Je n'ai connu qu'une histoire d'amour, Au fil de ma vie, Cet homme m'a promis le toujours, Et puis s'est enfuie. C'est la couleur de l'enfer Quand les mots sont sales et se tuent Je n'ai pu sombrer sous la colère, Comme un cheval fou.
Mais ce qui m'a sauvée, C'est de pouvoir aimer.
Aimer jusqu'à l'impossible, Aimer se dire que c'est possible, Aimer d'un amour invincible, Aimer jusqu'à l'impossible, C'est possible.
J'ai vu des châteaux en Espagne, Ce que j'ai bâti, Et disparaîtrait sous les flammes de la jalousie, C'est de la douleur sans égal, Quand sa vie, Bat en étincelles Je n'ai pu vendre mon âme au diable,l Comme un criminel.
Mais ce qui m'a sauvée, C'est de pouvoir aimer.
Aimer jusqu'à l'impossible, Aimer se dire que c'est possible, Aimer d'un amour invincible, Aimer jusqu'à l'impossible, C'est possible.
Aimer jusqu'à l'impossible, Aimer, jurer sur la Bible, Malgré l'inaccessible, Aimer, jusqu'à l'impossible, C'est possible.
Hein hein hein...
Aimer jusqu'à l'imprévisible, Aimer jusqu'à l'impossible, C'est possible.
chanson de tina arena , avec la mélodie c'est mieux
Elle avait vingt ans en ce temps là Et moi j’avais souscris à l'amour avec un grand A Pas un de ceux sans lendemain Que l'on quitte tôt dimanche matin, A demi-inconscient ! Amour non pour une nuit, Simplement pour la vie.
Le mien, oui je dis bien le mien. Il était plus fascinant, plus consistant, Plus inspiré par la Foi. J'en fus conscient dés la première fois.
Hasard calculé ou coup du sort prémédité, Une amie me présenta cet ange lors d'une fête. Assis prés d'elle, en tête-à-tête, Je cédais à une conversation amusée.
Dans le fond de ses yeux, mon regard se noya. Le flot de son sourire m’emporta. Se débattant, mon cœur cria à l'aide. Toute résistance paraissait vaine
Le bonheur se caressait sur son visage. L'avenir se dégageait de ses mains. La vie s'illuminait à l'ombre de son teint. Sa radieuse beauté me figeait comme une image !
La suite, une série de bêtises et de malentendus. Et pourtant, Noble fut le but Et pourtant, Noble furent les sentiments
Que le temps pardonne à l'audacieux !
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Egaré par un regard,
J’ai écris sans compter mes pas.
J’ai rêvé loin devant moi,
Inspiré par ce regard.
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BenHillal a écrit: ------------------------------------------------------- > Amour Passé… > > > Elle avait vingt ans en ce temps là > Et moi j’avais souscris à l'amour avec un grand A > Pas un de ceux sans lendemain > Que l'on quitte tôt dimanche matin, > A demi-inconscient ! > Amour non pour une nuit, > Simplement pour la vie. > > Le mien, oui je dis bien le mien. > Il était plus fascinant, plus consistant, > Plus inspiré par la Foi. > J'en fus conscient dés la première fois. > > Hasard calculé ou coup du sort prémédité, > Une amie me présenta cet ange lors d'une fête. > Assis prés d'elle, en tête-à-tête, > Je cédais à une conversation amusée. > > Dans le fond de ses yeux, mon regard se noya. > Le flot de son sourire m’emporta. > Se débattant, mon cœur cria à l'aide. > Toute résistance paraissait vaine > > Le bonheur se caressait sur son visage. > L'avenir se dégageait de ses mains. > La vie s'illuminait à l'ombre de son teint. > Sa radieuse beauté me figeait comme une image ! > > La suite, une série de bêtises et de malentendus. > Et pourtant, > Noble fut le but > Et pourtant, > Noble furent les sentiments > > > Que le temps pardonne à l'audacieux ! > > > ------------------------------------------------ > Egaré par un regard, > J’ai écris sans compter mes pas. > J’ai rêvé loin devant moi, > Inspiré par ce regard. > ------------------------------------------------
excellent
mais un chy précipité par la fin
car on est envouté, pris ds ces phrases car on s'y croirait et la fin est est trop subite , mais bravo l'artiste :
c'est normal, car la fin est tombee subitement. Il fallait que mon poeme respecte les evenements.
Bien sur j'aurais voulu un enchainement plus doux, moins precipite ;-)
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Egaré par un regard,
J’ai écris sans compter mes pas.
J’ai rêvé loin devant moi,
Inspiré par ce regard.
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