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Quelques éléments autour de la Sunna
s
18 août 2006 20:35
C'est long mais instructif
La source : [www.maison-islam.com]

Objection (faite oralement) :

Comment peux-tu distinguer, au sein de l'ensemble des façons de faire du Prophète (sur lui la paix), ce que tu as nommé "sunna 'âdiyya", alors qu'Allah a dit dans le Coran : "Il y a certainement pour vous, en le Messager d'Allah, un excellent modèle" (Coran 33/21) ? Chaque façon de faire du Prophète relève de cet excellent modèle. La distinction que tu fais entre sunnas 'âdiyya et sunnas ta'abbudiyya n'est pas celle des ulémas indiens. Il faut laisser les frères qui pratiquent des sunnas du Prophète les pratiquer au lieu de tenir des propos qui tendent à relativiser ces sunnas.


Réponse :

C'est de ma part la troisième tentative d'expliquer ce point (après un premier puis un second articles). On va finir par y arriver, inshâ Allâh...

Il nous manque parfois une chose, c'est la compréhension des nuances.

Cher frère, le fait que des frères ont choisi de pratiquer les sunna 'âdiyya ne me gêne absolument pas, rassure-toi ; et celui qui veut pratiquer de telles sunna ne fait qu'exercer son plein droit, je n'ai pas l'intention de l'inviter à cesser de le faire. Par contre il y a des choses avec quoi on peut ne pas être d'accord, comme par exemple le fait qu'un certain nombre de ces frères :
– se permettent de dénigrer ceux qui, personnellement, ont choisi de ne pas pratiquer les sunna 'âdiyya ;
– se sont mis à croire que suivre la Sunna c'est avant tout pratiquer les sunna 'âdiyya, plus quelques sunna ta'abbudiyya liées à la façon de s'habiller et de manger ;
– relativisent des enseignements du Prophète qui ne peuvent pas l'être – sunna ta'abbudiyya mujma' alayh –, et se permettent de le faire parce qu'ils disent que ces enseignements là du Prophète ne font pas partie de la Sunna.

Ce sont ces trois points là à propos desquels il y a, je crois, matière à réflexion.

Cher frère, écoute autour de toi. Un certain nombre de ceux qui parlent nuit et jour de la Sunna du Prophète (sur lui soit la paix) se sont mis à restreindre celle-ci aux sunna 'âdiyya concernant la tenue vestimentaire, la façon de s'asseoir pour manger, etc., plus à quelques sunna ta'abbudiyya telle que s'asseoir pour boire, utiliser la droite pour manger, entrer dans la mosquée avec le pied droit et aux toilettes avec le pied gauche. La Sunna est devenue restreinte à ces éléments et quelques autres du même type.

A côté de cela, on ne se prive absolument pas de se faire les relais – plus efficaces que des relais de radiotélévision – des on-dit qu'on entend ici et là – contredisant ainsi cette mise en garde du Prophète : "Il suffit pour qu'un homme tombe dans le mensonge qu'il répète tout ce qu'il entend dire". Et ce quand soi-même on n'est pas la source émettrice de calomnies – contredisant en cela cet avertissement du Prophète disant qu'on lui avait fait voir en rêve que, dans la vie après la mort, des hommes subissaient un terrible tourment, celui d'avoir les coins des lèvres etc. déchirés, parce que sur terre ils lançaient un mensonge "qui atteignait" peu à peu "les horizons". On s'invite dans ce qui ne nous regarde pas, contredisant par là ce que le Prophète a dit : "Cela relève de l'excellence de l'islam de quelqu'un qu'il délaisse ce qui ne le concerne pas". On reste même à l'affut (quand on ne délègue pas des personnes pour venir nous rapporter) pour tenter de trouver le défaut d'autrui (alors que le nah'y 'an il-munkar ne se fait que par rapport au mal qui est fait de façon ouverte), contredisant ainsi ce que le Prophète a dit : "Que t'empêche de (chercher les défauts) des gens ce que tu sais de toi-même". Parfois on va même jusqu'à dire que tout est permis dans le domaine du divertissement : regarder un film à l'eau de rose, lire un roman à l'eau de rose ? "Il faut arrêter de dire qu'on devrait chercher d'autres moyens pour se divertir, car ces moyens sont autorisés : c'est pour la bonne cause du divertissement, et le Prophète a enseigné qu'il faut de temps en temps se divertir" (fin de citation). Bien sûr que le Prophète a enseigné ça, mais n'a-t-il pas aussi enseigné qu'il y a des normes à respecter alors ? "Tel magazine de la presse people ? C'est permis d'en garder chez soi, parce que l'objectif c'est de se changer les idées [même si le magazine contient plein de nudité ?]". "Utiliser à pleine puissance le klaxon dans la ville à minuit le soir d'un mariage ? C'est permis, parce qu'on ne se marie qu'une seule fois dans la vie" (sic).

