je commence et on continu a remplir ce post de poèmes du monde
mrsi d'avance mes ami(e)s
Nazïm Hikmet ( turquie)
Je suis dans la clarté qui s'avance Mes mains sont toutes pleines de désir Le monde est beau Mes yeux ne se lassent pas de regarder les arbres Les arbres si verts, les arbres si pleins d'espoir Un sentier s'en va à travers les mûriers Je suis à la fenêtre de l'infirmerie Je ne sens pas l'odeur des médicaments Les oeillets ont dû s'ouvrir quelque part Être captif, là n'est pas la question Il s'agit de ne pas se rendre Voilà.
Sur les chemins de la bohême On m'a chouravé ma guitare Un viel homme m'a donné la sienne En me racontant son histoire Et je lui dédierai cet air A l'autre bout du bout du monde
De peur que je n'apprenne à te connaître trop facilement, tu joues avec moi. Tu m'éblouis de tes éclats de rire pour cacher tes larmes. Je connais tes artifices. Jamais tu ne dis le mot que tu voudrais dire. De peur que je ne t'apprécie pas, tu m'échappes de cent façons. De peur que je te confonde avec la foule, tu te tiens seule à part. Je connais tes artifices. Jamais tu ne prends le chemin que tu voudrais prendre. Tu demandes plus que les autres, c'est pourquoi tu es silencieuse. Avec une folâtre insouciance, tu évites mes dons. Je connais tes artifices. Jamais tu ne prends ce que tu voudrais prendre.
Au début, j'avais promis de me taire Mais plus tard, au matin, Je vous ai vus sortir avec des sacs de cendre devant les portes Et la répandre comme on sème le blé ; N'y tenant plus, j'ai crié : Que faites-vous ? Que faites-vous ? C'est pour vous que j'ai neigé toute la nuit sur la ville, C'est pour vous que j'ai blanchi chaque chose toute la nuit - ô si Vous pouviez comprendre comme il est difficile de neiger ! Hier soir, à peine étiez-vous couchés, que j'ai bondi dans l'espace Il y faisait sombre et froid. Il me fallait Voler jusqu'au point unique où Le vide fait tournoyer les soleils et les éteint, Tandis que je devais palpiter encore un instant dans ce coin, Afin de revenir, neigeant parmi vous. Le moindre flocon, je l'ai surveillé, pesé, éprouvé, Pétri, fait briller du regard, Et maintenant, je tombe de sommeil et de fatigue et j'ai la fièvre. Je vous regarde répandre la poussière du feu mort Sur mon blanc travail et, souriant, je vous annonce : Des neiges bien plus grandes viendront après moi Et il neigera sur vous tout le blanc du monde. Essayez dès à présent de comprendre cette loi, Des neiges gigantesques viendront après nous, Et vous n'aurez pas assez de cendre. Et même les tout petits enfants apprendront à neiger. Et le blanc recouvrira vos piètres tentatives à le nier. Et la terre entrera dans le tourbillon des étoiles Comme un astre brûlant de neige.
Je sens mon coeur qui bat.. C'est l'amour de la paix qui ravage mon esprit.. C'est le desir de l'ame qui s'assoiffe au bonheur infini.. Mais il ne dure pas..
J'approuve l'amour saint à mes proches .. J'aime aussi tout le monde meme ceux ,labas, où on entend le son des cloches.. Je suis un serviteur de dieu Je compte l'etre meme meme quand je serai vieux..
Je comprend , enfin ,le pourquoi de mon enfance.. Depuis que je suis grand et je respecte toutes les croiyances.. Envers Mon dieu , ma vie , mon esprit J'ai toujours une bonne foie meme envers mon ennemie.
Re: les poésies du monde Auteur: Maghribi7our (IP enregistrée) Date: le 02 janvier 2005 à 22h45
Je sens mon coeur qui bat.. C'est l'amour de la paix qui ravage mon esprit.. C'est le desir de l'ame qui s'assoiffe au bonheur infini.. Mais il ne dure pas..
J'approuve l'amour saint à mes proches .. J'aime aussi tout le monde meme ceux ,labas, où on entend le son des cloches.. Je suis un serviteur de dieu Je compte l'etre meme meme quand je serai vieux..
Je comprend , enfin ,le pourquoi de mon enfance.. Depuis que je suis grand et je respecte toutes les croiyances.. Envers Mon dieu , ma vie , mon esprit J'ai toujours une bonne foie meme envers mon ennemie.
