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: «C’est un massacre !»

Un réserviste israélien de 35 ans, psychologue de profession, a décidé de témoigner des réalités de la guerre à Gaza dans les colonnes du site féministe israélien Politically Koret. Son témoignage jette une lumière crue sur les atrocités commises envers la population gazaouie et le climat toxique au sein de l’armée israélienne.

Un père de famille de 35 ans, éducateur et spécialiste de la prévention de la violence, a accepté de témoigner sous couvert d’anonymat sur son expérience en tant que réserviste lors de la guerre à Gaza. Son récit, bouleversant et révoltant, met en lumière les agissements ignobles de certains soldats israéliens envers les Palestiniens et les otages, ainsi que la souffrance morale des soldats eux-mêmes. Il dénonce également l’impossibilité de se faire entendre au sein de Tsahal si l’on dévie d’une certaine façon de penser, où les Gazaouis ne sont même plus vus comme des ennemis mais comme des parasites, des animaux.

C’est avec une voix tremblante que M., père de trois enfants, se confie sur les atrocités dont il a été témoin lors de son service de réserve à Gaza.

«Dès le premier instant, il était clair que nous étions plongés dans quelque chose dont il n’y avait aucun moyen de revenir en arrière. Il était entendu qu’il ne s’agissait pas d’une réserve ordinaire. Nous ne savions rien. (…) Aujourd’hui, dans la bande de Gaza, si on n’adhère pas au discours extrémiste et politiquement frelaté qui s’est emparé de toute la société israélienne, on perd tout crédit. J’ai assisté à des scènes aberrantes, où des soldats lançaient, sans aucune raison, des grenades dans des logements palestiniens encore habités par de simples civils».

Mais ce qui a le plus choqué M., c’est le traitement réservé aux otages.

«Le lieutenant de notre brigade, son passe-temps à l’intérieur de Gaza était d’entrer dans les maisons et de les incendier. Juste comme ça. Et il n’avait aucun moyen de savoir s’il y avait ou non des otages israéliens à l’intérieur. Il est entré dans une maison et y a mis le feu. Il ne savait pas s’il y avait des explosifs qui pourraient exploser. Juste un risque quotidien de vie humaine au niveau le plus enfantin possible».

M. raconte comment avoir assisté, impuissant, à des scènes de violence gratuite envers les Palestiniens.

«J’ai vu des Palestiniens être emmenés dans le coffre d’un Hummer et des soldats les battre à mort. J’ai vu des soldats évacuer leur rage sur des propriétés palestiniennes sans aucune nécessité».

Face à ces agissements, M. se sent impuissant et en conflit avec lui-même.

«Je me sentais étranger, je me sentais différent. Je sentais que j’aimais mes amis, mais que je ne voulais pas parler leur langue. Que je suis censé exprimer une certaine agressivité – et quand je l’exprime, j’ai peur de moi-même et je comprends aussi ses racines. Il y avait un énorme conflit en moi».

Selon lui, les violences et les atrocités sont motivées par la panique qui règne du côté de l’État hébreu. Il décrit des jeunes Israéliens de 25 ans, terrorisés, qui tirent sur tout ce qui bouge, devenant ainsi des héros aux yeux de leurs pairs. Une peur que les hauts gradés moquent et amplifient au sein de leurs propres troupes.

«Cette guerre nous changera à tout jamais. Quand vous êtes à Gaza, un drone vole au-dessus de vous et largue une ogive RPG à deux pas de vous, tandis qu’autour de vous coulent des rivières de sang. Cela s’appelle un massacre».

De retour chez lui en Galilée, l’horreur le poursuit jusque dans sa propre maison. Il ressent une fracture au sein de sa propre famille, ses parents ne comprenant pas son «malaise existentiel». Cette guerre l’a profondément changé, éprouvant désormais «des accès de tristesse et des troubles dépressifs». Il estime que cette guerre a également transformé la société israélienne dans son ensemble, absorbant une violence qui ne mène nulle part, sauf à leur perte.

«Je suis coincé. Je ne peux pas retourner [dans la bande de Gaza] mais je ne peux pas non plus rester ici, dans mon village, tout en me taisant sur ce que j’ai vu et surtout sur ce que j’ai fait».

Malgré les horreurs qu’il a vécues et potentiellement commises sur le champ de bataille, il estime que son rôle est malgré tout dans l’armée. Résigné, il croit qu’il doit se battre, même si cette guerre lui paraît invraisemblable, à lui comme à de nombreux autres frères d’armes. «Nous, Israéliens, sommes brisés», conclut-il.

[lemediaen442.fr] a-cest-un-massacre/

Très beau témoignage, très courageux. Euhh..Anonyme.

