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Un poème, un pseudo.
11 juillet 2016 23:01
Dédicacer un poème ou quelques vers à une personne. Ou mieux encore composer ses vers soi-même.



Modifié 4 fois. Dernière modification le 14/07/16 19:46 par Summertime.*.
11 juillet 2016 23:16
.. A vos claviers. smiling smiley



Modifié 7 fois. Dernière modification le 14/07/16 21:16 par Summertime.*.
y
12 juillet 2016 00:14
Poème pour nos frères les oubliés [Rohiynghas - Birmanie]

Quand je vois ce coucher de soleil à Burma
Qui cache horreur assassinat
De nos frères Rohingya

Je ne peux penser à cette devise
De ce pays qui divise
Le bonheur se trouve
Dans une vie harmonieusement disciplinée, ceci le prouve !

Leur emblème est la haine
J'ai tant de la peine
Mais je me rassure
De toute ces blessures

L'ONU est bien complice
Méfiez vous de leurs artifices
Qu' attendez vous de gens pareil?
Un réveille un éveil ,chut il sommeil

L' occident est coupable
De ce silence blâmable
Ils sont tous semblable
Rien de plus condamnable

Mais le Très haut les récompensera
Leur rajoutera foi
A leur ennemi jettera l' effroi
Croyez moi ils sont vivants auprès d'Allah

Comme les gens du fossé
Qui ont été brulés
Pour la parole de l' unicité

Voilà l'histoire se répète
Je suis qu'un simple poète
Par mes vers dénonce l'adversité
D'un peuple massacré avec bestialité

Par tout ces bourreaux
Se chargeant d'un fardeau
Comment en arriver
A tuer sacrifier dépecer

Vous avez atteint votre croyance
Êtes transformé en chien d'errance
Religion de paix, vous vous êtes dévoilé
De votre divinité, d'aucune utilité

Le jour dernier vous la suivrez
Se demandant ou vous allez
Pour entrer au brasier
Vous l'appelez bouddha
Aucune part ici bas ni dans l'au delà
Elle ne vous regardera même pas

Mensonge est cette doctrine renégat
Revenez à Allah, Il vous pardonnera

Lui seul qui mérite l'adoration
Qui rit quand un mécréant
Tue un musulman, puis revient tout repentant
De son égarement, prononçant l'attestation

absolution, pardon, telle est notre religion...

Mahmoud Ibn Hassan
[b][color=#FF0000]« Vole comme le papillon, pique comme l’abeille, et vas-y cogne mon gars, cogne. »[/color][/b]
F
12 juillet 2016 00:15
Je dédie aussi un poème ^^

J'ai presque peur, en vérité. Paul VERLAINE.

J'ai presque peur, en vérité,
Tant je sens ma vie enlacée
A la radieuse pensée
Qui m'a pris l'âme l'autre été,

Tant votre image, à jamais chère,
Habite en ce coeur tout à vous,
Mon coeur uniquement jaloux
De vous aimer et de vous plaire ;

Et je tremble, pardonnez-moi
D'aussi franchement vous le dire,
A penser qu'un mot, un sourire
De vous est désormais ma loi,

Et qu'il vous suffirait d'un geste.
D'une parole ou d'un clin d'oeil,
Pour mettre tout mon être en deuil
De son illusion céleste.

Mais plutôt je ne veux vous voir,
L'avenir dût-il m'être sombre
Et fécond en peines sans nombre,
Qu'à travers un immense espoir,
Plongé dans ce bonheur suprême
De me dire encore et toujours,
En dépit des mornes retours,
Que je vous aime, que je t'aime !
F
12 juillet 2016 00:17
Et un pour ma petite Assia ^^

Du même auteur (J'aime Verlaine :p)

