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om mounir a écrit:
mais quelle lettre va envoyer une femme mariee a un autre homme et pourquoi l envoyer
..ca ne veut rien dire que la lettre soit signee par son mari ...
j ai pas compris ...qui est ce mawlana ashraf ali ??
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om mounir a écrit:
mais quelle lettre va envoyer une femme mariee a un autre homme et pourquoi l envoyer
..ca ne veut rien dire que la lettre soit signee par son mari ...
j ai pas compris ...qui est ce mawlana ashraf ali ??
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Solitaire13 a écrit:
Mawlānā Ashraf'Alī Thānawī ne lisait pas les lettres envoyées par des femmes, à moins qu'elles ne soient signées par le mari. À une occasion, il a retourné la lettre et a dit: «Lire une lettre non signée par le mari équivaut à lui parler directement en l'absence du mari.» (Malfūẓāt, 10: 269).
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Al Hersini a écrit:
As salam
La personne dont parle le frère, c'est un savant de mon école (Deoband).... donc a priori les femmes lui écrivaient pas pour le séduire ou lui demander une recette de makroute, mais probablement pour avoir une fatwa
[en.wikipedia.org]
Cela étant, je comprend son point de vue, la signature de l'époux evite toute ambiguité
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Ouchime a écrit:
Et si elle est veuve? Qu'elle n'a ni mari, ni frère, ni fils, ni oncle, comme par exemple une femme reconvertie qui irait vivre chez les musulmans, une survivante d'une guerre ou bien il peut y avoir pleins d'autres situations dans lesquelles une femme peut se retrouver sans homme qui sont liés à elle, comment elle fait si elle a besoin de la réponse du cheikh? Il la laisse dans la galère et l'abandonne?
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Bee a écrit:
C'est de l'abus.
Les femmes posaient des questions au prophète (saws), et je ne pense pas que leur mahram était systématiquement présent.
Quand il s'agit de nécessité ou d'enseigner il n'y a pas de problème.
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Al Hersini a écrit:
As salam
Je t'invite a cliquer sur le lien wiki et a être attentif aux dates.... on parle d'une époque où la notion de convertie free style, y'a pas. Les rares converties, c'était des femmes indiennes qui se convertissaient pour le mariage. Pour toutes les autres, on parle de famille étendue où il y avait du mahram.
Quand aux veuves & co, elles pouvaient passer par un imam qui écrivaient le courrier, ce qui était d'ailleur la norme; les gens (hommes /femmes ) n'écrivaient pas directement au faqih.
Et puis bon,en Inde a cette époque, des femmes musulmane qui savaient écrire, fallait les trouver.
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Solitaire13 a écrit:
Il faut le prouver chère sœur. Le shaykh a un rang.
Le shaykh a le niveau pour émettre une fatwâ alors que nous sommes pas qualifiés pour le faire.
Je pense que c'est sa vénération d'Allah et sa peur du péché qui a conduit le shaykh à agir ainsi.
Une femme ansarite est venue rencontrer le Prophète (sur soit la paix et lui demander de lui parler en aparté, ce à quoi le Prophète (sur lui soit la paix) consentit.
Le fait d'être isolé est différent du fait d'être en aparté quand cela est en public ou accompagné qu'un groupe de femmes de bonnes mœurs.
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