Non seulement on ne pratique pas ces Sunnas – ce qui est entre le musulman et Dieu, qui est Seul Juge – mais on refuse de considérer que cela fait partie de la Sunna. Autrement dit, on a restreint la Sunna aux quelques éléments que nous citions plus haut non pas seulement dans les faits mais sur le plan de sa considération même ('aqîda). Plus encore : parfois on n'est même pas prêt à entendre un rappel disant que telle et telle actions, qui ont cours aujourd'hui, ont été interdites par le Prophète ; on fait alors toutes sortes de justifications pour chercher à déclarer ces actions autorisées.

C'est par rapport à cette réalité que j'ai souhaité humblement rappeler les deux points suivants :
point 1 : les sunna 'âdiyya ne constituent pas l'objectif mais sont un complément des sunna ta'abbudiyya, qui, elles, constituent l'objectif ;
point 2 : ces sunna ta'abbudiyya englobent chaque aspect de la vie – et notamment la façon d'être avec les autres – ; et au sein de ces sunna ta'abbudiyya, il y a différents degrés d'importance : une sunna ta'abudiyya fardh ou wâjib a plus d'importance qu'une sunna ta'abbudiyya mustahabb ; mais même si on ne pratique pas une sunna ta'abbudiyya mustahabb, il est obligatoire de garder comme croyance qu'elle est mustahabb.

Cela je l'ai dit, et je le maintiens. Et, contrairement à ce que tu dis, des grands ulémas indiens l'avaient déjà dit…


A propos du point 1 :

Quelqu'un a demandé à Cheikh Thânwî à propos d'une action qu'il a citée et que le Prophète faisait si la faire est une sunna ? Le 'âlim et maître soufi lui répondit : "Oui, c'est une sunna, mais une sunna 'âdiyya, et non une sunnat-é 'ibâda. L'objectif originel est la sunnat-é 'ibâdâ. Cependant, si le mobile dans la sunna 'âdiyya est l'amour (du Prophète), alors cela rapportera des récompenses et de la bénédiction ; [cependant] il ne faut pas faire d'exagération ("ghuluw"winking smiley, c'est-à-dire qu'il ne faut pas lui donner la même considération qu'aux sunnat-é 'ibâda. Certaines personnes passent nuit et jour à faire des recherches pour savoir de quelle longueur était la canne ("'assâ-é mubârak"winking smiley du Prophète – que la paix soit sur lui –, et de quelle longueur était son turban ("'amâma sharîf"winking smiley. Si c'est un amoureux ("'âshiq"winking smiley qui fait ce genre de recherche, c'est différent, car son mobile est l'amour, mais la plupart des personnes qui sont à fond dans cela sont insouciantes des choses nécessaires de l'islam ; elles considèrent cela comme suffisant. S'il y a en cela ce genre d'exagération, ce sera se détourner de la religion. Chaque chose doit demeurer à sa limite. (…) Je dis ceci : le Prophète mangeait de l'orge : l'a-t-il fait 'âdatan ou 'ibâdatan ? Il est évident que ce n'est pas 'ibâdatan qu'il en mangeait. L'islam n'a pas rendu obligatoire de suivre la 'âdah du Prophète ; ce n'est pas un péché de ne pas la pratiquer. Il y a, dans les 'âdât, le choix par rapport au tempérament (personnel) etc. (…) Si certaines personnes ont le courage et qu'il leur est donné de pratiquer les 'âdât (aussi), alors il n'y pas de doute que cela sera un bien, mais elles n'ont pas le droit de dénigrer les autres (à ce sujet)" (Fiqh-é hanafî ké ussûl-o-dhawâbit, pp. 127-128).

