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My Road to Islam - Partie 6
14 janvier 2020 18:08
Cristian : “Assalam alaykoum wa rahmatuLahi wa barakatouhu.

Je m'appelle Cristian, avec l'intonation espagnole comme je viens de le faire. Je suis d'origine mexicaine (de mon père) et franco-marocaine (de ma mère).

Je suis né en France, c'est d'ailleurs là-bas que mon père avait rencontré ma mère. J'y ai passé les 14 premières années de ma vie, puis on a voyagé au Qatar.
J'ai 29 ans aujourd'hui et je suis ici depuis bientôt deux ans. J'ai découvert l'Islam au Qatar, je vais donc vous raconter mon histoire vécue là-bas.

Quand je suis arrivé, à peine âgé de 14 ans, je ne savais ni lire l'arabe, ni écrire. Ma mère était pourtant marocaine, mais elle ne me l'avait jamais enseignée. Mes parents ne se réclamaient pas de l'Islam, ils ne se disaient pas musulmans. A vrai dire, si on avait émigrés au Qatar, c'était pour la simple et bonne raison que mon père avait trouvé un très bon emploi sur le long terme.

Les premiers jours furent difficiles, en commençant par le climat. La chaleur qui tapait fort à longueur de journées, cela nous fatiguait énormément, il nous était presque inconcevable de sortir trop longtemps dehors.

Je continuais ainsi ma scolarité, à un niveau équivalent à celui de la 3ème en France. C'était assez difficile pour moi d'apercevoir de nouveaux visages, des personnes avec des tenues complètement différentes de la mienne, et des noms aussi complètement nouveaux. Je retrouvais souvent les appellations “Abou” ou “Ibn”, sans savoir ce que cela signifiait.

On me regardait bizarrement le premier jour, me prenant pour un parfait inconnu. Il faut le dire, j'étais habillé d'un jean, d'une chemise et des chaussures, une mode qu'ils ne partageaient pas vraiment. Ils portaient des longues robes blanches, et une sorte de “chapeau” sur la tête. J'appris plus tard que cela s'appelait des chachias/ghutras.

Mes parents avaient prévu que je sois dans un établissement où les professeurs pouvaient parler l'anglais voire le français. C'est pour cela qu'Ils m'ont inscrit dans l'une des plus prestigieuses écoles, avec les meilleurs professeurs et le plus fort taux de réussite. Je décidais de choisir la langue arabe comme LV1 (Langue Vivante 1), afin que je puisse me familiariser avec les gens et comprendre ce qu'ils me disaient.

Les cours se déroulèrent bien, les professeurs me traitaient d'une bonne manière. Les élèves quant à eux, il leur arrivait de me faire du mal, du moins me renier. Pour eux, ils ne pouvaient me concevoir comme leur ami, je n'étais qu'un étranger qui n'avait pas réellement une place à se faire ici, si ce n'est de me convertir à l'Islam. Je n'aimais pas cette idée, et je n'aimais pas non plus lorsqu'ils me forçaient la main sur certaines choses.

Je me souviens, on avait tous un casier, et le deuxième jour, je dis bien exactement le deuxième jour, je vis un vilain dessin s'afficher sur le mien. C'était mon prénom “Cristian” imprimée sur une croix. Je ne savais pas quel était leur but, si c'était de me viser en me disant que j'étais un adorateur de la croix, ou que dans mon prénom se trouvait le mot “Christ”. Je n'ai jamais découvert qui avait fait cela, mais heureusement, ils n'étaient pas tous pareils.

Il y avait quand même des personnes respectueuses, qui prenaient le soin de m'orienter dans l'établissement les premiers jours, de m'aider pour les cours et les exercices, et surtout pour l'apprentissage de la langue arabe. C'était d'ailleurs l'une des matières où les rires à mon égard se faisaient ressentir, et je le prenais assez bien, c'était amusant pour moi aussi.

