je veux partager avec vous mes poèmes et quelques mnémonique qui m'appartiennet, c'est a lire sans faim!
il faut voir sa mère Le corps incliné ce visage bouffi Entre mon regard qui s'appaise et ma mère qui pleure la mort invisible
Il faut voir son père Le corps affaissé Devant la patrie fulminante et protectrice J'ai le dos qui meurt avec ses barrages de sang au dessus de lui, la loi du seigneur
mon frère rit inconsciemment je traverse ses yeux sciemment puis les cheuveux des chimères Comme un cri définitif .......................................
moi cristallisation du potentat par 14 siècle de théorie tu pourrais m'envoyer les muses du diable dehors crient la détresse marocaine en sanglot nous taisons la mémoire depuis saint-yazid toute la détresse s'est entassé au point de la sentir jusqu'a sous nos ongles puis la nudité enclavé dans vos mémoires moi par le sang caillé dans le désert et ce n'est pas fini les tortures je vous crache la haine du reclus, le fou de goa puis le sexe qui hiberne a sidi-mgouna miracle dent de hyène benjoin a la camomille le hibou parle aux hibous je suis celui qui raconte mes épopées sous la tente du peuple concret a l'abri de nos despotes parricides j'aime la démence elle est l'âme du reclus ...............................
Toute ma décence et ma conscience est mise a poing contre les éclatements de mon impatience. La haine dépouillent les nord'af– aliment de sa race. Les humiliations quotidiennes prolifèrent, vont jusqu’à violer la dignité de ma race.
Les mères brûlent l’espérance, égarée au sein des barres HLM,ma langue trahit ma conscience déchiquetté en d'innombrables hurlement plaintif, le loup pleure-t-il?
Quand la révolution aura apaisé l'ébullition de mpon sentiment, quand j’aurai exécuté ma rancune, je ne serai plus qu’un gypaète ayant pour cage ta poitrine.
tout à l'heure même j’ai failli te saisir, par le collet, ce cou glairé et viscéreux je l'aurai rompu comme un fétu. Je ne suis pas encore prés à concevoir un monde sans idéologie : je n'ai pas beaucoup pleuré, j'ai enterré les gonds, j'ai refoulé ma haine, pour voir cette république et chaque fois que festoient les bourgeois au cri de "si t'aime pas la france tu la quitte" je me rémomore tout doucement mes aieuls a qui on les a déterrés de leurs souss natal, on les a transformé en machine humaine pour la gloire des ingénieurs de votre empire, je me souviens l'embaraquement des ancêtres, leur sexe en berne indélébile, cette mémoire tatoué des crissement de char, 14-18, 39-45 avez vous assez gouté de la futilité berbère? "aimez la france ou quittez la" dirent-ils vous imposiez vos vigueurs, votre logique raciale, chaque élément néfaste je le broie afin de me dire qu'il va cesser d’exister.
Venez vite vous entourer de fils barbelés dans des ghettos où des métèques s'expose a vos fantasmes Venez contemplez les remparts de la désespérance, chu le béton est roi ici-bas laissez hiberner vos souvenirs et familiarisez vous avec l'administré " ouaich mon frère le beurre" honte, silence et stupéfaction laissez vos panatalon annamite s'habituer au grés des rumeurs du quartier imitez un peu pour rire notre sous-france vos sanglot se multiplieront en tranches sanguinaires, le boubou cissé vous en excusera et vos nuits déploieront leurs murailles et leurs hospices du peuple opprimé
Attention aux maghrébins ils sont voleurs et lâches ils peuvent vous arracher vos sac en pacotilles ils puent et violent vos filles chéries
france2 et tf1 sont votre conscience Ambiance kaïra garantie, exigé et enrichie fumez un peu de ce join votre vertige sera à l'image de vos phantasmes les plus exécrables votre cerveau se décapitera en mnémonique, en fléau et pleurs; manger un peu de jus d' arabe: juste de quoi rendre votre racisme mielleux
résonance obscure de nos têtes de bigots Et puis envoyez-vous un Arabe il est sauvage, bête mais d'une virilité...
Sexe en treillis vous seriez rattaché, je le jure, au fil de vos mémoires honteuse Vous ne pourrez plus le chasser de vos phantasmes l'arabe vous éjaculera l'humiliation et le viol en plein visage Blessés vous vous entasserez dans des clubs spécifiés vous verrez la mort se dissoudre dans vos rêves pornographique la fièvre s'annoncera et vos poumons pestiférerons la haine en plein jour sur vos bons sentiments de bobo parisien des gueux iront vous crucifier à l'ombre des clubs pour néo-nazi
Tbarkallah 3lik mon frère, j'aime particulièrement ce passage :
"j'ai refoulé ma haine, pour voir cette république et chaque fois que festoient les bourgeois au cri de "si t'aime pas la france tu la quitte" je me rémomore tout doucement mes aieuls a qui on les a déterrés de leurs souss natal, on les a transformé en machine humaine pour la gloire des ingénieurs de votre empire, je me souviens l'embaraquement des ancêtres, leur sexe en berne indélébile, cette mémoire tatoué des crissement de char, 14-18, 39-45 avez vous assez gouté de la futilité berbère? "aimez la france ou quittez la" dirent-ils vous imposiez vos vigueurs, votre logique raciale, chaque élément néfaste je le broie afin de me dire qu'il va cesser d’exister. "
merci pour tes écrits .... très très réalistes malheureusement