Concernant le verset "Il y a certainement pour vous, en le Messager de Dieu, un excellent modèle" (Coran 33/21), Cheikh Thânwî dit :
"Le modèle est de deux types :
– (modèle) par rapport aux enseignements oraux ("qawlî"winking smiley,
– et (modèle) par rapport à la façon de faire ("fé'lî"winking smiley.
La "façon de faire" est constituée de la façon particulière qu'a eue [le Prophète de faire quelque chose]. Et les "enseignements oraux" sont la définition des limites qu'il n'est pas autorisé de franchir mais à l'intérieur desquelles il existe une grande latitude ; à propos de ce que nous faisons, des limites nous ont été montrées qu'il n'est pas autorisé de franchir et (à propos de quoi il nous a été dit) : "Agissez en restant dans toute la latitude qu'il y a à l'intérieur de ces limites". Ceci est obligatoire et nécessaire.
Ceux qui étaient de grands amoureux (du Prophète) ("'ushshâq"winking smiley ont montré qu'ils appliquaient le modèle dans la façon de faire même : ils mangeaient ce qu'il a mangé, buvaient ce qu'il a bu, ont passé leur vie de ce monde à un même niveau que lui l'a fait.
Mais pour les gens comme nous, il y a la latitude de satisfaire nos désirs en restant dans les limites [enseignées oralement par le Prophète] et en ne les transgressant pas. A propos de chaque action, demandez-vous où sont les limites enseignées par l'islam ; restez à l'intérieur de ces limites et vous serez considéré [par Dieu] comme pratiquant le modèle (du Prophète)" (Fiqh-é hanafî ké ussûl-o-dhawâbit, pp. 128-129).

Il ressort de ces écrits de Cheikh Thânwî deux choses :

a) La pratique des sunna ta'abudiyya est l'objectif ; quant à la pratique des sunna 'âdiyya, elle ne peut constituer qu'un complément de la pratique des sunna ta'abbudiyya : elle n'a donc de sens que si ces dernières sont aussi pratiquées. Dès lors, un musulman doit accorder son attention prioritaire à ce que le Prophète a enseigné en tant que sunna ta'abudiyya ; s'il se contente de ces sunnas là, il sera aussi "quelqu'un qui suit le modèle du Prophète" ; s'il a beaucoup de mahabba pour le Prophète, il peut également pratiquer les sunna 'âdiyya de celui-ci.

b) mais s'il a choisi de pratiquer les sunna 'âdiyya, il n'a pas le droit de faire un reproche à celui qui a choisi de ne pratiquer que les sunna ta'abbudiyya.

Je ne crois pas avoir dit autre chose.

(Une remarque : Cheikh Thânwî a ici parlé d'un côté du "'âshiq" (plur. "'ushshâq"winking smiley, et de l'autre côté les autres musulmans : cela ne signifie pas que ces autres musulmans n'aient pas de 'ishq pour le Prophète, puisque "Lâ yu'minu ahadukum hattâ akûna ahabba ilayhi min wlâlidhî wa waladihî wa-n-nâss ajma'aïn" ; ce que le Cheikh veut dire c'est que les premiers ont une qualité dominante – wasf ghâlib – de 'ishq – exactement comme dans les Hadîths évoqués dans un autre article. Mais, comme le Cheikh l'a dit, cette qualité dominante de 'ishq n'a de sens, lorsqu'elle entraîne l'adoption des sunna 'âdiyya, que si elle s'exprime par l'adoption à fortiori des sunna ta'abbudiyya.
Cheikh Muhammad Ilyâs – le fondateur du mouvement "Tabligh" –, faisait partie de ces ushshâq, ce qui explique l'emphase qu'il mettait sur le fait de suivre les moindres sunnas du Prophète ; c'était une "ghalaba" chez lui, comme l'a noté Cheikh Abu-l-Hassan Alî Nadwî : cf. Mawlânâ Muhammad Ilyâs aûr un kî dînî da'wat, pp. 242-243. C'est ce qui explique pourquoi le mouvement ne fait pas de distinction entre sunna et sunna, ou bien fait parfois une distinction de principe mais pour rajouter aussitôt qu'il s'agit de tout pratiquer.)


