Y'a eu Antoine avant moi, Y'a eu Dylan avant lui, Après moi qui viendra ? Après moi c'est pas fini. On les a récupérés. Oui mais moi on m'aura pas, Je tirerai le premier, Et j'viserai au bon endroit.
J'ai chanté 10 fois, 100 fois, J'ai hurlé pendant des mois, J'ai crié sur tous les toits, Ce que je pensais de toi, Société, société, Tu m'auras pas.
J'ai marché sur bien des routes, J'ai connu bien des pat'lins, Partout on vit dans le doute, Partout on attend la fin. J'ai vu occuper ma ville Par des cons en uniformes Qu'étaient pas vraiment virils, Mais qui s'prenaient pour des hommes.
J'ai chanté 10 fois, 100 fois, J'ai hurlé pendant des mois, J'ai crié sur tous les toits, Ce que je pensais de toi, Société, société, Tu m'auras pas.
J'ai vu pousser des barricades, J'ai vu pleurer mes copains, J'ai entendu les grenades Tonner au petit matin. J'ai vu ce que tu faisais Du peuple qui vit pour toi, J'ai connu l'absurdité De ta morale et de tes lois.
J'ai chanté 10 fois, 100 fois, J'ai hurlé pendant des mois, J'ai crié sur tous les toits, Ce que je pensais de toi, Société, société, Tu m'auras pas.
Demain, prends garde à ta peau, À ton fric, à ton boulot, Car la vérité vaincra, La Commune refleurira. Mais en attendant, je chante, Et je te crache à la gueule Cette petite chanson méchante Que t'écoutes dans ton fauteuil.
J'ai chanté 10 fois, 100 fois, J'ai hurlé pendant des mois, J'ai crié sur tous les toits, Ce que je pensais de toi, Société, société, Tu m'auras pas. Y'a eu Antoine avant moi, Y'a eu Dylan avant lui, Après moi qui viendra ? Après moi c'est pas fini. On les a récupérés. Oui mais moi on m'aura pas, Je tirerai le premier, Et j'viserai au bon endroit.
J'ai chanté 10 fois, 100 fois, J'ai hurlé pendant des mois, J'ai crié sur tous les toits, Ce que je pensais de toi, Société, société, Tu m'auras pas.
J'ai marché sur bien des routes, J'ai connu bien des pat'lins, Partout on vit dans le doute, Partout on attend la fin. J'ai vu occuper ma ville Par des cons en uniformes Qu'étaient pas vraiment virils, Mais qui s'prenaient pour des hommes.
J'ai chanté 10 fois, 100 fois, J'ai hurlé pendant des mois, J'ai crié sur tous les toits, Ce que je pensais de toi, Société, société, Tu m'auras pas.
J'ai vu pousser des barricades, J'ai vu pleurer mes copains, J'ai entendu les grenades Tonner au petit matin. J'ai vu ce que tu faisais Du peuple qui vit pour toi, J'ai connu l'absurdité De ta morale et de tes lois.
J'ai chanté 10 fois, 100 fois, J'ai hurlé pendant des mois, J'ai crié sur tous les toits, Ce que je pensais de toi, Société, société, Tu m'auras pas.
Demain, prends garde à ta peau, À ton fric, à ton boulot, Car la vérité vaincra, La Commune refleurira. Mais en attendant, je chante, Et je te crache à la gueule Cette petite chanson méchante Que t'écoutes dans ton fauteuil.
J'ai chanté 10 fois, 100 fois, J'ai hurlé pendant des mois, J'ai crié sur tous les toits, Ce que je pensais de toi, Société, société, Tu m'auras pas.
On vous souhaite tout le bonheur du monde Et que quelqu’un vous tende la main Que votre chemin évite les bombes Qu’il mène vers de calmes jardins On vous souhaite tout le bonheur du monde Pour aujourd’hui comme pour demain Que votre soleil éclaircisse l’ombre Qu’il brille d’amour au quotidien
Puisque l’avenir vous appartient Puisqu’on n’contrôle pas votre destin Que votre envol est pour demain Comme tout c’qu’on a à vous offrir Ne saurait toujours vous suffire Dans cette liberté à venir Comme on n’sera pas toujours là Comme on le fut aux premiers pas
Tout une vie s’offre devant vous Tant d’rêves à vivre jusqu’au bout Surement tant d’joies au rendez vous Libres de faire vos propres choix De choisir quelle sera votre voie Et où celle ci vous emmènera J’espère juste que vous prendrez le’temps De profiter de chaque instant…
J’sais quel monde on vous laissera On fait d’notre mieux seulement parfois J’ose espérer que ça suffira Pas à sauver votre insouciance Mais à apaiser notre conscience Pour le reste j’me dois d’vous faire confiance….
Et de cette plume partagé avec toi, Je viens faire une unique voie, Pour crier qu'il est p'tre temps, De rentrer chez soi, Que cette société nous accusant, Nous rejetant ouvertement, Tandis qu'elle clame mes libertés, Je me sens juste rabaissée, Outrée par ce leurre,
Je lui dirais juste un grand BRAVO Et je laisse tomber le rideau Sur cette société, Jadis bien aimée !!