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Jil JILALA
t
25 mars 2006 21:06
Salut atous :
Pour M'rakchi : Je m'éxcuse de ne pas avoir lu ton message en ce qui concerne la chanson de jil jillala , tu sait je suis beaucoup plus collé sur le forum de Lemchaheb que celui de jil jillala , pour la chanson son titre et : Yadou laïmin . dans le meme succés il y a El Guelb El Meskoun Etc...il est un peu récent années 90 .
Une autre chanson du meme album .
íÇ Ïæß ÇáÂíãíä ÑÝÞæÇ ãä ÍÇáí
ÚáÇÔ ÊÚíÈæ ÝÞæáí æ ÝÚÇáí
ÚáÇå ÃäÇ Çáíæã ÕÈÊ ÑÇÓí ÝÇáÏäíÇ ÌíÊ ÈÇáÔæÇÑ
ÚáÇå ÃäÇ Çáíæã ÒáÞæäí ÑÌáíÇ ßÇä áí ÇÎÈÇÑ
íÇß ÇåäÇ ÍáíÊ ÚíäíÇ æ åäÇ áÇÛíÊ ãÚì ãä ÑÈÇäí
æ ÇÍÈíÊ Ýí áÑÖ Úáì ÑßÇÈíÇ æ ÝÑíÊ Ãáí ÈÍÇá ÝÑÇÊí
ÃÔ ßÇä ÈÏíÇ ÃäÇ --- ØáÞæäí ÊÑÚì ãæÇáíÇ æÓØ ÇáÒäÞÉ ÇäÖíÈåÇ ÛÇÈÉ ãÎÞíÉ
ÖÚíÝåÇ ÚÇÏã áÍãíÉ
ÇÊÈÚÊ ÇáæÇÏ Ãáí ÇÍãá ÈíÇ Íãáæ æÎÏÉ ÇãÔíÊ ÝíåÇ æ ÏÇäí
åÇäí Ýíä ÇáæÇÏ ÇÑãÇäí ÂÔ ßÇä ÈÏíÇ ÃäÇ
íÇ Ðæß ÇáÂíãíä ...
ó A Bientot
Amicalement Mohammed Dahmani
l
26 mars 2006 14:32
salem
ya khouya mohamed, n'oublions pas jil.
Je remarque que,le dossier n'est pas vraiment motivé.
Maâ salama
lemchahebi ''henni''
k
27 mars 2006 03:51
salam ila eljamiaa,
merci encore pour ce joli forum jilala et merci a jilala aussi pour leurs efforts depuis plus de trois decenies, jamais ils ont arrete de donner meme dans leurs plus pire moments.
je me joins a vous et je salue les jilala de ce forum et je leur demande de nous faire partager leurs connaissances sur jil jilala .
et merci encore
Mzine mdihek ma kifou tjara ya rssoul allah!!!!
y
6 avril 2006 04:01
salut les amis
j aimerai bien apprecier toute votre citation des chansons les plus belles de notre patrimoine culturel et artistique <JIL JILALA>
j adore ce groupe et je le connais par coeur
j ai 54 chansons sur mon disque dur
par exemple
rah zare3 ri7 mayjni ghir l 3assifa
ma yssgha lnssi7 ma f9elbou 3atifa
w si7 li ysi7 tarou mn 9oum salifa

chella fik mn 3ib sayg mgueddem mamssaoui
t7lem w 7olmek rhif tabe3 lkhwa lkhawi
wa lazem lik tbib 7kim lazem lik tbib bdwah ydawi
n hesitez pas à me contacter car je recherche quelques chansons que j ai appris par coeur et je les ai pas en cd ou meme sur le dd
par ex
ma fadet fik dwayr zman w chella 7jjat bayna w ch7al mn 3alama w ch7al mn 7ekma w fdayl hel lmnaber
sgha lneghma w dou9 ser l kelma w rwa w koun 7ader
ma zadek 7ekma wla 3tak ifada tb9a hakda fouhamek sayr
w 3dad manta sali fdenia niran fi gloub 7babek mdrouma
ma hezek ri7 lbare7 ki yhezek ri7 lyouma
voila mon adresse de messagerie [email protected]
et merci



Modifié 2 fois. Dernière modification le 06/04/06 16:59 par yassine08084.
y
6 avril 2006 16:44
j attends toujours des informations sur les chansons de jil jilala
jlatni rya7ek
jilala
mzyne oussoulek<tout le groupe>+version med darham ft haj younes
ri7 lbare7
je vous cite quelques vers que j aime le plus:
ma glbi ynssak manta tabe3 9oum fdelha t3oum wala l9at sbil lsla7ek
l9adar bghak w khtark mdloum ykfak mat loum w tssber lsda3 jra7ek
loukan rad rbbi w bgha loukan sart l ard wta kifach ya bnadem ttgha...............
ah ya jilala
c est vraiment top vous trouvez pas?



