nafissa a écrit: ------------------------------------------------------- > karim 92 > > une femme avec de la moustache jen voi bocou!! > > et surtout les arabes ,jai rmarker! > > mon pere est arabe mais moi jai la chance davoir > une maman francaise
naffissa , je pense ke sé les portuguaises les championnes du monde de la moustache !! les portuguais sont réputé pour etre trés poilu !! ke se soit homme ou femme !
Beauté où t'es ??????????
Je t'attends sur yabi ou dans le carré V.I.P !
nafissa a écrit: ------------------------------------------------------- > karim 92 > > une femme avec de la moustache jen voi bocou!! > > et surtout les arabes ,jai rmarker! > > mon pere est arabe mais moi jai la chance davoir > une maman francaise
===> tu penses ke les genes de ta mère vont empecher la moustache de papa de s'installer là ou il faut ??????????
karim_92 a écrit: ------------------------------------------------------- > nafissa na pas tord !!! > beaucoup de filles arabes > sont poilus , au niveau du bras > et du dos , jai remarké aussi
karim_92 a écrit: ------------------------------------------------------- > Bass a écrit: > > > tu es parti où pour remarker ça?? > > > > plus rien ne m'etonne > > > dans la rue , > et aussi dans mon entourage !! je rigole pas !! > n'est pas vrai ?
tu en connais bcp des filles qui se baladent le dos a l'air??
karim_92 a écrit: ------------------------------------------------------- > Bass a écrit: > > > > > > > tu en connais bcp des filles qui se baladent > le > > dos a l'air?? > > > > plus rien ne m'etonne > > > pas le dos en entier , mdrrr > mais le haut du dos , car des filles mettent en > été des hauts , pas trés > couvrant , si tu vois se ke je veux dire !!
la moustache et la barbe font la difference entre une madame et un monsieur... je n'ai pas dit entre un homme et une femme car il ya des hommes qui sont plus doux qu'une femme...alors à ce moment la moustache et la barbe s'imposent pour faire la difference...
impulsion a écrit: ------------------------------------------------------- > > > TOUT CE QUE J ADORE A D E G U S T E R > > PAR G DE MAUPASSANT > > > Ma chère Lucie, rien de nouveau. Nous vivons dans > le salon en regardant tomber la pluie. On ne peut > guère sortir par ces temps affreux; alors nous > jouons la comédie. Qu'elles sont bêtes, ô ma > chérie, les pièces de salon du répertoire actuel. > Tout y est forcé, grossier, lourd. Les > plaisanteries portent à la façon des boulets de > canon, en cassant tout. Pas d'esprit, pas de > naturel, pas de bonne humeur, aucune élégance. Ces > hommes de lettres, vraiment, ne savent rien du > monde. Ils ignorent tout à fait comment on pense > et comment on parle chez nous. Je leur permettrais > parfaitement de mépriser nos usages, nos > conventions et nos manières, mais je ne leur > permets point de ne les pas connaître. Pour être > fins ils font des jeux de mots qui seraient bons à > dérider une caserne ; pour être gais ils nous > servent de l'esprit qu'ils ont dû cueillir sur les > hauteurs du boulevard extérieur, dans ces > brasseries dites d'artistes où on répète, depuis > cinquante ans, les mêmes paradoxes d'étudiants. > Enfin nous jouons la comédie. Comme nous ne sommes > que deux femmes, mon mari remplit les rôles de > soubrette, et pour cela il s'est rasé. Tu ne te > figures pas, ma chère Lucie, comme ça le change! > Je ne le reconnais plus... ni le jour ni la nuit. > S'il ne laissait pas repousser immédiatement sa > moustache je crois que je lui deviendrais > infidèle, tant il me déplaît ainsi. > Vraiment, un homme sans moustache n'est plus un > homme. Je n'aime pas beaucoup la barbe; elle donne > presque toujours l'air négligé, mais la moustache, > ô la moustache! est indispensable à une > physionomie virile. Non, jamais tu ne pourrais > imaginer comme cette petite brosse de poils sur la > lèvre est utile à l'oeil et... aux... relations > entre époux. Il m'est venu sur cette matière un > tas de réflexions que je n'ose guère