit le plus de touriste son économie est impactés,la crise est devant leur L'Espagne.
abdennahi
Date : le 17 juillet 2021 à 10h56
je ne vois aucun problème a ce que la CEE investisse a Mlelilla et Sebta ,les chinois ont attendu que le fruit soit mure économiquement pour récupérer Hong Kong et Macao,déjà que les espagnoles du continent considèrent ceux du Maroc comme des résidents de seconde zone il suffira d attendre pour que ceux ci demandent a être rattacher au Maroc pour enfin pouvoir reprendre les affaires prospères que seul Rabat peut leur garantir .le pp et le psoe sont déjà occupés a planifier le départ de ces enclaves tout comme ariel sharon avait discrètement préparé le départ d une partie de la cisjordanie en 2004
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