Sur l'asphalte rugueux, naissait une planche, Aux roues agiles, rêves et joie en avalanche. Jeunesse effervescente, éclats d'amusement, Planche de skate, légèreté dans l'instant.
Sauts et pirouettes, échos de liberté, Sur le bitume, elle tracait son sentier enchanté. Jeunes rires, énergie débridée, Planche de skate, danse infinie, légèreté partagée.
Puis vint un changement, un cap à franchir, La planche, sans roulettes, prête à murir, À l'océan, aux vagues, aux horizons infinis, Planche de surf, elle devint, en quête d'inédit.
Elle surfait sur ses rêves, liberté éclatante, Horizons déferlants, énergie palpitante. Les vagues murmuraient des histoires dorées, Planche de surf, elle vivait, insouciance partagée.
Planche de surf, née sous le soleil ardent, Rêvait d'océans vastes, d'horizons flamboyants. Ses courbes reflétaient l'éclat du matin, Prête à surfer les vagues, vers des destins lointains.
Dans le clapotis joyeux, elle dansait, Les surfeurs la choisissaient, l'océan la flattait Pourtant, le temps, facétieux, fit choir son éclat, Les surfeurs l'oublièrent, la laissant là, sans éclat
Cependant, le temps, inéluctablement, avançait, Les vagues, les rêves, doucement s'estompaient. Quittant son océan, sa folie déferlée, Elle retourna à la réalité, devenue planche à repasser.
Les vagues la quittèrent, mais l'écho persistait, Les rêves gravés dans son bois restaient. Sous la lumière ambrée, elle lissait des plis, Planche à repasser, entre rêves et réalité, elle survit
Ses vagues se changèrent en plis, en lignes soignées, Chassant l'océan pour des vêtements, le rêve évaporé. Elle lissait les chemises, apportant ordre et clarté, Une nouvelle vie, loin des vagues, mais un calme maitrisé
Les murmures océaniques taquinent sa quiétude, Planche à repasser, rêves en interlude. Son bois se souvient des vagues en majesté, Sous le soleil, rêve déjanté
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