Menu
Connexion Yabiladies Ramadan Radio Forum News
L’IMAM EL BUKHÂRÎ ÉTAIT-IL ASH’ARÎ ?
5 décembre 2016 18:48
Au nom d’Allah le Très Miséricordieux, le Tout Miséricordieux

L’Imam el Bukhârî était-il Ash’arî ?

(Partie 1)



Voir : el ashâ’ira fî mîzân ahl e-sunna (p. 597-604) de Faïsal el Jâsim.


La question peut paraitre saugrenue, vu l’anachronisme qui existe entre ces deux références islamiques. Néanmoins, puisque la chose est souvent avancée, et en sachant qu’il n’est plus la peine de présenter l’auteur du sahîh, il convient malgré tout de préciser :

El Bukhârî donne des titres à ses chapitres qui démontrent qu’il était attaché à l’orthodoxie musulmane, et qu’il n’a jamais trébuché dans le ta-wîl, notamment dans le domaine si épineux, des Noms et des Attributs divins. En voici quelques exemples :

- Chapitre : concernant le Verset : [Allah vous met en garde contre Lui-même].[1] Le terme arabe utilisé est nafs (personne, entité).

- Chapitre : concernant le Verset : [Toute chose est vouée à la disparation, sauf Son Visage].[2]

- Chapitre : concernant le Verset : [afin que tu sois élevé sous nos yeux],[3]en sachant que le texte arabe utilise ‘aïn au singulier.

- Chapitre : concernant le Verset : [que J’ai crée de Mes Mains],[4] en sachant que le texte arabe utilise yad au duel.

- Chapitre : concernant le hadîth : « Personne n’est plus Jaloux qu’Allah ! » Le terme arabe utilisé est shakhs, qui signifie une personne également. Mot à mot, il faudrait dire : aucune personne n’est…

- Chapitre : concernant le Verset : [Dis : y a-t-il une chose qui a un plus grand témoignage ?][5] Dans les textes, le terme shaï (chose) désigne soit Allah Lui-même, soit le Coran. Dans les deux cas, il s’agit d’un Attribut, comme dans : [Toute chose est vouée à la disparation, sauf Son Visage].[6]

- Chapitre : concernant le Verset : [Alors que son Trône était sur l’eau][7] [Il est le Seigneur du Trône immense].[8] Dans ce chapitre, il rapporte notamment l’annale d’Abû el ‘Âliya et de Mujâhid disant : « istawasur le Trône a le sens de s’élever sur le Trône ‘alâ et irtafa’a. » Puis, il cite un certain nombre de hadîthdémontrant qu’Allah est au ciel, au-dessus de toute la création.

- Chapitre : concernant le Verset : [Chaque jour, Il est à l’ouvrage][9]…[Allah va sûrement après cela, susciter quelque chose].[10] Ahdatha signifie : susciter, produire, etc.

- Tous les chapitres qui traitent de la Parole d’Allah comme : Chapitre attribuant à Allah des Lettres et des Sons ; Chapitre : l’entretien entre le Seigneur et Jibrîl, et l’appel aux anges.

- Chapitre : concernant la création des cieux, de la terre et de toute chose ; cette création provient de l’action d’Allah (I). Allah est le Créateur incréé, par ses Attributs, Ses actes et Son ordre ; et ce qui découle de Ses actes, de Son ordre (amr), et de Sa création est créé.[11]

Ibn el Qaïyim explique notamment que ce dernier chapitre a pour but de démontrer que l’action d’Allah est différente de la création ; Allah est donc l’auteur de ces actes qui ont la particularité d’être incréés. L’acte est donc extérieur à la création. Les actes d’Allah appartiennent autant au divin que Ses Attributs et ne sont pas extérieurs à Lui. Ils sont mêmes à l’origine de la création.[12]