C'est à toi de nous prouver le contraire...
La guerre en tant que besoin ontologique d’espace vital est un leurre, une excuse, une légitimation de la violence issue du désir de puissance. Le désir de puissance pousse les plus violents à conquérir le pouvoir au sein de leur communauté puis à pousser ces communautés à prendre le pouvoir sur les autres communautés selon une dynamique de création continuée qui n’admet pas de limite. Comme dans la dynamique maniaque, l’issue ne peut éviter la chute (trajectoire en V inversé). Les civilisations guerrières, conquérantes, impérialistes, finissent toutes par mourir des conséquences de leur avidité. Israël, enfant maudit du Reich Hitlérien, n’a rien appris des circonstances de son engendrement. Il en reproduit toutes les tares et n’échappera pas à son destin fatal.

Citation
Yehouda a écrit:
Très beau témoignage, très courageux. Euhh..Anonyme.

L’Amérique va être sacrifiée sur l’autel du sionisme” – Scott Ritter

“Nous ne sommes plus un Etat souverain», dénonce l’ex-officier du renseignement américain qui enlève les gants.

“Israël a littéralement acheté le Congrès américain, la présidence américaine et l’establishment américain”, poursuit Scott Ritter, qui récuse toute accusation d’antisémitisme dans le fait de souligner que les grands patrons de presse américains sont juifs.

Les médias devraient dénoncer l’hypocrisie de l’administration Biden. Ils devraient condamner Benjamin Netanyahou. Mais ils ne le peuvent pas parce qu’Israël les possède

Après avoir passé leurs deux dernières années à s’égosiller sur l’Ukraine “les médias américains restent les bras croisés et permettent à Israël de commettre un génocide.”

Une hypocrisie qui ne passe pas inaperçue dans un monde qui ne peut plus voir en Washington le phare de la démocratie et de la liberté qu’il prétend encore être.

Ariel Sharon avait raison quand il disait à Shimon Peres :”Ne vous inquiétez pas de ce que diront les Américains. Nous Juifs, contrôlons l’Amérique, et les Américains le savent bien.”

La France et le Royaume-Uni sont dans la même situation car comme le disait Mayer Amschel Rothschild : “Donnez moi le contrôle de la monnaie d’une nation, et je me fiche de savoir qui fait ses lois.”

L’argent entre les mains des usuriers corrupteurs, ne peut produire que des gouvernements corrompus. Et les gouvernements corrompus, ne peuvent agir qu’au détriment de leurs propres peuples…

Baratin sans queue ni tête, dont le but est de noyer le poisson et de compliquer une évidence très simple. Il ne s'agit pas, il ne s'agit pas du tout d'espace vital, il s'agit de vie tout court, de cette vie que les barbares du Hamas et ceux qui les soutiennent ne supportent pas à côté d'eux, de ces vies que les barbares du Hamas ont fauchées par centaines tels des anges de la mort. Alors épargnez moi vos théories fumeuses, elles ne sont qu’écrans de fumée pour masquer le projet de génocide que vous soutenez.

Vous, vous le dissimulez dans un langage trompeur et (soi disant) progressiste, alors que le Hamas que vous soutenez, l'affiche clairement dans sa charte. Soyez franc, vous avez déjà déjà avoué vos sinistres lectures (les protocoles), faites un effort, et avouez vos pulsions de meurtres.

Citation
enicnaY a écrit:
C'est à toi de nous prouver le contraire...
La guerre en tant que besoin ontologique d’espace vital est un leurre, une excuse, une légitimation de la violence issue du désir de puissance. Le désir de puissance pousse les plus violents à conquérir le pouvoir au sein de leur communauté puis à pousser ces communautés à prendre le pouvoir sur les autres communautés selon une dynamique de création continuée qui n’admet pas de limite. Comme dans la dynamique maniaque, l’issue ne peut éviter la chute (trajectoire en V inversé). Les civilisations guerrières, conquérantes, impérialistes, finissent toutes par mourir des conséquences de leur avidité. Israël, enfant maudit du Reich Hitlérien, n’a rien appris des circonstances de son engendrement. Il en reproduit toutes les tares et n’échappera pas à son destin fatal.

12000 enfants tués,no comment

Citation
Yehouda a écrit:
Baratin sans queue ni tête, dont le but est de noyer le poisson et de compliquer une évidence très simple. Il ne s'agit pas, il ne s'agit pas du tout d'espace vital, il s'agit de vie tout court, de cette vie que les barbares du Hamas et ceux qui les soutiennent ne supportent pas à côté d'eux, de ces vies que les barbares du Hamas ont fauchées par centaines tels des anges de la mort. Alors épargnez moi vos théories fumeuses, elles ne sont qu’écrans de fumée pour masquer le projet de génocide que vous soutenez.