Promenade sentimentale

Le couchant dardait ses rayons suprêmes
Et le vent berçait les nénuphars blêmes ;
Les grands nénuphars entre les roseaux
Tristement luisaient sur les calmes eaux.
Moi j'errais tout seul, promenant ma plaie
Au long de l'étang, parmi la saulaie
Où la brume vague évoquait un grand
Fantôme laiteux se désespérant
Et pleurant avec la voix des sarcelles
Qui se rappelaient en battant des ailes
Parmi la saulaie où j'errais tout seul
Promenant ma plaie ; et l'épais linceul
Des ténèbres vint noyer les suprêmes
Rayons du couchant dans ses ondes blêmes
Et les nénuphars, parmi les roseaux,
Les grands nénuphars sur les calmes eaux.
I
IEF
12 juillet 2016 00:32
Salam aleykoum wa rahmatuLlah wa barakatuh

Pour chaque yabi yawning smiley


Ô mon amie,
Aidons-nous dans le bien et la piété
Et ne nous livrons pas aux futilités et frivolités

Le chemin est long et parsemé d'embûches
Mais la vie dernière demeure meilleure que celle-ci

Si je me trompe, corrige-moi
Soit à l'exemple du médecin qui désire soigner le malade
Et ne soit pas à l'image du juge qui applique sa sentence en public

Aidons-nous pour l'au-delà
Certes, il n'y a pas de repos en cette vie
Le repos demeure seulement auprès d'Allâh

Use de douceur envers moi
En choisissant les mots les plus beaux

Car comme le disait le poète :
"Les blessures des lances finissent par cicatriser
Mais il n'y a point de cicatrisation pour ce que la langue a blessé"





ام عبد الرحمن و عمران
✅ Publié par 3ilmchar3i.net
I
12 juillet 2016 03:50
Un joli poème de Jules Verne pour une personne qui se reconnaîtra (ou pas..eye rolling smiley)



Ce feu fantasque, insaisissable,
Qui, dans l’ombre voltige et luit,
Et qui, même pendant la nuit,
Ni sur la mer, ni sur le sable,
Ne laisse de traces après lui.

Ce feu toujours prêt à s’éteindre,
Tour à tour blanc, vert ou violet,
Pour reconnaître ce qu’il est,
Il faudrait le pouvoir atteindre !
Atteignez donc un feu follet !

On dit que c’est chose certaine,
Un peu d’hydrogène du sol,
J’aime mieux croire qu’en son vol,
Il vient d’une étoile lointaine,
De
Wega, de la
Lyre ou d’Algol.

Mais n’est-ce pas plutôt l’haleine
D’un sylphe, d’un djinn, d’un lutin,
Qui brille la nuit et s’éteint,
Lorsque se réveille la plaine
Aux rayons joyeux du matin,

Ou la lueur de la lanterne
Du long spectre qui va s’asseoir
Sur la chaume du vieux pressoir,
Quand la lune blafarde et terne
Se lève à l’horizon du soir ?

Peut-être l’âme lumineuse
D’une folle qui va cherchant
La paix loin du monde méchant,
Et passe comme une glaneuse
Qui n’a rien trouvé dans son champ !
Serait-ce un effet de mirage
Sur l’horizon déjà moins clair
Produit par un trouble de l’air ,

Ou, vers la fin de quelque orage,
Le reste d’un dernier éclair ?

Est-ce la lueur d’un bolide,
Véritable jouet icarien » ?
Qui dans son cours aérien
Etait lumineux et solide,
Et dont il ne reste plus rienI,

Ou sur les champs dont il éclaire
D’un pâle reflet le sillon,
Quelque mystérieux rayon
Tombé d’une aurore polaire,
Triste et nocturne papillon ?

Serait-ce en ces heures funèbres
Où les vivants dorment, lassés,
Le pavillon aux plis froissés
Qu’ici-bas l’ange des ténèbres
Arbore au nom des trépassés ?

Ou bien, pendant les nuits trop sombres,
Lorsque le moment est venu,
Est-ce le signal convenu
Que la terre, du sein des ombres,
Envoie au ciel vers l’inconnu,

Et qui, comme un feu de marée,
Aux
Esprits errant à travers
Les vagues espaces ouverts
Indique la céleste entrée
Des ports de l’immense
Univers ?

