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adbb a écrit:
Elle continua son récit, expliquant que les objectifs étaient les joyaux bruts qui, sous le travail ardent d'un tailleur de vie, pouvaient prendre forme et raviver la flamme intérieure. "Chaque but que tu fixes est une étincelle qui peut ranimer la flamme en toi. Tout comme un tailleur crée avec intention, tu peux façonner une vie emplie de significations et de moments lumineux."
Hou's, hypnotisé par cette harangue inspirée, cessa ses lamentations, illuminé par une lueur d'espoir, et lui demanda avec humilité pourquoi elle était venue à lui. Dystopia, un sourire empreint de compassion ornant ses traits, répondit : "Je suis venue car je crois en la magie de la transformation, Hou's. Et je sens que ta mélodie peut s'épanouir à nouveau, telle une pierre précieuse retrouvant son éclat après avoir été polie avec amour."
Dystopia narra à Hou's qu'elle avait besoin d'un alliage exquis, composé de plusieurs matériaux, pour reproduire une pièce particulière, comme l'avait indiqué l'intrépide Petit Biscuit. Après avoir écouté attentivement, Hou's, le tailleur de pierre, évoqua une pierre spécifique perchée au-delà de la colline, le Graal convoité mais d'une quête semée d'embûches.
Cependant, un silence sacré enveloppa la taverne lorsque Hou's, tapant du poing sur la table, attira l'attention de tous. Dans le silence, un cri perçant de louve déchira la nuit, annonçant une présence sinistre. Hou's, reprenant la parole, révéla que la louve solitaire qui rôdait n'était point ordinaire. Déjouant tous les stratagèmes des villageois, elle arborait une intelligence surpassant celle de ses congénères, Et ses hurlements semblaient porter l'agonie déchirante d'avoir perdu des êtres chers
Continuant son récit, Hou's partagea les légendes ancestrales qui entouraient la louve. On murmurait qu'elle était la dernière de son espèce, issue d'une contrée où les loups étaient des créatures gigantesques, jadis humains. La louve semblait porter en elle les vestiges d'une ancienne magie, résistant avec une noblesse farouche à toute tentative de capture. Dystopia comprit que cette quête ne serait point dénuée de défis, mais, telle une héroïne des légendes, elle embrassa avec détermination l'éclat des mystères qui se dressaient sur son chemin.
Dystopia, les yeux luisants d'une détermination éclairée, invita Hou's à l'accompagner dans cette quête au-delà de la colline, vers l'inconnu qui les appelait. Hou's, d'abord incrédule face à cette proposition fantaisiste, refusa promptement.
Cependant, Dystopia, empreinte de douceur, lui révéla, à travers les vers mélancoliques qui avaient caressé ses oreilles, qu'il était épris d'une femme dont le cœur n'était point un écho à ses sentiments. Elle suggéra que cette quête pourrait être l'occasion pour lui de se hisser en héros du village. Et si la louve consentait à les épargner, son nouveau statut pourrait charmer le cœur de celle qu'il aimait, ouvrant ainsi la voie à un amour partagé.
Avant qu'elle ne puisse conclure son raisonnement, Hou's, sans laisser place à l'objection, lui offrit un rendez-vous le lendemain matin à l'auberge de son autre frère. Touchée par cette réponse pleine de promesses, Dystopia acquiesça avec un sourire énigmatique, reconnaissante qu'un nouveau chapitre de leur aventure allait s'ouvrir dès l'aube, baigné des mystères de la nuit et des promesses du jour.
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adbb a écrit:
Portée par la conviction ardente de mener à bien son noble dessein et de dénicher les matériaux vénérés pour réparer l'infatigable Petit Biscuit, Dystopia s'achemina gracieusement vers le village. Là, elle fut accueillie par une atmosphère empreinte d'hospitalité et de légèreté, suscitant en elle les échos chaleureux des souvenirs enchanteurs de son enfance. Toutefois, des avertissements nocturnes s'étalaient sur des panneaux lugubres, révélant qu'un loup solitaire et mystérieux rôdait telle une ombre dans l'obscurité.
Convoquant le premier villageois qu'elle croisa, Dystopia demanda avec une élégance polie le chemin vers le sanctuaire du tailleur de pierre. Le villageois, un sourire bienveillant ornant ses lèvres, délivra avec grâce les indications nécessaires. Mais, à l'orée de l'atelier tant convoité, l'absence du tailleur de pierre déconcerta la quêteuse. Attendant dans la pénombre, elle ne distingua point la trace de l'artisan évanoui.
Un villageois, compatissant en la voyant attendre, lui expliqua que le tailleur de pierre, Hou's devenu Hou's le mélancolique, était devenu l'ombre de lui-même ces dernières semaines. Il suggéra de le quérir à la lueur des étoiles, dans la taverne de son frère. Pleinement satisfaite de ces informations, Dystopia préféra attendre le crépuscule pour initier la rencontre avec le tailleur de pierre.
Lorsque la nuit tendit son voile ténébreux, elle pénétra dans la taverne, un lieu où l'allégresse et l'animation dansaient comme des flammes virevoltantes. Soudain, tel un troubadour des temps anciens, un homme surgit, déclamant des vers teintés de mélancolie. Il sauta de table en table, offrant un spectacle envoûtant.
Lorsque la rhapsodie poétique parvint à la table de Dystopia, elle fut subjuguée par ces paroles enchanteresses :
"Dans la nuit d'adieu, reste encore un peu,
Mon cœur, tel une fleur flétrie, n'espère plus rien, même en un vœu.
Femme, notre amour était un festin éphémère,
Mais désormais, mon cœur, comme une viande insipide, ne saurait plus plaire.
Reste un instant, que je recueille ces heures perdues,
Puis envole-toi, emporte avec toi ce qui reste d'un amour déchu."
Dans l'interruption délicate de Dystopia, s'excusant poliment et interrogeant avec une grâce exquise sur l'identité du poète mélancolique, ce dernier répondit en des vers tout aussi envoûtants :
"Hou's, le tailleur de pierre, sculptait des rêves en splendeur,
Jusqu'à ce que son cœur devienne roche, prison de douleur.
Avec des outils émoussés, il ne peut tailler sa peine,
Faisant des vers, cherchant une rose pour apaiser sa chère reine.
Son cœur, jadis chef-d'œuvre, languit dans l'obscurité,
En quête d'une rose, seule clé de sa liberté.
Les vers deviennent écho d'une mélodie triste,
Dans l'atelier de sa peine, une symphonie persiste."
À la suite de cette poésie céleste entonnée par Hou's, Dystopia, telle une fée dépositaire de sagesses, lui expliqua que guérir de sa mélancolie nécessitait l'usage des bons instruments, capables de tailler son propre cœur et de lui restituer son éclat d'antan. Elle dévoila la sagesse selon laquelle l'action et la poursuite d'objectifs éblouissants étaient les marteaux et les burins qui pouvaient insuffler la joie de vivre. Hou's, envoûté par ces paroles, suspendit ses gémissements pour implorer les raisons de la venue de cette messagère.
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Vittoria a écrit:
Selem
C'est ma partie préférée.
Il y à du mystère avec l'introduction de la louve.
J'attends la suite 😁.
P.S : on sent un peu le robot dans l'écriture. Je suis certaine que tu aurais fait mieux sans (oui je fais de la rébellion avec ça 😜).
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adbb a écrit:
Salam vittoriabecka
ha cool ça veut dire que je m'améliore au fil de mes texte
ps: si j'en avais pas parlé, je pense que personne n'aurait deviné
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