Vous, vous le dissimulez dans un langage trompeur et (soi disant) progressiste, alors que le Hamas que vous soutenez, l'affiche clairement dans sa charte. Soyez franc, vous avez déjà déjà avoué vos sinistres lectures (les protocoles), faites un effort, et avouez vos pulsions de meurtres.

12000 enfants tués,no comment

Que ce soit 1, 1000 ou 10000, je le déplore. C'est la guerre et c'est un drame.
Je ne peux pas ne pas ajouter que c'est une guerre qu’Israël n'a pas voulue, n'a pas déclenchée et qui a commencé par le massacre que vous savez.

Citation
Tradiprogress a écrit:
12000 enfants tués,no comment

Combien d'enfants tués avant le 7 octobre par l'armée israélienne ?
No comment

Citation
Yehouda a écrit:
12000 enfants tués,no comment

Que ce soit 1, 1000 ou 10000, je le déplore. C'est la guerre et c'est un drame.
Je ne peux pas ne pas ajouter que c'est une guerre qu’Israël n'a pas voulue, n'a pas déclenchée et qui a commencé par le massacre que vous savez.

Le sioniste de la perfide albion “joris bonson” , pousse au crime, pour accentuer le “génocide du peuple palestinien”

Interdire les ventes d’armes à Israël serait honteux, à dit l’ancien Premier ministre britannique Johnson.

comment image

(internaute : parole du sioniste)

Boris Johnson a affirmé qu’il serait insensé de bloquer les transferts d’armes à Israël car il donnerait effectivement la victoire au Hamas, tout en affirmant simultanément qu’il est choquant de voir la mort causée par la campagne de Tsahal à Gaza.

“Est-ce vraiment ce que vous voulez, tous les experts juridiques qui disent que les actions d’Israël nécessitent maintenant un embargo sur les armes” ?

Il a écrit dans sa chronique du Daily Mail :

“Voulez-vous donner la victoire à une bande de meurtriers et de violeurs” ?

[twitter.com]

Si vous mettez du gasoil dans votre voiture essence ou du super dans votre voiture Diesel que va-t-il se passer ???
Et si vous absorbez des aliments cuits pour un organisme conçu de très longue date pour des aliments crus que va-t-il se passer ?
Heureusement , il y a la médecine ! Ouf ! Vous m’avez fait peur !

Citation
Yehouda a écrit:
Baratin sans queue ni tête, dont le but est de noyer le poisson et de compliquer une évidence très simple. Il ne s'agit pas, il ne s'agit pas du tout d'espace vital, il s'agit de vie tout court, de cette vie que les barbares du Hamas et ceux qui les soutiennent ne supportent pas à côté d'eux, de ces vies que les barbares du Hamas ont fauchées par centaines tels des anges de la mort. Alors épargnez moi vos théories fumeuses, elles ne sont qu’écrans de fumée pour masquer le projet de génocide que vous soutenez.

Vous, vous le dissimulez dans un langage trompeur et (soi disant) progressiste, alors que le Hamas que vous soutenez, l'affiche clairement dans sa charte. Soyez franc, vous avez déjà déjà avoué vos sinistres lectures (les protocoles), faites un effort, et avouez vos pulsions de meurtres.

Combien de fusées tirées depuis Gaza sur les populations civiles de Sderot, Ashkelon, Ashdod ? Combien d'attentats contre de simples passants, automobilistes, hommes, femmes, enfants ?
No comment.

Citation
Tradiprogress a écrit:
Combien d'enfants tués avant le 7 octobre par l'armée israélienne ?
No comment

C'est sans commune mesure au niveau des morts et blessés.
No comment

Citation
Yehouda a écrit:
Combien de fusées tirées depuis Gaza sur les populations civiles de Sderot, Ashkelon, Ashdod ? Combien d'attentats contre de simples passants, automobilistes, hommes, femmes, enfants ?
No comment.

Modifié 1 fois. Dernière modification le 08/04/24 16:40 par Tradiprogress.

Citation
c'est une guerre qu’Israël n'a pas voulue a écrit:

Tu peux éclairer ma lanterne et m'expliquer ce que vous voulez ?
comment on

Citation
Yehouda a écrit:
12000 enfants tués,no comment

Que ce soit 1, 1000 ou 10000, je le déplore. C'est la guerre et c'est un drame.
Je ne peux pas ne pas ajouter que c'est une guerre qu’Israël n'a pas voulue, n'a pas déclenchée et qui a commencé par le massacre que vous savez.