t'écrire. Je > te les dirai volontiers... tout bas. Mais les mots > sont si difficiles à trouver pour exprimer > certaines choses, et certains d'entre eux, qu'on > ne peut guère remplacer, ont sur le papier une si > vilaine figure, que je ne peux les tracer. Et > puis, le sujet est si difficile, si délicat, si > scabreux qu'il faudrait une science infinie pour > l'aborder sans danger. > Enfin! tant pis si tu ne me comprends pas. Et > puis, ma chère, tâche un peu de lire entre les > lignes. > Oui, quand mon mari m'est arrivé rasé, j'ai > compris d'abord que je n'aurais jamais de > faiblesse pour un cabotin, ni pour un prédicateur, > fût-il le père Didon, le plus séduisant de tous! > Puis quand je me suis trouvée, plus tard, seule > avec lui (mon mari), ce fut bien pis. Oh! ma chère > Lucie, ne te laisse jamais embrasser par un homme > sans moustaches ; ses baisers n'ont aucun goût, > aucun, aucun ! Cela n'a plus ce charme, ce > moelleux et ce... poivre, oui, ce poivre du vrai > baiser. La moustache en est le piment. > Figure-toi qu'on t'applique sur la lèvre un > parchemin sec... ou humide. Voilà la caresse de > l'homme rasé. Elle n'en vaut plus la peine > assurément. > D'où vient donc la séduction de la moustache, me > diras-tu ? Le sais-je ? D'abord elle chatouille > d'une façon délicieuse. On la sent avant la bouche > et elle vous fait passer dans tout le corps, > jusqu'au bout des pieds un frisson charmant. C'est > elle qui caresse, qui fait frémir et tressaillir > la peau, qui donne aux nerfs cette vibration > exquise qui fait pousser ce petit "Ah !" comme si > on avait grand froid. > Et sur le cou ! Oui, as-tu jamais senti une > moustache sur ton cou ? Cela vous grise et vous > crispe, vous descend dans le dos, vous court au > bout des doigts. On se tord, on secoue ses > épaules, on renverse la tête ; on voudrait fuir et > rester ; c'est adorable et irritant ! Mais que > c'est bon ! > Et puis encore... vraiment, je n'ose plus ? Un > mari qui vous aime, mais là, tout à fait, sait > trouver un tas de petits coins où cacher des > baisers, des petits coins dont on ne s'aviserait > guère toute seule. Eh bien, sans moustaches, ces > baisers-là perdent aussi beaucoup de leur goût, > sans compter qu'ils deviennent presque > inconvenants ! Explique cela comme tu pourras. > Quant à moi, voici la raison que j'en ai trouvée. > Une lèvre sans moustaches est nue comme un corps > sans vêtements ; et, il faut toujours des > vêtements, très peu si tu veux, mais il en faut ! > > Le créateur (je n'ose point écrire un autre mot en > parlant de ces choses), le créateur a eu soin de > voiler ainsi tous les abris de notre chair où > devait se cacher l'amour. Une bouche rasée me > paraît ressembler à un bois abattu autour de > quelque fontaine où l'on allait boire et dormir. > Cela me rappelle une phrase (d'un homme politique) > qui me trotte depuis trois mois dans la cervelle. > Mon mari, qui suit les journaux, m'a lu, un soir, > un bien singulier discours de notre ministre de > l'agriculture qui s'appelait alors M. Méline. > A-t-il été remplacé par quelque autre ? Je > l'ignore. > Je n'écoutais pas, mais ce nom, Méline, m'a > frappée. Il m'a rappelé, je ne sais trop pourquoi, > les scènes de la vie de Bohème. J'ai cru qu' il > s'agissait d'une grisette. Voilà comment quelques > bribes de ce morceau me sont entrées dans la tête. > Donc M. Méline faisait aux habitants d'Amiens, je > crois, cette déclaration dont je cherchais > jusqu'ici le sens : "Il n'y a pas de patriotisme > sans agriculture ! " Eh bien, ce sens, je l'ai > trouvé tout à l'heure ; et je te déclare à mon > tour qu'il n'y a pas d'amour sans moustaches. > Quand on le dit comme ça, ça semble drôle, > n'est-ce pas ? > Il n'y a point d'amour sans moustaches ! > "Il n'y a point de patriotisme sans agriculture", > affirmait M. Méline ; et il avait raison, ce > ministre, je le pénètre à présent ! > A un tout autre point de vue, la moustache est > essentielle. Elle détermine la