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Poème ;Islam
1
9 septembre 2015 15:36
Pardon à la vie que j'ai délaissé pour autre chose.En effet , elle ne possède pas d'escalier

pour les gens pieux.
S
9 septembre 2015 21:41
Salam


Qui est Cet Homme ?

Qui Se Prosterne,
Devant Rien,
Qui ne Fréquente Pas Les Miens,
Qui du Péché S'abstient,
Qui préfère rester Fidèle,
Devant Les Lois De L'éternel,
Qui se rapproche Du Parfait,
De son Corps Purifié,
De ses actes Ethérés,
Ne veut t'Il pas séduire ?
Se Réduire A Ses Désirs,
De La Vie Se Divertir Et Réjouir,De Rire
Et De Se Faire Plaisir,

Pire ! Il Préfère Jeûner,Prier, Pleurer
Et Invoquer,Il Préfère
Lire Le Coran,Implorer Le Clément,
Nourrir Les Pauvres Croyants,

Mais Où Est Son Point Faible ?
N'y a T'il Pas d exception à La Règle ?
Comment Puis-je L'égarer,
Comment Le Contrôler,
Comment Le Basculer,M'emparer De Son Coeur,
Afin Que De Dieu Il N'est Plus Peur,
M'emparer De Son Âme,
Afin Qu'il Commette Le Haram,
Impossible, Il Ne Veut Pas,
Il a La Foi,
Et à Chaque Fois Que J'essaye De Le Dévier,
Il Ne Fait Que De S'écrier:

"Je Me Réfugie Auprès D'Allah, Contre Satan Le Lapidé".
l
9 septembre 2015 23:55
Salam j'en reprends un que j'avais posté une fois.

Ô âme comme tu es vile,
Aussitot tes projets aboutis, tu files
Pensant trouver le bonheur
Tu vas jusqu'à en oublier ton seigneur
Et à ta passion tu t'adonnes
Sans scrupule,aucun.
Ô âme comme tu es vile
Nulle ne te demande de te faire nonne
Et si tu avais suivi Son chemin
Tu ne te serais certes pas égarée
Sois ainsi refoulée
Malheur à toi comme tu n'es pas digne
Ni de la promesse que tu as faite ni de ta propre vie
Tu t'es noyée dans l'océan de la passion
Buvant la tasse du pêché
Le naufragé s'est perdu dans la mer agitée
Ô âme comme tu es vile,
Tu es seule à te causer du tort
Il est trop tard, Dieu maintenant décidera de
ton sort
l
10 septembre 2015 00:43
J'étais pas trop inspirée mais bon jme lance :

La terre tourne pourtant tout reste comme figé
Les étoiles ne semblent plus autant briller
Le temps file et rien ne le rattrape
La vie est une folle course dont il ne reste plus beaucoup d'étapes
Les chevaux semblent morts,ne reste que l'étable
La fougue s'en est allé, sur nous se referme la trappe.

Semblant de dévotion,l'eau coule de nos yeux
L'islam d'apparat ne rend pourtant pas heureux
Combien sommes- nous d'ingrats à multiplier nos voeux
Le coeur presque à nu pour éviter le feu
Pecheurs le jour, presque mécréants la nuit
A mesure que l'heure tourne le nombre de bonnes actions réduit

O toi le faible prends garde aux mirages
T'adonner à tes passions te vaudra la colère d'un Sage
Discipline ton ame, réduis la à l'esclavage
Leve toi et prie, réponds à l'appel du Fajr
 
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