Citation
summum a écrit:
Bonjour,
Je suis assez déçu de la gente féminine et il m'arrive d'être agressif voir blessant avec la majeure partie d'entre elles.
Je pense que cela découle d'une frustration et d'un constat d'échec. Je pense en vouloir à la femme actuelle.
Je n'ai également plus de patience avec elles, alors qu'une femme demande patience.
Mais quand je suis blessant, je ne me rends pas compte de ce que la portée de mes propos peuvent avoir dans le cœur d'une femme ou son dans son esprit. Ce qui se passe aussi c'est que je catégorise la majeure partie des femmes, alors que les êtres humains sont différents. Il peut m'arriver de ne pas lui laisser il chance et de la classer.
J'ai eût des propos vis à vis de certaines femmes dans le passé assez durs, et certaines pleuraient devant moi en me laissant indifférent.
Aujourd'hui j'essaie de me mettre à la place d'un père qui voit la naissance de sa fille, qui la chérit, qui se bat pour la faire grandir, qui a de l'espoir envers elle et qui espère du fond du cœur qu'elle sera une femme comblée. Si j'avais une fille ce serait la prunelle de mes yeux.
Mais j'essaie de mettre un instant dans la peau d'un père d'une des filles que j'ai fait souffrir ou pleuré. Je trouve cela assez douloureux.
Je ne sais pas si je changerai mon rapport avec certaines femmes car j'ai une méfiance Pavlovienne envers elles, mais il est vrai que d'en avoir fait souffrir certaines m'amène à une introspection vis à vis de moi-même.
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summum a écrit:
Bonjour,
Je suis assez déçu de la gente féminine et il m'arrive d'être agressif voir blessant avec la majeure partie d'entre elles.
Je pense que cela découle d'une frustration et d'un constat d'échec. Je pense en vouloir à la femme actuelle.
Je n'ai également plus de patience avec elles, alors qu'une femme demande patience.
Mais quand je suis blessant, je ne me rends pas compte de ce que la portée de mes propos peuvent avoir dans le cœur d'une femme ou son dans son esprit. Ce qui se passe aussi c'est que je catégorise la majeure partie des femmes, alors que les êtres humains sont différents. Il peut m'arriver de ne pas lui laisser il chance et de la classer.
J'ai eût des propos vis à vis de certaines femmes dans le passé assez durs, et certaines pleuraient devant moi en me laissant indifférent.
Aujourd'hui j'essaie de me mettre à la place d'un père qui voit la naissance de sa fille, qui la chérit, qui se bat pour la faire grandir, qui a de l'espoir envers elle et qui espère du fond du cœur qu'elle sera une femme comblée. Si j'avais une fille ce serait la prunelle de mes yeux.
Mais j'essaie de mettre un instant dans la peau d'un père d'une des filles que j'ai fais souffrir ou pleuré. Je trouve cela assez douloureux.
Je ne sais pas si je changerai mon rapport avec certaines femmes car j'ai une méfiance Pavlovienne envers elles, mais il est vrai que d'en avoir fait souffrir certaines m'amène à une introspection vis à vis de moi-même.
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Mounir* a écrit:
Je crois que je suis un petit peu pareil, sans le côté agressif/blessant bien sûr!
J'ai une méfiance grandissante envers les femmes, je les imagine toujours en train de trouver le meilleur de moyen de profiter ou de s'imposer, une sorte de fourberie bien cachée sous un aspect extérieur charmant.
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*Dali* a écrit:
Comme quoi il n'est jamais trop ! Pour réaliser la portée de ses actes ...
Et si tu analysais ton rapport à ta mère ?
Ou le couple que forme tes parents ?
Parfois il faut remonter dans le temps pour comprendre certains mécanismes ou schémas qu'on engendre car on a tjs connu cela ... on est dans la réedition du moins le transfert familial ...
Bonne réflexion à toi