Je me souviens qu'au début, lorsque je prononçais les lettres de l'alphabet, le professeur me les faisait répéter plus d'une centaine de fois pour que je les retienne très bien. Il était derrière moi pour m'encourager à apprendre, car il faut dire je démotivais à certains moments. Apprendre une langue c'est enrichissant, mais il arrive un moment donné où on sature lorsque l'on pense savoir que tout cela ne nous avance à rien.

Ce fut ainsi que je passa ma première année, de justesse. Je découvrais entre autres la religion islamique, mais je n'y adhérais pas. Je constatais comment les musulmans se comportaient entre eux, comment ils vivaient, comment ils priaient, comment ils jeûnaient, et beaucoup d'autres choses.

Par exemple, la salutation. Ils ne me saluaient jamais en premier, je devais toujours le faire d'abord, c'était quelque chose à laquelle ils tenaient. Ca ne me déplaisait pas non plus.

C'est ainsi qu'au cours de ma deuxième année, quelque chose de nouveau s'installa dans ma vie courante et scolaire : la lecture coranique. Il ne nous en avait jamais fais la première année, il nous citait des versets du Coran à l'oral mais ne nous demandait pas de lire ni d'en écrire. Mais pour la deuxième année, c'était au programme.
14 janvier 2020 18:14
Je m'étais décidé à m'inscrire à ces cours d'apprentissage coranique pour découvrir ce qu'il en était du Livre Saint, et de sa récitation. Ce cours était quelque peu spécial, car il ne se déroulait jamais au sein de l'établissement.

Le professeur nous emmenait tous le temps dans un lieu différent, dans un parc, dans un jardin, dans un champ, sur une montagne et l'on s'asseyait sur des draps. Je devais par contre faire mes ablutions pour pouvoir le lire, le wudu'.

Pour le premier cours, il nous demanda de prendre Le Livre et d'essayer de lire. J'arrivais plus ou moins à former le mot et la phrase, mais difficilement à les prononcer.

Il s'agissait de la sourate al-Mulk, La Royauté, numéro 67. Il demanda à chacun de nous de lire une fois le premier verset. Ils arrivèrent tous plus ou moins à lire convenablement du premier coup, sauf moi. J'eus du mal, beaucoup de mal. Il me fit répéter et j'eus terminé par produire quelque chose de “potable”. Il demanda à ce que chacun de nous, pour ce premier jour d'apprentissage, apprenne par coeur ce verset, et prépare la récitation des deux suivants pour le lendemain.

C'était une chose que j'annonçais déjà comme difficile...”

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Cristian : “Je me demandais bien comment j'allais pouvoir faire pour apprendre ce verset et le réciter par coeur, avec la bonne prononciation. Je n'osais pas demander à un collègue de m'aider, je voulais pas qu'on me prenne comme quelqu'un qui ne s'est pas se débrouiller seul et qui ne fait que demander des services à droite et à gauche à tout va.

J'allais à la petite bibliothèque de l'établissement pour récupérer l'interprétation française du Coran, afin de comprendre aussi la signification de ce que je récitais.

Ainsi le soir, de retour chez moi, je me mis à lire et apprendre. Je me souvenais des fautes que je fis et que le professeur rectifia. Je m'entraînais pendant 30 bonnes minutes, puis je commençais à lire les 2 autres versets que je devais préparer.

J'avais du mal, beaucoup de mal, après 15 minutes de lecture je savais que je n'arrivais pas à prononcer convenablement, j'ai directement abandonné.

Je pris l'interprétation française du Coran entre les mains, et je commença à lire. Je ne sais pas pourquoi, j'eus un ressenti étrange. Au fil des versets, je découvrais en quelques détails cette Divinité que les musulmans adoraient. Je continuais de lire jusqu'à la fin de la sourate, et je ne sais pas pourquoi, j'eus l'envie de la relire à nouveau.
Je la relu ainsi pendant 3 heures...

C'est ma mère qui m'alerta qu'il était minuit et que je devais éteindre ma lampe car il était tard, et que demain j'avais école.

J'eus complètement oublié le temps qui passa. Le lendemain, le professeur nous dit quelque chose d'étrange :

“Aujourd'hui, notre cours aura lieu dans la soirée, aux alentours de 21h, après le Maghreb”.