Ainsi, ce constat s’oppose à la théorie de l’accident que l’ash’arisme défend avec force. Ses adeptes ne conçoivent pas qu’Allah soit l’auteur d’actes volontaires, qui seraient à leurs yeux, des accidents. Pour échapper aux conséquences de cette théorie qu’ils ont héritée des philosophes grecs, ils renient des Attributs qui relèvent de Sa volonté tels que la Création, l’istiwâ, la venue d’Allah, Sa Parole, Son Appel, Son entretien intime, etc. Ils reprochent ainsi aux traditionalistes de se conformer au vocabulaire du Coran, de la sunna et des Compagnons. C'est pourquoi ils leur collent depuis des lustres l’étiquette d’anthropomorphistes. Leur péché, c’est d’être, littéralistes, restés fidèles aux textes.

Dans khalq af’âl el ‘ibâd, l’Imam el Bukhârî approfondit encore plus ce crédo. Sous le chapitre : réfutation aux jahmistes et aux négateurs, il explique : « Na’îm ibn Hammâd a démontré que la Parole d’Allah était incréée ; les Arabes prenaient les actes comme paramètre afin de distinguer entre les vivants et les morts. Contrairement aux seconds, les premiers ont la faculté d’émettre des actes, en sachant que les actes des hommes sont créés, etc. »[13] Dans un autre passage, il lance sans ambages : « L’action d’Allah relève de Ses Attributs, et le résultat de cette action est extérieur à Lui et elle est à l’origine de la création. »[14]

Dans le domaine de la foi (imân), il consacra les chapitres suivants :

.
5 décembre 2016 18:51
L’Imam el Bukhârî était-il Ash’arî ?

suite (Partie 1)

Dans le domaine de la foi (imân), il consacra les chapitres suivants :

- Chapitre : Le Prophète (r) désigna la prière comme un acte, pour établir que les actes entraient dans la définition de la foi.

- Chapitre : concernant le Verset : [Allah vous a créé, vous et vos actes].[15]En outre, Le Prophète (r) désigna la foi comme un acte.

L’auteur du plus grand recueil musulman après le Coran est également l’auteur de ces paroles : « J’ai retranscrit les paroles de mille quatre-vingts savants, composés uniquement de traditionnistes ; tous disent que la foi est composée des paroles et des actes, et qu’elle monte et qu’elle descend. »[16]

Il va sans dire, que ce crédo s’oppose à la tendance ash’arite pour qui la foi est synonyme de la conviction du cœur, sans que les actes n’entrent dans sa définition.

Il y a encore un nombre incroyable d’exemples prouvant qu’el Bukhârî était en accord avec la tendance traditionnaliste. Ce dernier n’avait pas recours dans le domaine des Noms et Attributs divins ni à l’interprétation (ta-wîl) ni à la falsification (tahrîf) des textes, comme le souligne notamment e-Dhahabî.[17] Il expose clairement son crédo dans son livre consacré à la réfutation des jahmites, et dans lequel il reprend de nombreuses annales des anciens et des grandes références de l’Islam pour appuyer sa croyance.

Entre autres, il établit clairement qu’Allah est doté de la Parole que l’on peut entendre de près comme de loin, ce qui est propre à Lui. Cela démontre que Sa Voix ne ressemble pas à celle de la création. En outre, les anges s’effondrent à l’écoute de Sa Voix. En parallèle, les textes coraniques précisent qu’il ne convient d’attribuer aucun égal au Seigneur. Ainsi, Ses Attributs n’ont aucun équivalent dans la création et ils n’ont aucune ressemblance avec la création.[18]

Or, les ash’arites renient cet Attribut sous prétexte qu’il implique de faire ressembler Allah à la création, conformément à leur théorie de la « Parole intérieure » (kalâm nafsî). El Bukhârî n’avait ainsi aucune affinité avec ibn Kullâb qui porta très haut le flambeau dukalâm nafsî, et qui reçut à cause de cela, les foudres de ces contemporains. La violente divergence qui opposait l’Imam Ahmed à el Hârith el Mahâsibî n’avait pas d’autre enjeu que de préserver intact le sens de ce Noble Attribut.