<b> je te donne mon cœur et ma passion, je te donne mes mmooouuuahhhs et mes caresses, je te donne ma sensibilité et ma tendresse , toi ma source de mon cœur, tu l’ arrose chaque matin , avec ta sourire tes beaux yeux, tu la rendue une seule saison , c'est la saison du printemps, ou poussent les fleurs et chantent les oiseaux , alors sent le parfum du musk de mon cœur c'est ce que tu as semé ... </B>
la jeune fille ki recevra ton poème sera a jamais charmée
un poème francais
L'encre de tes yeux
Puisqu'on ne vivra jamais tous les deux Puisqu'on n'est fou, puisqu'on est seuls Puisqu'ils sont si nombreux Même la morale parle pour eux J'aimerais quand même te dire Tout ce que j'ai pu écrire Je l'ai puisé à l'encre de tes yeux.
Je n'avais pas vu que tu portais des chaînes A trop vouloir te regarder, J'en oubliais les miennes On rêvait de Venise et de liberté J'aimerais quand même te dire Tout ce que j'ai pu écrire C'est ton sourire qui me l'a dicté.
Tu viendras longtemps marcher dans mes rêves Tu viendras toujours du côté Où le soleil se lève Et si malgré ça j'arrive à t'oublier J'aimerais quand même te dire Tout ce que j'ai pu écrire Aura longtemps le parfum des regrets.
Francis CABREL
magnifik hein?
inna llaha la yoghayirro ma bikawmine 7atta yoghayirro ma bi anfossihim
rifia1 a écrit: ------------------------------------------------------- > magnifik romh > > la jeune fille ki recevra ton poème sera a jamais > charmée > > > un poème francais > > > > L'encre de tes yeux > > Puisqu'on ne vivra jamais tous les deux > Puisqu'on n'est fou, puisqu'on est seuls > Puisqu'ils sont si nombreux > Même la morale parle pour eux > J'aimerais quand même te dire > Tout ce que j'ai pu écrire > Je l'ai puisé à l'encre de tes yeux. > > Je n'avais pas vu que tu portais des chaînes > A trop vouloir te regarder, > J'en oubliais les miennes > On rêvait de Venise et de liberté > J'aimerais quand même te dire > Tout ce que j'ai pu écrire > C'est ton sourire qui me l'a dicté. > > Tu viendras longtemps marcher dans mes rêves > Tu viendras toujours du côté > Où le soleil se lève > Et si malgré ça j'arrive à t'oublier > J'aimerais quand même te dire > Tout ce que j'ai pu écrire > Aura longtemps le parfum des regrets. > > Francis CABREL > > > magnifik hein? > > > > > > > -------------------------------------------------- > ----------- > > La poésie libère la magie des mots. > > Stéphane Jean
que serait ma vie sans ma religion? un vaste chanp de misere et d'incompréhention. trés vite la solitude m'ourait envahie sans une once de pitié,seulement du mépris. oui car malgrer la population entiére mon coeur lui reste solitaire.
mais la veriter est venu a moi avec l'aide d'allah,j'ai trouver ma voie sans vous ,seigneur,je ne suis rien et de vous, j'ai grand besoin quand je suis triste et déprimée je me confie a vous et je suis consolée
il me reste beoucoup a apprendre et je ne suis pas toujour tres tendre pardonnez _ moi allah je vous en prie ainsi qu'a mes freres et soeure,je vous en suplie ici mon poeme prend fin que allah nous conduise vers un heureux destin.
ce n'est pas un poeme du monde et je ne connai pas lauteur,mais je voulais te faire partager ce poeme alord, je me suise permise de le poster sur ton poste.
dieu créa l'homme et l'homme créa le mal Eve goutta la pomme et le monde divint infernal
le passé fait tros honte cette histoire qui nous hante ces gerres,tous ces morts inutiles pour toute ces grandes couses futiles
le diable a fait beoucoup d' enfants qui s'en vonts sur terre au grée du vent sement les mouvais sentiments dans le coeur des hommes,toujours perdants
pourtant,il y avait des reves fondus dans l'instanse couleur du ciel des reves de vies,de bonheur éterneles des songe manifique comme Eve
oh adam!toi créature de dieu ouvre grand tes yeux tes enfants ont oublier de s'aimer il faot tout recomencer.