Un cours le soir !? C'était étrange, c'était bien la première fois que j'allais en vivre un pareil.

Ainsi le soir-même, il nous réunissait sous un Ciel bien étoilé, un peu au milieu de nulle part. Il alluma un feu, et nous invita à y prendre place autour de celui-ci.
Il demanda à tout le monde de réciter, et je fus le dernier à passer. J'eus besoin de 2-3 essais pour réciter convenablement le premier verset, et je n'y arrivais pas pour les deux autres. Le professeur tenta de m'y aider, et malgré cela j'avais beaucoup de mal.

Il m'interrogea :

“As-tu passé du temps à essayer d'apprendre ces 2 versets ? “

Je lui répondis par l'affirmative, et que j'avais passé beaucoup de temps à lire l'interprétation française surtout. Il fût très étonné :

“3h !? L'as connais-tu par coeur en français ? “

Je lui répondis encore par l'affirmative, et il dit très rapidement :

“Je t'écoute. Tout le monde, écoutez votre camarade.”

Je ne comprenais pas pourquoi il disait cela, mais bon je me lança. Je lui lisais de mémoire l'interprétation française entière de la Sourate al-Mulk. Et quand j'eus terminé, ses larmes commencèrent à tomber.

“Combien d'entre vous ici-présent, ont lu la sourate entière et ont tenté de l'apprendre ?”

Aucune personne ne se prononça, et il continua de parler toujours avec les larmes aux yeux :

“Votre camarade Cristian n'est pas musulman, et pourtant, il a essayé d'apprendre ce que je lui ai dis d'apprendre. Il a vu qu'il aurait du mal, et qu'il n'y arriverait pas seul. Il s'est donc demandé s'il pouvait compenser ces 2 versets par l'apprentissage complet de l'interprétation française de la sourate. Il a dépensé 3 heures dessus, et cela durant la Nuit.

Cristian n'est pas un musulman, et pourtant... il a cherché à en savoir plus sur qui était notre Seigneur, et à comprendre Ses Ecrits...”

Je trouvais suprenant que mon professeur comprenait exactement ce que j'avais au fond de moi, c'était parfaitement ça !

“Cristian, si je te demande pourquoi j'ai rassemblé tout le monde ici ce soir, à cette heure-ci, et sous ce Ciel étoilé, pourras-tu me répondre ? ”
14 janvier 2020 18:19
Incroyable, c'était incroyable. Je comprenais désormais pourquoi il m'avait rassemblé, et je lui répondis :

“Oui je pense. Dans cette sourate, en interprétation française, il est dit au verset 5 : “Nous avons effectivement embelli le ciel le plus proche avec des lampes [des étoiles] dont Nous avons fait des projectiles pour lapider les diables et Nous leur avons préparé le châtiment de la Fournaise”.

Il ne dit rien quelques instants, il se retourna, se leva, et partit à quelques mètres de nous. Les élèves et moi ne savions pas quoi faire, ni quoi dire. Nous avons attendu assis autour du feu qu'il revienne, cinq minutes plus tard.

“Le cours pour aujourd'hui est terminé”. Il salua tout le monde, et avant que je ne parte, il m'appela.

“Que penses-tu de ces paroles ? “

Je lui répondis :

“Je les trouve magnifique, je sens qu'elles sont spéciales. C'est dommage que je ne puisse pas la lire en arabe, ni comprendre certains passages.”

A cet instant, il me demanda de m'asseoir, et d'écouter la récitation en arabe entière qu'il allait faire de cette sourate.

J'en revenais pas, c'était magnifique. Déjà qu'en français le sens me touchait beaucoup, sa récitation en arabe était bien plus fort et plus émotionnelle. C'était une sorte de poème à mes yeux, mais un poème dont les paroles ne sont pas celles d'un poète. Je commençais même à verser quelques larmes vers la fin tellement c'était beau et émouvant.

Puis on partit tous les deux. Le soir-même, j'eus du mal à trouver le sommeil, je repensais à ce moment passé, c'était spécial pour moi. L'ambiance, l'environnement, et mon professeur, vraiment je l'estimais beaucoup.