Mais si c’est l’ardente étincelle
Qui sur son front porte l’Amour
Quand il parcourt le monde pour
Essayer de rencontrer
Celle
Qui doit le fixer sans retour,

Prends garde à ton cœur, jeune fille,
Et si tu l’aperçois là-bas,
Laisse-le seul à ses ébats !

Oui ! prends garde ! ce feu qui brille
S’éteint vite et ne brûle pas !

Qui que tu sois, éclair, souffle, âme,
Pour bien
I pénétrer tes secrets
O feu fantasque, je voudrais
Un jour m’absorber dans ta flamme
Alors, partout je te suivrais,

Lorsque sur la cime des arbres,
Tu viens te poser, souffle ailé,
Ou, discrètement appelé,
Lorsque tu caresses les marbres
Du cimetière désolé,

Quand dans nos vieilles cathédrales
Tu viens parfois te frapper aux
Saints coloriés de leurs vitraux
Ou que des cryptes sépulcrales
Tu glisses hors des soupiraux,u

Lorsque vers minuit tu t’accroches
Aux ruines du vieux manoir
Qui domine les hautes roches
Et sur le ciel paraît tout noir,

Ou quand tu rôdes sur les lisses
Du navire battu de flanc
Sous les coups de typhon hurlant

Et que dans les agrès tu glisses
Ainsi qu’un lumineux goéland !

Et l’union serait complète
Si le destin, un jour, voulait
Que je pusse, comme il me plaît,
Naître avec toi, flamme follette,
Mourir avec toi, feu follet !
12 juillet 2016 05:38
Un poème d'Albert Samain.
Silence

Le silence descend en nous,
Tes yeux mi-voilés sont plus doux ;
Laisse mon cœur sur tes genoux.

Sous ta chevelure épandue
De ta robe un peu descendue
Sort une blanche épaule nue.

La parole a des notes d'or ;
Le silence est plus doux encor,
Quand les cœurs sont pleins jusqu'au bord.

Il est des soirs d'amour subtil,
Des soirs où l'âme, semble-t-il,
Ne tient qu'à peine par un fil...

Il est des heures d'agonie
Où l'on rêve la mort bénie
Au long d'une étreinte infinie.

La lampe douce se consume ;
L'âme des roses nous parfume.
Le Temps bat sa petite enclume.

Oh ! s'en aller sans nul retour,
Oh ! s'en aller avant le jour,
Les mains toutes pleines d'amour !

Oh ! s'en aller sans violence,
S'évanouir sans qu'on y pense
D'une suprême défaillance...

Silence !... Silence !... Silence !...




Modifié 4 fois. Dernière modification le 14/07/16 21:17 par Summertime.*.
L
12 juillet 2016 08:24
Elle devrait se reconnaître facilement. grinning smiley

Du grand Victor Hugo. Welcome

Magnifique ce topic...

Abîme - La Voie Lactée


Millions, millions, et millions d'étoiles !
Je suis, dans l'ombre affreuse et sous les sacrés voiles,
La splendide forêt des constellations.
C'est moi qui suis l'amas des yeux et des rayons,
L'épaisseur inouïe et morne des lumières,
Encor tout débordant des effluves premières,
Mon éclatant abîme est votre source à tous.
O les astres d'en bas, je suis si loin de vous
Que mon vaste archipel de splendeurs immobiles,
Que mon tas de soleils n'est, pour vos yeux débiles,
Au fond du ciel, désert lugubre où meurt le bruit,
Qu'un peu de cendre rouge éparse dans la nuit !
Mais, ô globes rampants et lourds, quelle épouvante
Pour qui pénétrerait dans ma lueur vivante,
Pour qui verrait de près mon nuage vermeil !
Chaque point est un astre et chaque astre un soleil.
Autant d'astres, autant d'immensités étranges,
Diverses, s'approchant des démons ou des anges,
Dont les planètes font autant de nations ;
Un groupe d'univers, en proie aux passions,
Tourne autour de chacun de mes soleils de flammes ;
Dans chaque humanité sont des coeurs et des âmes,
Miroirs profonds ouverts à l'oeil universel,
Dans chaque coeur l'amour, dans chaque âme le ciel !
Tout cela naît, meurt, croît, décroît, se multiplie.
La lumière en regorge et l'ombre en est remplie.
Dans le gouffre sous moi, de mon aube éblouis,
Globes, grains de lumière au loin épanouis,
Toi, zodiaque, vous, comètes éperdues,
Tremblants, vous traversez les blêmes étendues,
Et vos bruits sont pareils à de vagues clairons,
Et j'ai plus de soleils que vous de moucherons.
Mon immensité vit, radieuse et féconde.
J'ignore par moments si le reste du monde,
Errant dans quelque coin du morne firmament,
Ne s'évanouit pas dans mon rayonnement.