physionomie. Elle > vous donne l'air doux, tendre, violent, > croquemitaine, bambocheur, entreprenant ! L'homme > barbu, vraiment barbu, celui qui porte tout son > poil (oh! le vilain mot) sur les joues n'a jamais > de finesse dans le visage, les traits étant > cachés. Et la forme de la mâchoire et du menton > dit bien des choses, à qui sait voir. > L'homme à moustaches garde son allure propre et sa > finesse en même temps. > Et que d'aspects variés elles ont, ces moustaches > ! Tantôt elles sont retournées, frisées, > coquettes. Celles-là semblent aimer les femmes > avant tout ! > Tantôt elles sont pointues, aiguës comme des > aiguilles, menaçantes. Celles-là préfèrent le vin, > les chevaux et les batailles. > Tantôt elles sont énormes, tombantes, effroyables. > Ces grosses-là dissimulent généralement un > caractère excellent, une bonté qui touche à la > faiblesse et une douceur qui confine à la > timidité. > Et puis, ce que j'adore d'abord dans la moustache, > c'est qu'elle est française, bien française. Elle > nous vient de nos pères les Gaulois, et elle est > demeurée le signe de notre caractère national > enfin. > Elle est hâbleuse, galante et brave. Elle se > mouille gentiment au vin et sait rire avec > élégance, tandis que les larges mâchoires barbues > sont lourdes en tout ce qu'elles font. > Tiens, je me rappelle une chose qui m'a fait > pleurer toutes mes larmes, et qui m'a fait aussi, > je m'en aperçois à présent, aimer les moustaches > sur les lèvres des hommes. > C'était pendant la guerre, chez papa. J'étais > jeune fille, alors. Un jour on se battit près du > château. J'avais entendu depuis le matin le canon > et la fusillade, et le soir un colonel allemand > entra chez nous et s'y installa. Puis il partit le > lendemain. On vint prévenir père qu'il y avait > beaucoup de morts dans les champs. Il les fit > ramasser et apporter chez nous pour les enterrer > ensemble. On les couchait, tout le long de la > grande avenue de sapins, des deux côtés, à mesure > qu'on les apportait; et comme ils commençaient à > sentir mauvais, on leur jetait de la terre sur le > corps en attendant qu'on eût creusé la grande > fosse. De la sorte on n'apercevait plus que leurs > têtes qui semblaient sortir du sol, jaunes comme > lui, avec leurs yeux fermés. > Je voulus les voir; mais quand j'aperçus ces deux > grandes lignes de 6gures affreuses, je crus que > j'allais me trouver mal ; puis je me mis à les > examiner, une à une, cherchant à deviner ce > qu'avaient été ces hommes. > Les uniformes étaient ensevelis, cachés sous la > terre, et pourtant tout à coup, oui ma chérie, > tout à coup je reconnus les Français, à leur > moustache ! > Quelques-uns s'étaient rasés le jour même du > combat, comme s'ils eussent voulu être coquets > jusqu'au dernier moment ! Leur barbe cependant > avait un peu repoussé, car tu sais qu'elle pousse > encore après la mort. D'autres semblaient l'avoir > de huit jours; mais tous enfin portaient la > moustache française, bien distincte, la fière > moustache, qui semblait dire : "Ne me confonds pas > avec mon voisin barbu, petite, je suis un frère." > Et j'ai pleuré, oh! j'ai pleuré bien plus que si > je ne les avais pas reconnus ainsi, ces pauvres > morts. > J'ai eu tort de te conter cela. Me voici triste > maintenant et incapable de bavarder plus > longtemps. > Allons, adieu, ma chère Lucie, je t'embrasse de > tout mon coeur. Vive la moustache ! > > JEANNE. > > > > imad
vraiment c très amusant cette lettre !et surtt kan elle décrit moustache de "petite brosse de poils sur la lèvre " !il avé bien d l'imagination ce grand maupassant !
j'ai une barbe de 30 cm de long et ma femme n'y voit aucun inconvénient et pour le fun parfois je fais un chignon...Ma femme trouve ça tellement viril
[b][center][color=#CC0033]Si Allah vous donne Son secours, nul ne peut vous vaincre.
S’Il vous abandonne, qui donc après Lui vous donnera secours? C’est à Allah que les croyants doivent faire confiance.S3/V160[/color][/center][/b]