Deux jours passèrent, et j'allais découvrir quelque chose de nouveau sur l'Islam : le début du mois de Ramadan. Je m'en aperçus lorsque je vins en cours avec mon goûter, et que mes quelques camarades avec qui j'avais l'habitude d'être, n'avaient rien emmenés.

“Qu'est-ce que le mois du Ramadan ? “

Ils commencèrent à m'apprendre que le mois du Ramadan est un mois béni et que tout musulman doit jeûner, et qu'il fait partie des cinq piliers de l'Islam. C'est au cours de ce mois que le Coran a été descendu, mais que cela n'impliquait pas le fait qu'il fut révélé en une seule fois. Ils me sortirent des paroles et avis des pieux prédécesseurs musulmans sur cette question, qui expliquaient que le Coran fut descendu au bas ciel, en une seule fois, durant une nuit bénie qui est la Nuit du Destin. Puis il fut révélé sur une longue période à leur Prophète. Et Dieu est Plus Savant.

Ainsi, ils devaient s'abstenir de manger, boire et avoir des rapports conjugaux de l'aube jusqu'à Maghreb.

Je me retrouvais ainsi seul à manger dehors dans le parc, je ne voulais pas les embêter à manger devant eux donc je me suis isolé. Ils avaient quand même l'air d'être en forme, et je les vis presque tous avec un ouvrage du Coran dans la main.

C'était un peu surprenant, car hier il n'y avait presque personne qui faisait cela. J'interrogeais mes camarades après la sortie des cours, pour comprendre davantage.

Durant ce mois, ils m'expliquaient que des diables étaient chassés et enchainés, qu'il s'agissait des plus rudes et plus durs d'entre eux. Que durant ce mois, les portes du Paradis étaient ouvertes, et celles de l'Enfer fermées. C'est pour cela qu'ils devaient faire du bien, et qu'ils trouvaient quelque chose de spécial durant ce mois. Ils m'expliquaient aussi qu'ils devaient aider les pauvres et réciter le Coran davantage, mais que cela était aussi valable en dehors du mois de Ramadan.

Je trouvais assez apaisante l'ambiance qui y régnait, c'était très calme. Je me sentais un peu seul du coup. Ce qui m'étonna était le soir, lorsque par ma fenêtre, j'apercevais une immense foule de personnes qui se rendait à la mosquée du coin. Il y avait des fidèles la nuit dernière, mais là le nombre était beaucoup plus important. Je les regardais entrer dans la mosquée, et de mon lit, j'entendis la récitation coranique de l'imam.

Leurs prières durèrent longtemps, plus d'une heure et trente minutes ils passèrent dans la mosquée. J'écoutais jusqu'au bout, car chaque fois que l'imam se mettait à réciter le Coran, mes larmes coulaient...”

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14 janvier 2020 18:26
“Je ne voulais plus dormir, je m'étais décidé à lire le Coran de fond en comble. Je me souviens que je n'avais qu'une question en tête :

“Est-ce que tout le monde peut devenir musulman, et Dieu nous pardonne-t-il pour notre passé ? ”

Je tournais les pages, je passais la nuit à lire l'interprétation française.
Le lendemain, je n'allais pas à l'école, j'étais si fatigué que j'avais passé la matinée à dormir. Puis l'après-midi, rien ne me servait d'y aller pour quelques heures. Je fus assez surpris car quelques collègues et mon professeur me rendirent visite en début de soirée. Ils ne voulaient pas entrer à la maison quand bien-même je leur proposa, donc c'est moi qui suis sortit. Je m'excusais devant lui pour avoir manqué les cours et lui ai dit que je m'excuserai aussi aux autres professeurs demain.

Il me demanda la raison, et je ne pouvais la lui cacher, il était quelqu'un en qui j'avais confiance :

“Hier soir, lorsque j'ai vu beaucoup de musulmans prier dehors pour vos prières du soir, j'ai écouté les récitations de l'imam jusqu'au bout, puis j'ai passé le reste de la nuit à lire votre Livre Sacré.”