Modifié 1 fois. Dernière modification le 06/04/06 16:56 par yassine08084.
6 avril 2006 18:15
ta chanson que tu cherche je l'ai sur disque 33 tours et j'atend que je trouve un tourne disque

[s59.yousendit.com]
t
6 avril 2006 20:45
Salut :
Avec un un retour en arrière , je me trouve toujours un jeune homme vivant dans des reves de jeunesse qui s'authentifie au chant de Lemchaheb & jil jillala , en voyant le titre de jiljillala "Mezinz ousoulek " évoqué par Yacine bien sur les larmes coules et me rappelle ma jeunesse :
ãÒíä ÃÕæáß íÇ ÇáÈÏÑ ÇáÓÇãí áæ áÇ ÌÝÇß
æ ßáÇã ÍÓæÏß æ ÇáÑÞíÈ Ãáí ÏÇÑíÑ Èíß
æ ãÇ ÍÏ äÌæãß ÖÇæíÉ æ åáÇáß Èíä ...
åí åí åí ....
åÇåÇ Âæ ÓÑÍ ãÓÌæäß
ÓÑÍ ãÓÌæäß
æ äÚãáæ ÈÝßÇß ääÞÏ Ûíæãß
æ ÇáÑÞíÈ Ãáí ÏÇíÑ Èíß
Je m'éxcuse de ne pas avoir terminé les paroles , par ce que avec le temps ça commence a m'échapé un peu mais si vous en avez besoin je ferias de mon mieux .
Merci
y
7 avril 2006 03:31
voila mon adresse email [email protected]
si vous avez des mp3 sur vos cd ou votre disque dur et precisement ses chansons:
mzine oussoulk
jilala
jlatni rya7ek
sfina
lkhlay9
ri7 lbar7
n hesitez pas a me contacter et je vous rappelle que je suis impatient de les avoir sur mon dd
et merci beaucoup
amicalement
yassine
i
17 avril 2006 20:10
up
georges orwell
h
17 avril 2006 20:23
i
19 avril 2006 22:03
Dima up
georges orwell
i
28 avril 2006 11:50
up for ever
georges orwell
p
4 mai 2006 13:31
Un peu d'histoire sur Jil Jilala

Portrait. Jilala for ever


Mohamed Derham,
leader des Jil Jilala (DR)
Plus connu aujourd’hui comme concepteur-rédacteur en communication ou comme membre de la famille Oufkir, Mohamed Derham est d’abord un grand artiste, qui a participé à la formidable aventure de Jil Jilala, groupe mythique de nos belles années 70.