A propos du point 2 (qui concerne les sunna ta'abbudiyya) :

Utiliser la droite et non la gauche pour manger est une sunna ta'abbudiyya : d'après certains ulémas c'est mustahabb, d'après l'avis qui paraît le plus pertinent c'est wâjib. S'habiller en commençant du côté droit est aussi une sunna ta'abbudiyya, qui est mustahabb. Réciter les invocations de circonstances (al-ad'iyat ul-ma'thûra fi-l-awqât) est également une sunna ta'abbudiyya qui est mustahabb.

Muftî Taqî Uthmânî raconte avoir été le voisin de siège, dans un avion, d'un musulman avec qui il sympathisa pendant le voyage. L'heure du repas venue et comme Muftî Taqî s'aperçut que son voisin mangeait avec la gauche, il lui rappela avec douceur que le musulman ne mange pas avec la gauche. Mais l'homme se mit à justifier ce qu'il faisait en disant : "Si notre communauté est restée en arrière, c'est justement parce qu'elle n'a pas su abandonner ces petites choses. C'est ce qui a empêché notre communauté de progresser." Réponse logique de Muftî Taqî : "Vous mangez certainement depuis fort longtemps de cette façon. Eh bien dites-moi combien de progrès vous avez effectué en adoptant cette façon de faire ? Et par rapport à combien de personnes (restées en arrière) vous avez avancé ?" L'homme, décontenancé, ne put bien évidemment rien répondre (cf. Islâhî khutbât, 7/181-182). Dans les pages qui suivent sont relatés les rappels de Muftî Taqî concernant l'importance de suivre les enseignements du Prophète [chose que je comprends comme se rapportant avant tout aux sunna ta'abbudiyya, comme on vient de le voir sous la plume de Cheikh Thânwî]. Puis Muftî Taqî dit ce propos : "Cependant il est vrai que "la Sunna", ce n'est pas seulement ce genre de choses : que l'homme mange avec sa main droite, qu'il s'habille en commençant par le côté droit. Non, la Sunna est liée à chaque branche de la vie. Dans les Sunnas il y a aussi les manières du Prophète (sur lui soit la paix) : comment se comportait-il avec les gens ; comment c'était avec un visage souriant qu'il rencontrait les gens ; comment il faisait preuve de patience face aux torts que lui causaient les gens. Tout cela relève aussi de la Sunna. Mais aucune sunna n'est telle qu'on pourrait la mépriser en la considérant petite. Imaginez que quelqu'un n'a pas la guidance pour pratiquer une sunna ; il doit considérer celui qui pratique cette sunna comme agissant mieux. Mais se moquer de cette sunna, la mépriser, la considérer mauvaise, dire du mal d'elle, cela fait craindre le kufr pour cette personne" (Ibid., pp. 184-185).

Je te rappelle que même à propos des sunna 'âdiyya j'ai dit que les mépriser endommagerait notre foi.

Une nouvelle fois, je ne crois pas avoir dit quelque chose de différent.

On voit à travers ces dires de Muftî Taqî que les sunna ta'abbudiyya ne se limitent pas à boire assis et à utiliser la droite pour manger, et que le comportement vis-à-vis d'autrui – et tout ce que le Prophète a enseigné – relève aussi (shumûliyya) des sunna ta'abbudiyya.