Ainsi, el Bukhârî était fidèle dans son approche des textes au crédo des anciens qui avaient pour principe de se baser d’abord sur le Coran et la sunna, avant de s’inspirer des annales des Compagnons, de leurs successeurs et des grandes références traditionalistes. El Bukhârî n’a jamais évoqué ibn Kullâb dans son œuvre et ne s’est jamais inspiré de ses paroles ni d’ailleurs des autres pères fondateurs de la secte tels qu’el Mahâsibî, el Qullânisî, el Karrâbisî, et bien d’autres ; il ne l’a fait ni dans son sahîhni dans ses trois recueil d’histoire ni dans khalq af’âl el ‘ibâd, etc.

La question qui se pose ici d’elle-même, c’est qu’est-ce qui a poussé les néo-ash’arites à compter malgré lui, l’Imam el Bukhârî dans leurs rangs ? C’est ce que nous nous proposons de répondre in sha Allah, dans la suite de cet article…

Traduit par : Karim Zentici

[1] La famille de ‘Imrân ; 28
[2] Les récits ; 88
[3] Tâ-Hâ ; 39
[4] Sâd ; 75
[5] La famille d’Imrân ; 19
[6] Les récits ; 88
[7] Hûd ; 7
[8] Le repentir ; 129
[9] Le Tout-Miséricordieux ; 29
[10] La répudiation ; 1
[11] Voir : el mukhtâr fî usûl e-sunna d’ibn el Banna (p. 110-149).
[12] Ijtimâ’ el juyûsh el islâmiya (p. 238).
[13] Voir : khalq af’âl el ‘ibâd (p. 107).
[14] Idem. (p. 173).
[15] Les rangs ; 96
[16] Siar a’lâm e-nubalâ (12/395).
[17] El ‘ulû (p. 186).
[18] Voir : khalq af’âl el ‘ibâd (p. 107).
5 décembre 2016 18:54
L’IMAM EL BUKHÂRÎ ÉTAIT-IL ASH’ARÎ ? (2/2)


Voir : el ashâ’ira fî mîzân ahl e-sunna (p. 590-591) de Faïsal el Jâsim.

Voici l’argument en question :

Concernant l’Attribut, Dhahik (rire, sourire), selon el Baïhaqî dans son fameux ouvrage el asmâ wa e-sifât : « El Bukhârî a dit : le Dhahik en question correspond à la Miséricorde… »

Nous disons en réponse :

Premièrement : el Baïhaqî se contente de citer cette annale sans chaine narrative. Il explique en effet : « Au sujet du Dhahik évoqué dans les textes, el Farabrî rapporte selon Mohammed ibn Ismâ’îl el Bukhârî – qu’Allah lui fasse miséricorde – : Le Dhahik a le sens de Miséricorde. »

L’auteur a certainement puisé cette annale dans a’lâm e-sunan d’el Khattâbî. Ce dernier souligne en effet, en explication au hadîth décrivant qu’Allah fut content (‘ajiba) et qu’Il a rit (Dhahik), suite à l’altruisme incomparable qu’un ansarî (auxiliaire médinois) et sa femme ont fait preuve avec leur invité : « Abû ‘Abd Allah a dit : Le Dhahik a le sens de Miséricorde. Cette annale est rapportée par el Farabrî, non ibn Ma’qal. »[1]

Or, en annotation à ce passage, ibn Hajar offre un indice de taille : « Je n’ai vu cette annale dans aucun des manuscrits d’el Bukhârî que j’ai pu avoir sous les yeux. »[2]

Deuxièmement : cette annale s’oppose à la ‘aqîda (croyance) de l’Imam comme nous l’avons vu précédemment. Il prenait les Attributs divins dans leur sens littéral, sans n’avoir nullement recours au ta-wîl. En cela, il était fidèle à ses Sheïkh tel qu’Ahmed, Ishâq, Abû ‘Ubaïd, et les grandes références parmi les anciens, en commençant par les Compagnons.