Ils furent très étonnés, et mon professeur ne tarda pas pour m'expliquer :

“C'était les prières du Tarawih, elles ne sont pas obligatoires, mais fortement recommandées. Elles sont présentes pendant le mois du Ramadan. Après l'Ishaa, nous effectuons plusieurs rakatîn', des unités de prières, dans lesquelles l'imam récite une partie du coran. Il procède ainsi durant tout le mois, et à peu près vers le 28ème jour, il finit de réciter la dernière partie du Coran. Et ensuite, il reprend du début s'il a terminé. En arabe, on appelle une partie un “juz”.

Je comprenais donc pourquoi dans sa récitation arabe il y avait comme une suite. A vrai dire, je repérais certains mots/phrases qu'il récitait. Il me demanda ensuite :

“Que penses-tu de l'Islam ? ”

Je lui dis très sérieusement :

“Votre religion est magnifique. J'ai lu hier soir particulièrement sur le thème du repentir, car je voulais savoir si votre Divinité pardonnait, vu qu'il est mentionné que c'est Un Dieu Tout Puissant, le Seul, j'avais voulu savoir s'il y avait tout le monde qui avait le droit au pardon, dans quel cas, et...”

Ils étaient étonnés car je m'étais arrêté directement, ils attendaient la suite. Mais je ne pouvais pas, j'étais bloqué, comme je le suis maintenant...

C'est très dur mais...
(Cristian fit un grand souffle afin de pouvoir continuer son intervention)

Et...

Et est-ce que Allah va me pardonner maintenant que je souhaite devenir musulman...? ”

Cristian pleura. On pouvait entendre dans le micro de al-Said quelques larmes d'hommes aussi, qui furent très touchés par son histoire.

Cristian récupéra quelques minutes plus tard de ses émotions et continua.

Cristian : “C'est à ce moment-là qu'ils se mirent tous ensemble à me serrer forts contre eux, et ils commençaient eux aussi à pleurer avec moi... Je ne pouvais pas l'imaginer, j'aurais voulu rester comme cela longtemps encore.

Un peu tout le monde me sortit quelques murmures, du genre “oui in sha Allah”, “Allahou Akbar”, “bienvenue mon frère”.

Après quelques temps, on se ressaisissait, et je leur demandais si j'étais musulman. Ils me dire qu'il fallait que je fasse l'attestation de foi, et c'est ce que je fis directement devant eux.

C'était émouvant, ce moment restera à jamais gravé pour moi dans mon coeur et dans ma tête.
Plus tard, j'annonçais ma conversion à l'Islam à mes parents, et ils l'acceptèrent, ils n'avaient pas l'air très méfiants à l'égard de cette religion.

Et aujourd'hui, al hamdoullilah, toute ma famille est musulmane, et nous avons quitté le Qatar pour venir ici afin d'aider d'autres membres de ma famille qui sont présents aux Etats-Unis, à revenir à leur Seigneur, à revenir à Allah (Soubhanou wa'Taala).

J'espère que mon histoire vous profitera mes frères et soeurs ainsi qu'à ceux qui s'interrogent sur l'Islam.

Et puis, le Ramadan, c'est pour bientôt, in sha Allah. Je vais surement voyager pour les revoir cette année, on prend contact régulièrement par téléphone et al hamdoullilah, tout se passe bien.

Wa barak Allahou'fikoum,

Assalam alaykoum wa rahmatuLahi wa barakatouhu.”

al-Said : “Notre frère Cristian nous a partagé une magnifique histoire qui est la sienne. Al hamdoullilah, qu'Allah accepte ton repentir ainsi que le nôtre, et qu'Il renforce ces musulmans aux comportements nobles qui t'ont soutenu et aidé dans ta voie vers l'Islam. Ceci est encore un rappel pour nos coeurs de se montrer toujours juste et droit envers les gens.

Nous allons passés à notre soeur désormais,

Cathy.”

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A
14 janvier 2020 20:21
Machaallah ! Cest un parcours tres émouvant et bienvenue a lui parmi la communauté Welcome . Elhamdolillah Dieu guide qui le veut vers son droit chemin .
 
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