Le Maroc, au regard de sa forte dépendance vis-à-vis du monde extérieur pour son approvisionnement énergétique, a été amené (un peu tard) à orienter sa politique énergétique vers la diversification des sources d’approvisionnement.
Le Maroc veut « exploiter », comme l'explique The Associated Press, la crise financière internationale en séduisant sociétés européennes et touristes, déclarait jeudi le gouverneur de Bank Al Maghrib, Abdellatif Jouahri.
L'Association valencienne des agriculteurs (AVA) a qualifié d'irresponsables les récentes déclarations de la commissaire à l'agriculture, Mariann Fischer, qui aurait minimisé les effets qu'auraient l'accès des oranges du Maroc dans l'Union Européenne sur la production espagnole.
On se souvient tous de la polémique qu'avait suscitée Le Matin du Sahara après avoir expliqué à sa sauce les sévères corrections apportées à la bourse de Casablanca les 22 et 23 septembre. Une chute qui serait due, selon le quotidien, à des manipulations boursières de la part de Casablanca Finance Group (CFG).
A regarder de plus près la politique de communication des concurrents du Maroc en matière de tourisme, Mohamed Boussaïd, ministre du Tourisme, se dit qu'il vaut mieux abandonner l'image carte postale (ciel bleu, monuments et autochtones) pour promouvoir la destination Maroc.
Le projet d'usine Renault à Tanger n'a pas fini de générer des remous chez le voisin algérien. C'est pourtant le patron de Renault Algérie, Stéphane Galoustian, qui le dit lui-même : Le Maroc est en avance sur son voisin dans le volet des équipements automobiles. L'Algérie, qui ne peut s'empêcher de prêcher le nationalisme à tout va et souvent sans bon sens, voit cette décision d'un très mauvais œil.
En assistant aux désastres financiers en tous genres des ces dernières semaines, le très sérieux Sunday Times conseille d'investir dans seulement sept pays, tous de la région MENA, considérés comme des places boursières stables. Maroc et Tunisie tirent aussi leur épingle du jeu face aux pays émergents.
Alors que la crise financière menace de récession les économies les plus développées de la planète, il semblerait que l’économie marocaine soit épargnée par «le 11 septembre de la finance», selon les termes employées par la présidente du Medef (organisation patronale française) pour qualifier l’effondrement des marchés financiers.
La Haute Autorité de la Communication Audiovisuelle (HACA), suite à sa réunion organisée mercredi dernier, a rendu officielles ses décisions concernant Hit Radio et Chada FM. Les deux radios écopent de lourdes sanctions.
«Plus aucune banque ne s’engagera auprès d’un promoteur immobilier à Marrakech». Cette information est distillée (en off) par un donneur d'ordre de la place financière de premier plan. Il a préféré gardé l’anonymat «de manière à ne pas crisper mes confrères», dit-il. Les promoteurs dans le domaines de riads et maisons d'hôtes risquent de voir le robinet du crédit