Les Nébuleuses

A qui donc parles-tu, flocon lointain qui passes ?
A peine entendons-nous ta voix dans les espaces.
Nous ne te distinguons que comme un nimbe obscur
Au coin le plus perdu du plus nocturne azur.
Laisse-nous luire en paix, nous, blancheurs des ténèbres,
Mondes spectres éclos dans les chaos funèbres,
N'ayant ni pôle austral ni pôle boréal :
Nous, les réalités vivant dans l'idéal,
Les univers, d'où sort l'immense essaim des rêves,
Dispersés dans l'éther, cet océan sans grèves
Dont le flot à son bord n'est jamais revenu ;
Nous les créations, îles de l'inconnu !

L'Infini

L'être multiple vit dans mon unité sombre.

Dieu

Je n'aurais qu'à souffler, et tout serait de l'ombre.




Modifié 1 fois. Dernière modification le 12/07/16 08:31 par Le Feu Follet.
Y
12 juillet 2016 10:58
Salam aaleykoum,

Beau poème smiling smiley

Je t'ai reconnu winking smiley . J'espère que tout va bien .
Citation
yabimann a écrit:
Poème pour nos frères les oubliés [Rohiynghas - Birmanie]

Quand je vois ce coucher de soleil à Burma
Qui cache horreur assassinat
De nos frères Rohingya

Je ne peux penser à cette devise
De ce pays qui divise
Le bonheur se trouve
Dans une vie harmonieusement disciplinée, ceci le prouve !

Leur emblème est la haine
J'ai tant de la peine
Mais je me rassure
De toute ces blessures

L'ONU est bien complice
Méfiez vous de leurs artifices
Qu' attendez vous de gens pareil?
Un réveille un éveil ,chut il sommeil

L' occident est coupable
De ce silence blâmable
Ils sont tous semblable
Rien de plus condamnable

Mais le Très haut les récompensera
Leur rajoutera foi
A leur ennemi jettera l' effroi
Croyez moi ils sont vivants auprès d'Allah

Comme les gens du fossé
Qui ont été brulés
Pour la parole de l' unicité

Voilà l'histoire se répète
Je suis qu'un simple poète
Par mes vers dénonce l'adversité
D'un peuple massacré avec bestialité

Par tout ces bourreaux
Se chargeant d'un fardeau
Comment en arriver
A tuer sacrifier dépecer

Vous avez atteint votre croyance
Êtes transformé en chien d'errance
Religion de paix, vous vous êtes dévoilé
De votre divinité, d'aucune utilité

Le jour dernier vous la suivrez
Se demandant ou vous allez
Pour entrer au brasier
Vous l'appelez bouddha
Aucune part ici bas ni dans l'au delà
Elle ne vous regardera même pas

Mensonge est cette doctrine renégat
Revenez à Allah, Il vous pardonnera

Lui seul qui mérite l'adoration
Qui rit quand un mécréant
Tue un musulman, puis revient tout repentant
De son égarement, prononçant l'attestation

absolution, pardon, telle est notre religion...

Mahmoud Ibn Hassan
F
12 juillet 2016 11:08
Ah bah ça alors mais qui ça peut bien être ? perplexe
Citation
Iskaaek a écrit:
Un joli poème de Jules Verne pour une personne qui se reconnaîtra (ou pas..eye rolling smiley)



Ce feu fantasque, insaisissable,
Qui, dans l’ombre voltige et luit,
Et qui, même pendant la nuit,
Ni sur la mer, ni sur le sable,
Ne laisse de traces après lui.

