Je vous poste le poème du joumou3a number 2 (to you to tou tou you tou t’as reconnu bichette ? Mdddr)
Pour des raisons HAUTEMENT justifiées que je ne détaillerai point, hum.. bannissement .. hum.. intempestif..hhhum.. tfouh... hummmm hummm AH ce satané chat dans les doigts, scusez moi ( ) Je disais, donc voilà dsl j’ai du m’absenter pour des raisons purement PROFESSIONNELS (vous comprenez j’ai une life koi taff tt ca ..) À part ça jvais bien hamdoullah (dsl pr les rageux et 3ayeneurs pros bac +12 sorcellerie !) et j’espère que vs aussi wallah, portez vous bien. C’est important la santé, qu’elle soit physique ou morale. « LE CORPS D'UN ATHLÈTE ET L'ÂME D'UN SAGE, VOILÀ CE QU'IL FAUT POUR ÊTRE HEUREUX. » merci Voltairuuux ! Un bav ce monsieur, Dieu ait son âme.
Bwef donc voilà mon pitit poème d’ojd, j’espère que vous en percevrez tous les tenants et aboutissants, l’espièglerie et la malice que mes mains y ont subtilement glissé.. j’aime bcp l’ironie.
Bwef enjoy, et dites moi cke vs en pensez SINCÈREMENT. Ça fait des lustres que j’ai rien écrit niveau poème. C’est comme si j’étais inspirée seulement lors des grandes douleurs de l’âme.. un peu à la Baudelaire. Ça va faire plus d’1 an que j’ai rien écrit de « beau » donc voilà j’ressors l’artillerie du tiroir. Enfin .. mon artillerie lol chacun fait avec ses capacités et cke Dieu lui a donné.
Écrit le 10/02/2018 : Le temps d’un poème
Pourquoi lutter contre le temps ? Il se pavane, infâme, Parmi nous et contre nous. Le temps se gausse de nos âmes, Et nos faiblesses le rendent fou. Que laisse le temps à nos enfants ?
Le sablier n'est maître Que de ceux qu'il ose duper. Je l'envoie valser de mes baisers, Clouant le bec à ce traître.
Peut-être que finalement le temps Immortel et pourtant si mortel, Peut-être est-il souffrant. Que faire quand sa vie est éternelle ?
Pauvre temps ! Ô pauvre enfant ! La passion s'est éclipsée, fanée Comme tous les autres amants. Ne pleure pas Temps, il te reste des milliers d'années pour brûler, nous consumer.
Les jeunesses succèdent aux maladresses, Et les viellesses emportant leurs promesses. Temps, tu rends heureux d'autres déesses, Mais seule la Lune enchanteresse, Possède mes larmes et leur délicatesse.