Traduit par : Karim Zentici

[1] A’lâm e-sunan d’el Khattâbî (2/1367).
[2] Fath el Bârî (8/501).
*
5 décembre 2016 19:07
Salam alayk

@ Rosiles :

Probablement était un salafi n'est-ce pas?

Salafi pour un jour, salafi pour toujours.
6 décembre 2016 18:50
Assalam alaik

« Les Jahmites sont les mâles et les Ach`arites sont les femelles. »
Yahya ibn `Ammâr: Madjmoû` el-Fatâwâ (6/359).


Imam al Boukhari était sur la voie des salafs, c'est evident, il n'a jamais entendu parler de Asharite de sa vie, forcement il ne faisait pas parti de ceux qui ont été éprouver dans l'ASHARISME.
iL n’emploie pas des terme comme localisation, espace, volume organe, connu chez la sectes Asharite et Ahbashe.
Le père de la croyance Asharite sont les Jahmytes Tout les savant réfutaient les Jahmites avant que les Asharite prenais le relais. vers 3010H

Il réfutait les Jahmites, qui reniait les attribut d'Allah exactement comme les Asharite. C'est l’héritage Jahmites
La sectes Asharite vont jusqu'a mentir a leur adeptes, s'attribuant beaucoup des imams qui n'ont rien avoir avec l'Asharisme tel que Imam As-Sabouni, imam At-Tahawiah...

Les Asharite les Ahbashe sont des gens du kalam.

Leur argument est basé sur la raison philosophique islamisé

IL a été rapporter
d’Ibn Fourak, un théologien Ach`arite bien connu, lorsqu’il alla voir le Sultan Mahmoud Ibn Soubouktakine (421) et lui dit :
« Il n’est pas permis d’attribuer à Allah al-Fawqiyyah (croire qu’Il est au-dessus de Sa création), car cela impliquerait qu’on puisse lui attribuer at-Tahtiyyah (qu’Il est en dessous)… » Le Sultan lui dit :
« Ce n’est pas moi qui lui est attribué al-Fawqiyyah, Il se l’est attribué Lui-même. » Alors Ibn Fourak resta bouche bée.

On vous donne la même réponse:
Il se l’est attribué Lui-même. Nous attribuons a Allah ce qu'il s'est attribuer lui même.

.
.
Citation
FM3S2R a écrit:
Salam alayk

@ Rosiles :

Probablement était un salafi n'est-ce pas?

Salafi pour un jour, salafi pour toujours.
M
6 décembre 2016 19:29
As Salam Alaykoum

Les gens persistent sur cette croyance alors que le fondateur de cette secte est revenu sur une voie claire avant sa mort
6 décembre 2016 20:16
il etait un soufi Musulman
Citation
rosiles a écrit:
Au nom d’Allah le Très Miséricordieux, le Tout Miséricordieux

L’Imam el Bukhârî était-il Ash’arî ?

(Partie 1)



Voir : el ashâ’ira fî mîzân ahl e-sunna (p. 597-604) de Faïsal el Jâsim.


La question peut paraitre saugrenue, vu l’anachronisme qui existe entre ces deux références islamiques. Néanmoins, puisque la chose est souvent avancée, et en sachant qu’il n’est plus la peine de présenter l’auteur du sahîh, il convient malgré tout de préciser :

El Bukhârî donne des titres à ses chapitres qui démontrent qu’il était attaché à l’orthodoxie musulmane, et qu’il n’a jamais trébuché dans le ta-wîl, notamment dans le domaine si épineux, des Noms et des Attributs divins. En voici quelques exemples :

- Chapitre : concernant le Verset : [Allah vous met en garde contre Lui-même].[1] Le terme arabe utilisé est nafs (personne, entité).

- Chapitre : concernant le Verset : [Toute chose est vouée à la disparation, sauf Son Visage].[2]

- Chapitre : concernant le Verset : [afin que tu sois élevé sous nos yeux],[3]en sachant que le texte arabe utilise ‘aïn au singulier.