Ce feu toujours prêt à s’éteindre,
Tour à tour blanc, vert ou violet,
Pour reconnaître ce qu’il est,
Il faudrait le pouvoir atteindre !
Atteignez donc un feu follet !

On dit que c’est chose certaine,
Un peu d’hydrogène du sol,
J’aime mieux croire qu’en son vol,
Il vient d’une étoile lointaine,
De
Wega, de la
Lyre ou d’Algol.

Mais n’est-ce pas plutôt l’haleine
D’un sylphe, d’un djinn, d’un lutin,
Qui brille la nuit et s’éteint,
Lorsque se réveille la plaine
Aux rayons joyeux du matin,

Ou la lueur de la lanterne
Du long spectre qui va s’asseoir
Sur la chaume du vieux pressoir,
Quand la lune blafarde et terne
Se lève à l’horizon du soir ?

Peut-être l’âme lumineuse
D’une folle qui va cherchant
La paix loin du monde méchant,
Et passe comme une glaneuse
Qui n’a rien trouvé dans son champ !
Serait-ce un effet de mirage
Sur l’horizon déjà moins clair
Produit par un trouble de l’air ,

Ou, vers la fin de quelque orage,
Le reste d’un dernier éclair ?

Est-ce la lueur d’un bolide,
Véritable jouet icarien » ?
Qui dans son cours aérien
Etait lumineux et solide,
Et dont il ne reste plus rienI,

Ou sur les champs dont il éclaire
D’un pâle reflet le sillon,
Quelque mystérieux rayon
Tombé d’une aurore polaire,
Triste et nocturne papillon ?

Serait-ce en ces heures funèbres
Où les vivants dorment, lassés,
Le pavillon aux plis froissés
Qu’ici-bas l’ange des ténèbres
Arbore au nom des trépassés ?

Ou bien, pendant les nuits trop sombres,
Lorsque le moment est venu,
Est-ce le signal convenu
Que la terre, du sein des ombres,
Envoie au ciel vers l’inconnu,

Et qui, comme un feu de marée,
Aux
Esprits errant à travers
Les vagues espaces ouverts
Indique la céleste entrée
Des ports de l’immense
Univers ?

Mais si c’est l’ardente étincelle
Qui sur son front porte l’Amour
Quand il parcourt le monde pour
Essayer de rencontrer
Celle
Qui doit le fixer sans retour,

Prends garde à ton cœur, jeune fille,
Et si tu l’aperçois là-bas,
Laisse-le seul à ses ébats !

Oui ! prends garde ! ce feu qui brille
S’éteint vite et ne brûle pas !

Qui que tu sois, éclair, souffle, âme,
Pour bien
I pénétrer tes secrets
O feu fantasque, je voudrais
Un jour m’absorber dans ta flamme
Alors, partout je te suivrais,

Lorsque sur la cime des arbres,
Tu viens te poser, souffle ailé,
Ou, discrètement appelé,
Lorsque tu caresses les marbres
Du cimetière désolé,

Quand dans nos vieilles cathédrales
Tu viens parfois te frapper aux
Saints coloriés de leurs vitraux
Ou que des cryptes sépulcrales
Tu glisses hors des soupiraux,u

Lorsque vers minuit tu t’accroches
Aux ruines du vieux manoir
Qui domine les hautes roches
Et sur le ciel paraît tout noir,

Ou quand tu rôdes sur les lisses
Du navire battu de flanc
Sous les coups de typhon hurlant

Et que dans les agrès tu glisses
Ainsi qu’un lumineux goéland !

Et l’union serait complète
Si le destin, un jour, voulait
Que je pusse, comme il me plaît,
Naître avec toi, flamme follette,
Mourir avec toi, feu follet !
y
12 juillet 2016 14:20
wahleykom salem,
j'aime bcp ce poème, il est très beau.
hamdouliLlah tout va bien.
comment ça tu m'as reconnu ? c impossible je suis très prudent perplexe ptdr
Citation
Yabiwoman a écrit:
Salam aaleykoum,

Beau poème smiling smiley

Je t'ai reconnu winking smiley . J'espère que tout va bien .
[b][color=#FF0000]« Vole comme le papillon, pique comme l’abeille, et vas-y cogne mon gars, cogne. »[/color][/b]
Y
12 juillet 2016 14:37
Je confirme.

