Citation
adbb a écrit:
Ma première, douce muse au teint de mat,
Des souvenirs de vacances,ciel azuré, sable délicat
Longues journées, pique-niques et clairs rivages,
À la mer, aux châteaux de sable, nos rêves en partage.
Cocktails et salades, préparés avec soin,
Sur la table, le bonheur s'installe en refrain
Coucher de soleil, campement sous les étoiles,
Barbecues parfumés, chamallows en éventail.
Ma première, rayonnante, chaleur embrasée,
En sa présence, liberté et légèreté embrassées.
Puis, quand le jour s'éteint, vers la seconde je file,
Cheveux nuancés de rouge, telle une toile habile.
Élégance et chaleur, son aura écarlate,
Sagesse récoltée, maturité délicate.
Entre clartés et ombres, elle danse,
Créant un espace où l'amour s'avance.
Réconfortante, son aura bienveillante,
Celle qui sait, sans cesse, aimer tendrement.
Au seuil de la nuit, ma troisième, mystère envoûtant,
Froide en apparence, mais un feu palpitant.
Sa peau d'ivoire, ses cheveux noirs,
Quand son cœur s'embrase, chaleur d'un soir.
Malgré les épreuves, elle reste conciliante,
Sa chaleur humaine, une force enivrante.
Dans la nuit persistante, sa chaleur réconfortante,
Quitter son étreinte, un supplice navrant.
Le matin résonne, les oiseaux m'implorent,
Pensées pour la quatrième, aux cheveux d'or.
À l'extérieur, elle chérit la nature,
Je me glisse un bouquet de fleur sur sa parure
Jeunesse et vitalité, elle respire,
Son sourire, contagieux, éclaire et inspire.
Chacune, par ses charmes, équilibre ma vie,
Un plaisir unique, chaque moment de notre harmonie.
Quatre femmes, des étoiles dans mon ciel,
Chacune unique, belle, mystérieuse ritournelle.
Journée en leurs bras, un pur délice,
Chacun de leurs sourires, une perle, une délice.
Ainsi, dans le ballet de ces quatre dames,
La vie, un poème où chaque vers s'acclame.
Chacune, un éclat unique, une splendeur,
Ensemble, elles forment une symphonie de cœur.
Leurs différences, des nuances précieuses,
Un arc-en-ciel d'amour, une palette délicieuse.
La beauté dans la diversité, une évidence,
Chacune, un trésor, une céleste présence.
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Louve* a écrit:
Oh la la c'est joli... On y croirait presque
Mais je ne peux pas m'empêcher de me demander quel est le revers de la médaille 🤔
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Louve* a écrit:
Oh la la c'est joli... On y croirait presque
Mais je ne peux pas m'empêcher de me demander quel est le revers de la médaille 🤔
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EspritFusionné a écrit:
J’ai une idée, faisons l’envers de la médaille en poésie lol
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adbb a écrit:
Dans ce ballet, des drames se dessinent,
Les tempêtes surgissent, la nature s'éteint.
Inondations en cascade, la terre se teinte,
Le changement, parfois, laissent des traces éteintes.
Un tourbillon de chamboulement, des caprices de l'air,
Des températures folles, un jeu à faire peur.
Le climat, impétueux, peut semer la terreur,
Provoquant des problèmes, une valse éphémère.
Le corps réagit, fragile sous le ciel changeant,
Les maux de santé surviennent, perturbants.
Brusques variations, des maux s'invitant,
Un souffle de maladie, parfois dérangeant.
Humeurs tourbillonnantes, comme feuilles emportées,
Les saisons dansent, l'âme parfois désaccordée.
Changements d'humeur, une mélodie altérée,
Les saisons, artistes capricieuses, parfois insensées.
Le placard se transforme, une danse vestimentaire,
La garde-robe, complice des saisons éphémères.
Du chaud au froid, une valse singulière,
Des habits s'adaptent, suivant la lumière.
Ainsi va le cycle, la ronde des saisons,
Entre les tourments et les douces passions.
Changement perpétuel, en éternelle fusion,
Le monde continue à tourner, dans sa belle perfection
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adbb a écrit:
Ma première, douce muse au teint de mat,
Des souvenirs de vacances,ciel azuré, sable délicat
Longues journées, pique-niques et clairs rivages,
À la mer, aux châteaux de sable, nos rêves en partage.
Cocktails et salades, préparés avec soin,
Sur la table, le bonheur s'installe en refrain
Coucher de soleil, campement sous les étoiles,
Barbecues parfumés, chamallows en éventail.
Ma première, rayonnante, chaleur embrasée,
En sa présence, liberté et légèreté embrassées.
Puis, quand le jour s'éteint, vers la seconde je file,
Cheveux nuancés de rouge, telle une toile habile.
Élégance et chaleur, son aura écarlate,
Sagesse récoltée, maturité délicate.
Entre clartés et ombres, elle danse,
Créant un espace où l'amour s'avance.
Réconfortante, son aura bienveillante,
Celle qui sait, sans cesse, aimer tendrement.
Au seuil de la nuit, ma troisième, mystère envoûtant,
Froide en apparence, mais un feu palpitant.
Sa peau d'ivoire, ses cheveux noirs,
Quand son cœur s'embrase, chaleur d'un soir.
Malgré les épreuves, elle reste conciliante,
Sa chaleur humaine, une force enivrante.