- Chapitre : concernant le Verset : [que J’ai crée de Mes Mains],[4] en sachant que le texte arabe utilise yad au duel.

- Chapitre : concernant le hadîth : « Personne n’est plus Jaloux qu’Allah ! » Le terme arabe utilisé est shakhs, qui signifie une personne également. Mot à mot, il faudrait dire : aucune personne n’est…

- Chapitre : concernant le Verset : [Dis : y a-t-il une chose qui a un plus grand témoignage ?][5] Dans les textes, le terme shaï (chose) désigne soit Allah Lui-même, soit le Coran. Dans les deux cas, il s’agit d’un Attribut, comme dans : [Toute chose est vouée à la disparation, sauf Son Visage].[6]

- Chapitre : concernant le Verset : [Alors que son Trône était sur l’eau][7] [Il est le Seigneur du Trône immense].[8] Dans ce chapitre, il rapporte notamment l’annale d’Abû el ‘Âliya et de Mujâhid disant : « istawasur le Trône a le sens de s’élever sur le Trône ‘alâ et irtafa’a. » Puis, il cite un certain nombre de hadîthdémontrant qu’Allah est au ciel, au-dessus de toute la création.

- Chapitre : concernant le Verset : [Chaque jour, Il est à l’ouvrage][9]…[Allah va sûrement après cela, susciter quelque chose].[10] Ahdatha signifie : susciter, produire, etc.

- Tous les chapitres qui traitent de la Parole d’Allah comme : Chapitre attribuant à Allah des Lettres et des Sons ; Chapitre : l’entretien entre le Seigneur et Jibrîl, et l’appel aux anges.

- Chapitre : concernant la création des cieux, de la terre et de toute chose ; cette création provient de l’action d’Allah (I). Allah est le Créateur incréé, par ses Attributs, Ses actes et Son ordre ; et ce qui découle de Ses actes, de Son ordre (amr), et de Sa création est créé.[11]

Ibn el Qaïyim explique notamment que ce dernier chapitre a pour but de démontrer que l’action d’Allah est différente de la création ; Allah est donc l’auteur de ces actes qui ont la particularité d’être incréés. L’acte est donc extérieur à la création. Les actes d’Allah appartiennent autant au divin que Ses Attributs et ne sont pas extérieurs à Lui. Ils sont mêmes à l’origine de la création.[12]

Ainsi, ce constat s’oppose à la théorie de l’accident que l’ash’arisme défend avec force. Ses adeptes ne conçoivent pas qu’Allah soit l’auteur d’actes volontaires, qui seraient à leurs yeux, des accidents. Pour échapper aux conséquences de cette théorie qu’ils ont héritée des philosophes grecs, ils renient des Attributs qui relèvent de Sa volonté tels que la Création, l’istiwâ, la venue d’Allah, Sa Parole, Son Appel, Son entretien intime, etc. Ils reprochent ainsi aux traditionalistes de se conformer au vocabulaire du Coran, de la sunna et des Compagnons. C'est pourquoi ils leur collent depuis des lustres l’étiquette d’anthropomorphistes. Leur péché, c’est d’être, littéralistes, restés fidèles aux textes.

Dans khalq af’âl el ‘ibâd, l’Imam el Bukhârî approfondit encore plus ce crédo. Sous le chapitre : réfutation aux jahmistes et aux négateurs, il explique : « Na’îm ibn Hammâd a démontré que la Parole d’Allah était incréée ; les Arabes prenaient les actes comme paramètre afin de distinguer entre les vivants et les morts. Contrairement aux seconds, les premiers ont la faculté d’émettre des actes, en sachant que les actes des hommes sont créés, etc. »[13] Dans un autre passage, il lance sans ambages : « L’action d’Allah relève de Ses Attributs, et le résultat de cette action est extérieur à Lui et elle est à l’origine de la création. »[14]

Dans le domaine de la foi (imân), il consacra les chapitres suivants :

.
 
Emission spécial MRE
2m Radio + Yabiladi.com
Facebook