De plus, au sein des sunna ta'abbudiyya, il y a ce qui obligatoire, et il y a ce qui n'est que recommandé ; on a la latitude de ne pas pratiquer la sunna ta'abbudiyya qui est purement recommandée, mais en considération ('aqîda), il est obligatoire de la croire recommandée. Et au sujet de cette différenciation de caractère (farq ul-marâtib) et de cette compréhension des priorités (fahm ul-awlawiyya), on peut citer de nouveau Cheikh Thânwî, qui a écrit à propos de "orner l'extérieur et l'intérieur ("ta'mîr uz-zâhir wa-l-bâtin"winking smiley" : "Il s'agit d'(orner) l'extérieur par les actions obligatoires relatives aux membres, et l'intérieur par les croyances correctes et les qualités telles que la sincérité, la reconnaissance, la patience, le zuhd, l'humilité, etc. Ceci constitue un premier niveau. Un second niveau consiste, en plus du premier niveau, à occuper l'extérieur dans les actions facultatives et l'intérieur dans la continuité du dhikr. Acquérir le premier niveau est obligatoire (fardh-é 'ayn) sur chaque musulman. Et pour cela il y a la nécessité de deux choses, dont il faudra donc se préoccuper également. La première est d'acquérir la quantité nécessaire de la connaissance du dîn, et ce que ce soit par des lectures ou par des questions adressées aux ulémas (…). La deuxième chose est de garder une forte détermination à agir selon (cette) connaissance, en sorte que ni les (désirs de) sa personne ni les reproches des créatures ne puissent être un empêchement. Ceci était donc l'explication du premier niveau.
Le second niveau est recommandé ("mandûb"winking smiley. (…) Si par le fait que l'on soit occupé à (quelque chose de) ce second niveau on vient à manquer ou à moins bien pratiquer un acte obligatoire, du premier niveau, être occupé à ce (quelque chose du second niveau) sera non avenu (…)" (Qasd us-sabîl ila-l-mawla-l-jalîl, pp. 2-3).
Plus encore, Cheikh Thânwî affirme : "Je ne dis pas de ce qui est mustahabb qu'il est bid'a, je dis que le considérer nécessaire est bid'a. Si quelqu'un considère wâjib ce qui est mustahabb, n'est-ce pas une bid'a ? "Nécessaire" ("lâzim" / "dharûri"winking smiley et "wâjib" veulent dire la même chose" (Fiqh-é hanafî ké ussûl-o-dhawâbit, p. 124).

Est-ce que je dis autre chose ?

Wallâhu A'lam (Dieu sait mieux).
s
20 août 2006 22:39
C'est long mais instructif
z
20 août 2006 22:46
Salam,

la maison de l'islam est un site très instructif, j'ai pas encore fini d'en faire le toursmiling smiley
Si les oliviers connaissaient les mains qui les ont plantés, leur huile deviendrait des larmes. [b][color=#FF0000]@[/color][color=#FF0000]@[/color]@@@@@@ [color=#FF0000]@[/color][color=#FF0000]@[/color][color=#FF0000]@[/color][color=#FFFFFF]@@@@@[/color] [color=#FF0000]@[/color][color=#FF0000]@[/color][color=#009900]@@@@@@[/color][/b]
B
21 août 2006 02:48
Salamsmiling smiley,


En effet, ça a beau être long, mais très instructif.
Barrak'Allah oufik srnit.smiling smiley
One step forward and two ahead...
s
21 août 2006 10:30
wa fik barakaAllah Casaouya

On sent vraiment que l'auteur des articles est très calé et qu'il a une certaine pédagogie dans sa manière d'expliquer.
Que Dieu le récompense.

Par rapport à l'article, je crois que ça peut nous permettre de comprendre pourquoi certains s'habillent en qamiss et insistent sur certains détails. Au final, tout dépend de l'intention, si c'est porté par l'amour du prophète paix et salut sur lui ou bien si c'est pour se distinguer et se sentir meilleurs que les autres muslims alors là c'est plus très cool.

smiling smiley
s
26 août 2006 16:09
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