Dans la nuit persistante, sa chaleur réconfortante,
Quitter son étreinte, un supplice navrant.
Le matin résonne, les oiseaux m'implorent,
Pensées pour la quatrième, aux cheveux d'or.
À l'extérieur, elle chérit la nature,
Je me glisse un bouquet de fleur sur sa parure
Jeunesse et vitalité, elle respire,
Son sourire, contagieux, éclaire et inspire.
Chacune, par ses charmes, équilibre ma vie,
Un plaisir unique, chaque moment de notre harmonie.
Quatre femmes, des étoiles dans mon ciel,
Chacune unique, belle, mystérieuse ritournelle.
Journée en leurs bras, un pur délice,
Chacun de leurs sourires, une perle, une délice.
Ainsi, dans le ballet de ces quatre dames,
La vie, un poème où chaque vers s'acclame.
Chacune, un éclat unique, une splendeur,
Ensemble, elles forment une symphonie de cœur.
Leurs différences, des nuances précieuses,
Un arc-en-ciel d'amour, une palette délicieuse.
La beauté dans la diversité, une évidence,
Chacune, un trésor, une céleste présence.
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Louve* a écrit:
C'est nettement plus crédible 😂
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adbb a écrit:
dans cette poésie, je fais référence aux 4 saisons
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Perle_Solitaire a écrit:
J'aime trop ton style Allah y berek 👌🏼
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Vittoria a écrit:
Selem
Ça me rappelle un poème du même genre ou les différentes épouses étaient genre
* La jeunesse
* La richesse
* La vieillesse
Ce n'était pas toi il y à quelques temps ?
Je ne me souviens plus où l'avoir lu 🤔.
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adbb a écrit:
en faisant allusion à la vie maritale avec 4 femmes, je m'attendais pas ce genre de réactions mais je prends quand même
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adbb a écrit:
dans cette poésie, je fais référence aux 4 saisons
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Perle_Solitaire a écrit:
Je suis très friande de cette forme d'écriture, on pense qu'on parle de qqch et en fait non 😅 surtout avec des thématiques polémiques 😂
Bien joué ☺️
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adbb a écrit:
Enfin, une personne qui a compris mon délire.
Dans ce jeu qu'est yabi, je crée mes propres règles de jeu,
me délectant des réactions avec une touche de poésie.
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Yazs a écrit:
Les poètes qui étalent leurs sensibilités ont tendance à profondément m'agacer.
Je trouve ça malsain.
Tous ce qui cherche à manipuler mon pathos par une forme de théâtralité, quelle qu'elle soit, a tendance à m'énerver.
L'émotion, pour moi, doit être spontanée déjà par sincérité et puis par authenticité. C'est ce qui fait sa beauté.
Les poètes et autres artistes qui cherchent à déclencher une émotion par préméditation. Je trouve ça pervers, pour moi ça relève de la manipulation.
Après c'est peut-être moi le tordu.
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adbb a écrit:
Ma première, douce muse au teint de mat,
Des souvenirs de vacances,ciel azuré, sable délicat
Longues journées, pique-niques et clairs rivages,
À la mer, aux châteaux de sable, nos rêves en partage.
Cocktails et salades, préparés avec soin,
Sur la table, le bonheur s'installe en refrain
Coucher de soleil, campement sous les étoiles,
Barbecues parfumés, chamallows en éventail.
Ma première, rayonnante, chaleur embrasée,
En sa présence, liberté et légèreté embrassées.
Puis, quand le jour s'éteint, vers la seconde je file,
Cheveux nuancés de rouge, telle une toile habile.
Élégance et chaleur, son aura écarlate,
Sagesse récoltée, maturité délicate.
Entre clartés et ombres, elle danse,
Créant un espace où l'amour s'avance.
Réconfortante, son aura bienveillante,
Celle qui sait, sans cesse, aimer tendrement.
Au seuil de la nuit, ma troisième, mystère envoûtant,
Froide en apparence, mais un feu palpitant.
Sa peau d'ivoire, ses cheveux noirs,
Quand son cœur s'embrase, chaleur d'un soir.
Malgré les épreuves, elle reste conciliante,
Sa chaleur humaine, une force enivrante.
Dans la nuit persistante, sa chaleur réconfortante,
Quitter son étreinte, un supplice navrant.
Le matin résonne, les oiseaux m'implorent,
Pensées pour la quatrième, aux cheveux d'or.
À l'extérieur, elle chérit la nature,
Je me glisse un bouquet de fleur sur sa parure
Jeunesse et vitalité, elle respire,
Son sourire, contagieux, éclaire et inspire.
Chacune, par ses charmes, équilibre ma vie,
Un plaisir unique, chaque moment de notre harmonie.
Quatre femmes, des étoiles dans mon ciel,
Chacune unique, belle, mystérieuse ritournelle.
Journée en leurs bras, un pur délice,
Chacun de leurs sourires, une perle, une délice.
Ainsi, dans le ballet de ces quatre dames,
La vie, un poème où chaque vers s'acclame.
Chacune, un éclat unique, une splendeur,
Ensemble, elles forment une symphonie de cœur.
Leurs différences, des nuances précieuses,
Un arc-en-ciel d'amour, une palette délicieuse.
La beauté dans la diversité, une évidence,
Chacune, un trésor, une céleste présence.