3 Ouie : 3 osselets transmettent les vibrations et amplifient le son transmis dans le canal auditif (Ce sont les plus petits os du corps humain : Marteau, Enclume et Etrier)
Dieu dit : "J’étais un trésor caché, j’ai aimé à être connu, j’ai alors créé le monde ".
La Prière (Salât dont la racine étymologique signifie atteindre, unir, joindre) qui est un mode d’adoration pure :
- en intégrant l’homme dans le rythme cosmique de l’adoration universelle, elle est l’affirmation de notre entière dépendance et impuissance, au même rythme de tout ce qui existe :
"N'as-tu pas vu que c'est devant Dieu que se prosternent tous ceux qui sont dans les cieux et tous ceux qui sont sur la terre, et le soleil, et la lune, et les étoiles, et les montagnes, et les arbres, et les animaux...." (Coran XXII, 18)
"N"as-tu pas vu que tout ce qui est dans les cieux et sur la terre célèbre les louanges de Dieu, et les oiseaux en étendant leurs ailes. Il connaît la prière et les louanges de chacun d'entre eux ; et Dieu sait ce qu'ils font" (Coran XXIV, 41)
"Et devant Dieu se prosternent, bon gré, mal gré, tous ceux qui sont dans les cieux et sur la terre, et aussi leurs ombres, les matins et les après-midi" (Coran, XIII, 15) même le tonnerre « chante Sa Louange» (Coran, XIII, 13)
""Les sept cieux et la terre et ceux qui s'y trouvent Le glorifient et il n'est aucune chose qui ne Le glorifie, mais vous ne comprenez pas leur glorification" (Coran, XVII, 44)
et selon que Dieu a dit : « Prosterne toi et approche toi » (Coran,96, 19), l’acte rituel de prosternation confirme cette dépendance en symbolisant le dépouillement individuel. Appuyer la plus noble partie de son corps sur la terre d’où l’on est issue est l’abandon de toute arrogance et de tout orgueil face à Son immensité. Sans cette indigence, point de richesse. Notre petitesse est Sa Grandeur et Sa proximité. Tant que l’on ne s’est pas lavé de toute prétention d’être une réalité en soi, on ne peut être lumineux de l’éternelle présence.
Appuyer la plus noble partie de son corps sur la terre d’où l’on est issue est l’abandon de toute arrogance et de tout orgueil face à Son immensité. Sans cette indigence, point de richesse. Notre petitesse est Sa Grandeur et Sa proximité. Tant que l’on ne s’est pas lavé de toute prétention d’être une réalité en soi, on ne peut être lumineux de l’éternelle présence.