Citation
yabimann a écrit:
Poème pour nos frères les oubliés [Rohiynghas - Birmanie]
Quand je vois ce coucher de soleil à Burma
Qui cache horreur assassinat
De nos frères Rohingya
Je ne peux penser à cette devise
De ce pays qui divise
Le bonheur se trouve
Dans une vie harmonieusement disciplinée, ceci le prouve !
Leur emblème est la haine
J'ai tant de la peine
Mais je me rassure
De toute ces blessures
L'ONU est bien complice
Méfiez vous de leurs artifices
Qu' attendez vous de gens pareil?
Un réveille un éveil ,chut il sommeil
L' occident est coupable
De ce silence blâmable
Ils sont tous semblable
Rien de plus condamnable
Mais le Très haut les récompensera
Leur rajoutera foi
A leur ennemi jettera l' effroi
Croyez moi ils sont vivants auprès d'Allah
Comme les gens du fossé
Qui ont été brulés
Pour la parole de l' unicité
Voilà l'histoire se répète
Je suis qu'un simple poète
Par mes vers dénonce l'adversité
D'un peuple massacré avec bestialité
Par tout ces bourreaux
Se chargeant d'un fardeau
Comment en arriver
A tuer sacrifier dépecer
Vous avez atteint votre croyance
Êtes transformé en chien d'errance
Religion de paix, vous vous êtes dévoilé
De votre divinité, d'aucune utilité
Le jour dernier vous la suivrez
Se demandant ou vous allez
Pour entrer au brasier
Vous l'appelez bouddha
Aucune part ici bas ni dans l'au delà
Elle ne vous regardera même pas
Mensonge est cette doctrine renégat
Revenez à Allah, Il vous pardonnera
Lui seul qui mérite l'adoration
Qui rit quand un mécréant
Tue un musulman, puis revient tout repentant
De son égarement, prononçant l'attestation
absolution, pardon, telle est notre religion...
Mahmoud Ibn Hassan
Citation
Iskaaek a écrit:
Un joli poème de Jules Verne pour une personne qui se reconnaîtra (ou pas..)
Ce feu fantasque, insaisissable,
Qui, dans l’ombre voltige et luit,
Et qui, même pendant la nuit,
Ni sur la mer, ni sur le sable,
Ne laisse de traces après lui.
Ce feu toujours prêt à s’éteindre,
Tour à tour blanc, vert ou violet,
Pour reconnaître ce qu’il est,
Il faudrait le pouvoir atteindre !
Atteignez donc un feu follet !
On dit que c’est chose certaine,
Un peu d’hydrogène du sol,
J’aime mieux croire qu’en son vol,
Il vient d’une étoile lointaine,
De
Wega, de la
Lyre ou d’Algol.
Mais n’est-ce pas plutôt l’haleine
D’un sylphe, d’un djinn, d’un lutin,
Qui brille la nuit et s’éteint,
Lorsque se réveille la plaine
Aux rayons joyeux du matin,
Ou la lueur de la lanterne
Du long spectre qui va s’asseoir
Sur la chaume du vieux pressoir,
Quand la lune blafarde et terne
Se lève à l’horizon du soir ?
Peut-être l’âme lumineuse
D’une folle qui va cherchant
La paix loin du monde méchant,
Et passe comme une glaneuse
Qui n’a rien trouvé dans son champ !
Serait-ce un effet de mirage
Sur l’horizon déjà moins clair
Produit par un trouble de l’air ,
Ou, vers la fin de quelque orage,
Le reste d’un dernier éclair ?
Est-ce la lueur d’un bolide,
Véritable jouet icarien » ?
Qui dans son cours aérien
Etait lumineux et solide,
Et dont il ne reste plus rienI,
Ou sur les champs dont il éclaire
D’un pâle reflet le sillon,
Quelque mystérieux rayon
Tombé d’une aurore polaire,
Triste et nocturne papillon ?
Serait-ce en ces heures funèbres
Où les vivants dorment, lassés,
Le pavillon aux plis froissés
Qu’ici-bas l’ange des ténèbres
Arbore au nom des trépassés ?
Ou bien, pendant les nuits trop sombres,
Lorsque le moment est venu,
Est-ce le signal convenu
Que la terre, du sein des ombres,
Envoie au ciel vers l’inconnu,
Et qui, comme un feu de marée,
Aux
Esprits errant à travers
Les vagues espaces ouverts
Indique la céleste entrée
Des ports de l’immense
Univers ?
Mais si c’est l’ardente étincelle
Qui sur son front porte l’Amour
Quand il parcourt le monde pour
Essayer de rencontrer
Celle
Qui doit le fixer sans retour,
Prends garde à ton cœur, jeune fille,
Et si tu l’aperçois là-bas,
Laisse-le seul à ses ébats !
Oui ! prends garde ! ce feu qui brille
S’éteint vite et ne brûle pas !
Qui que tu sois, éclair, souffle, âme,
Pour bien
I pénétrer tes secrets
O feu fantasque, je voudrais
Un jour m’absorber dans ta flamme
Alors, partout je te suivrais,
Lorsque sur la cime des arbres,
Tu viens te poser, souffle ailé,
Ou, discrètement appelé,
Lorsque tu caresses les marbres
Du cimetière désolé,
Quand dans nos vieilles cathédrales
Tu viens parfois te frapper aux
Saints coloriés de leurs vitraux
Ou que des cryptes sépulcrales
Tu glisses hors des soupiraux,u
Lorsque vers minuit tu t’accroches
Aux ruines du vieux manoir
Qui domine les hautes roches
Et sur le ciel paraît tout noir,
Ou quand tu rôdes sur les lisses
Du navire battu de flanc
Sous les coups de typhon hurlant
Et que dans les agrès tu glisses
Ainsi qu’un lumineux goéland !
Et l’union serait complète
Si le destin, un jour, voulait
Que je pusse, comme il me plaît,
Naître avec toi, flamme follette,
Mourir avec toi, feu follet !
Citation
Yabiwoman a écrit:
Salam aaleykoum,
Beau poème
Je t'ai reconnu . J'espère que tout va bien .
Citation
yabimann a écrit:
wahleykom salem,
j'aime bcp ce poème, il est très beau.
hamdouliLlah tout va bien.
comment ça tu m'as reconnu ? c impossible je suis très prudent
Citation
Yabiwoman a écrit:
Je confirme.
Elhamdoulileh.
Je sais qui tu es !
Tu ne l'as pas été assez
Citation
PetitePoule a écrit:
Salam,
C'est qui ?
Citation
Yabiwoman a écrit:
Aaleykoum Salam,
Je ne peux pas dire qui c'est, désolée PetitePoule
Citation
PetitePoule a écrit:
Oh dommage (
Pas de souci, c'est pas grave
Citation
yabimann a écrit:
mdr vous me faites rire , je me demande ce que j'ai pu dire pour que vous puissiez penser que je sois quelqu'un d'autre
Citation
Hawaï tropical a écrit:
J'ai plusieurs poèmes pour plusieurs personnes.
A maya:
Toi,toi
Ma belle andalouse
Aussi belle que jalouse
Quand tu danses le temps s'arrête
Je perds le Nord, Je perds la tête...
A yabiwoman:
Toi, toi
Ma belle espagnole
Quand tu bouge tes épaules ( sur de la reggada)
Je ne vois plus le monde autour
C'est peut être ca l'amour
A bmaghrebia:
Oyé yé yé
Oho oho
Oyé ýé yé
Ohoh oho
A C.C.B:
Je connais pas le suite désolée
Mais je t'aime beaucoup
Au bleu
Gitanoooooooo
Voilà voilà!