paroles de phylo: *les femmes sont des creatures humaines qui babillent, qui s'habillent et qui se déshabillent. *pour quoi parler mal d'une femme!ne suffit t'il pas de dire que c'est une femme! *il ny'a que deux belles choses au monde ,les femmes et les roses, et que deux bon morceaux les femmes et les melons.
les phylosophes de maintenant ils disent ça: noukta, blague Un mari rentre chez lui tout exité en criant à sa femme : - Chérie, chérie, prépare les valises, j'ai gagné au Loto ! - Je prend les vêtements d'hiver ou d'été ? - Les deux, je te fiche à la porte et tu retournes chez ta mère !!!
qu'on soit philosophe ou pas, je pense k'on a du mal à ne pas être SUBJECTIF kan on traite un sujet ki nous touche...socrate qui n'a pas arrêté de dire des bêtises sur les femmes le saurons-nous après, était -parait-il- mal traité de sa femme... j'espère k ça explik tt
une femme est comme une peinture sur toile, elle a besoin d'être carressée au pinceau, d'être regardée avec attention, et d'être aimée pour être belle. Pour qu'à la fin celle ci ressemble à une oeuvre d'art.
L'histoire des femmes est l'histoire de la pire forme de tyrannie que le monde ait jamais connue : la tyrannie des faibles sur les forts. C'est la seule tyrannie qui dure.
3adim a écrit: ------------------------------------------------------- > une femme est comme une peinture sur toile, elle a > besoin d'être carressée au pinceau, d'être > regardée avec attention, et d'être aimée pour être > belle. Pour qu'à la fin celle ci ressemble à une > oeuvre d'art. > >
D'accord avec toi... Mais quand tu dis "Pour qu'à la fin celle ci ressemble à une oeuvre d'art." tu parles de quel âge exactement ?
sinon pour rester dans l'art (j'ai rien contre les femmes ), il y a en qui aiment se faire "tailler" pour mieux se corriger et à la fin ça donne une belle statue (une Britney) digne de figurer dans un musée de cire...
Enfin de celles-là, beaucoup en ont rien à cirer... alors elles allument un cierge et prient...
"Un homme est prisonnier dans une chambre, dont la porte n'est pourtant pas verrouillée, si celle-ci s'ouvre vers le dedans et qu'il ne lui vient pas à l'idée de tirer au lieu de pousser."
J'en déduis que l'on est prisonnier des idées que l'on avance si elle ne sont pas raisonnées.
Cet homme se dit, je dois pousser la porte pour ouvrir or elle ne s'ouvre pas, donc je suis prisonnier. Si il s'était posé la question: "Comment s'ouvre cette porte?" il serait déjà dehors.
mais j'ajouterai un autre petit point... si on dit à cet homme "tu es prisonnier" et que de la même manière il n'utilise pas sa raison. Il va pousser la porte et dire bah oui c'est vrai, je suis prisonnier.
On est prisonnier de nos idées reçues mais aussi des étiquettes qu'on peut nous coller.