Elhamdoulileh.

Je sais qui tu es !

Tu ne l'as pas été assez ptdr

Citation
yabimann a écrit:
wahleykom salem,
j'aime bcp ce poème, il est très beau.
hamdouliLlah tout va bien.
comment ça tu m'as reconnu ? c impossible je suis très prudent perplexe ptdr
g
12 juillet 2016 15:02
Salam,

C'est qui ? eye rolling smiley
Citation
Yabiwoman a écrit:
Je confirme.

Elhamdoulileh.

Je sais qui tu es !

Tu ne l'as pas été assez ptdr
Y
12 juillet 2016 15:10
Aaleykoum Salam,

Je ne peux pas dire qui c'est, désolée PetitePoule sad smiley
Citation
PetitePoule a écrit:
Salam,

C'est qui ? eye rolling smiley
g
12 juillet 2016 15:11
Oh dommage crying(

Pas de souci, c'est pas grave tongue sticking out smiley
Citation
Yabiwoman a écrit:
Aaleykoum Salam,

Je ne peux pas dire qui c'est, désolée PetitePoule sad smiley
y
12 juillet 2016 15:27
mdr vous me faites rire ptdr , je me demande ce que j'ai pu dire pour que vous puissiez penser que je sois quelqu'un d'autre
Citation
PetitePoule a écrit:
Oh dommage crying(

Pas de souci, c'est pas grave tongue sticking out smiley
[b][color=#FF0000]« Vole comme le papillon, pique comme l’abeille, et vas-y cogne mon gars, cogne. »[/color][/b]
g
12 juillet 2016 15:29
Moi j'ai pas du tout d'idée

Mais je fais confiance à Yabiwoman elle a un bon flair tongue sticking out smiley
Citation
yabimann a écrit:
mdr vous me faites rire ptdr , je me demande ce que j'ai pu dire pour que vous puissiez penser que je sois quelqu'un d'autre
W
13 juillet 2016 19:26
J'ai plusieurs poèmes pour plusieurs personnes.

A maya:

Toi,toi
Ma belle andalouse
Aussi belle que jalouse
Quand tu danses le temps s'arrête
Je perds le Nord, Je perds la tête...

A yabiwoman:

Toi, toi
Ma belle espagnole
Quand tu bouge tes épaules ( sur de la reggada)
Je ne vois plus le monde autour
C'est peut être ca l'amour

A bmaghrebia:

Oyé yé yé
Oho oho
Oyé ýé yé
Ohoh oho

A C.C.B:

Je connais pas le suite désolée
Mais je t'aime beaucoup

Au bleu

Gitanoooooooo

Voilà voilà!
I
13 juillet 2016 19:36
Le bleu je vois mais c'est qui CCB ?

Si tu vires la première lettre, c'est la meilleure amie de Maya mais avec j'connais pas perplexe


...
Citation
Hawaï tropical a écrit:
J'ai plusieurs poèmes pour plusieurs personnes.

A maya:

Toi,toi
Ma belle andalouse
Aussi belle que jalouse
Quand tu danses le temps s'arrête
Je perds le Nord, Je perds la tête...

A yabiwoman:

Toi, toi
Ma belle espagnole
Quand tu bouge tes épaules ( sur de la reggada)
Je ne vois plus le monde autour
C'est peut être ca l'amour

A bmaghrebia:

Oyé yé yé
Oho oho
Oyé ýé yé
Ohoh oho

A C.C.B:

Je connais pas le suite désolée
Mais je t'aime beaucoup

Au bleu

Gitanoooooooo

Voilà voilà!
[center]♥[color=#FF0000][b] NO MP PLEASE [/b][/color]♥[/center]
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