"Je suis le produit d’une époque". Mohamed Derham a vu le jour à Marrakech en 1949. Il a grandi dans le Maroc de la post-indépendance, celui des si mouvementées années 60. "Cela bouillonnait vraiment à tous les coins de rue. La tendance était à la culture et à la politique. On contestait beaucoup, mais on entreprenait également beaucoup". Le Marrakech du début
des sixties constituait, juste derrière Casablanca, la deuxième scène authentique de l’underground marocain, une sorte de contre-culture où la contestation politique était servie par deux armes redoutables : la musique et le théâtre. Comme ses congénères de Nass El Ghiwane, Lemchaheb ou Tagadda, Derham est venu à la musique via le théâtre, d’abord dans les rues, ensuite dans les associations locales, les fameux "clubs de la jeunesse" qui proliféraient à l’époque, la scène, etc. Le mot d’ordre dominant, à l’époque, était la "correction", ou le retour à la marocanité : "On voulait tout corriger. Nous sortions à peine du colonialisme, nous voulions nous en éloigner au plus vite en retournant au patrimoine marocain, loin des vents de l’Occident, mais aussi des sirènes du Machreq arabe". Derham passe par les deux principales associations qui fédéraient la jeunesse de Marrakech : la chabiba Al Hamra et le club Comédia. C’est là qu’il côtoie déjà deux futurs membres de Jil Jilala, Moulay Abdelaziz Tahiri et Moulay Tahar Asbahani, ainsi que Mohamed Chahramane, l’un des auteurs les plus inspirés des années 70, spécialement réputé pour la réadaptation des textes anciens. Ce mouvement, qui a réellement pris de l’ampleur à partir de 1962, a atteint son apogée trois années plus tard avec, entre autres, l’adaptation du fameux "Al-Harraz" par le dramaturge Abdeslam Chraïbi, sorte de réplique marrakchie de Tayyeb Saddiki à Casablanca. Mohamed Derham se lie rapidement au comédien Mohamed Afifi, un grand monsieur du théâtre populaire (vu au cinéma, entre autres, dans "à la recherche du mari de ma femme" ou "Mille mois"winking smiley, quitte son Marrakech natal pour Fès et El Jadida, avant de déposer ses valises, définitivement, à Casablanca. En 1971, Larbi Batma, Mohamed Boujemia et d’autres jeunes gaillards du Hay Mohammadi se sont affranchis de Tayyeb Saddidki pour fonder Nass El Ghiwane, avec le succès que l’on sait. Derham leur emboîte le pas avec Moulay Tahar Asbahani, Mahmoud Saïdi (décédé il y a deux semaines) et quelques autres. En 1972, Jil Jilala était né. "Le groupe, se rappelle Derham, doit son existence à Hamid Zoughi (ndlr : acteur chez Jilali Ferhati et, aujourd’hui, réalisateur de cinéma). C’est lui qui nous a réunis et convaincus de nous lancer en travaillant un nouveau style, inspiré de la musique soufie et des chants des zaouiyas marocaines". Le nom de Jil Jilala (la génération des Jilala) est d’ailleurs dédié à l’une des nombreuses confréries du royaume. Pour ses débuts, le groupe récupère l’un des membres fondateurs de Nass El Ghiwane, Moulay Abdelaziz Tahiri, venu pour explorer à fond les possibilités par le Zajal et le malhoun. Jilala s’adjoint aussi les services d’une chanteuse, Sakina, et va à Essaouira chercher un jeune mâalem gnaoui, menuisier le jour et prodigieux musicien – chanteur la nuit : Abderrahmane Paca. Les premières chansons du groupe, sans doute les meilleures de tout leur répertoire (les "Lajouad", "Lighara", "leklam lemrassaâ"winking smiley sont portées, d’ailleurs, par le jeu de ce même Paca, qui basculera quelques années plus tard chez les frères-ennemis de Nass El Ghiwane. Comme ces derniers, les Jil Jilala obtiennent un succès immédiat, plus palpable dans le sud du pays, mais aussi dans tout le Maghreb, et principalement en Tunisie. à partir de 1974, le groupe essaie d’élargir son champ et recrute, coup sur coup, deux excellents musiciens : Abdelkrim Kasbiji, qui deviendra la coqueluche du groupe sur scène, et Hassan Miftah. Plus tard, les Jilala iront chercher un autre jeune mâalem, pour pallier le vide laissé par Paca : Mustapha Baqbou, aujourd’hui l’une des références de la scène gnaouie à Essaouira. "Nous n’étions pas exactement une bande d’amis, prévient toutefois Derham, juste des musiciens complémentaires qui tournaient bien ensemble en étant, tantôt, plus royalistes que le roi, tantôt plus communistes que les communistes". Le royalisme des Jilala trouve son illustration quand, au lendemain du discours de la marche verte de Hassan II, le groupe compose à la va-vite l’un de ses standards : le très patriotique "Laâyoune Aïniya (Laâyoune, mes yeux)". Le communisme du groupe s’exprime, dixit Derham, via "Sa propension à tout partager équitablement (royalties, recettes des tournées) entre tous les membres du groupe, quel que soit l’apport de chacun". Royalisme et communisme vont se diluer au fil des années. Entre 1976 et 1977, Sakina quitte le groupe. Ce qui n’empêche pas Jil Jilala d’aligner de nouveaux chefs-d’œuvre, comme la reprise fantastique de "Chamâa", vieille chanson du répertoire du malhoun, transcendée par les jeunes gens de Marrakech. Ou "Arrâad", autre classique du malhoun revisité avec bonheur. Sans oublier "Loutfiya", éternel chant soufi dans lequel Derham est au sommet de son art. Dans la foulée, le groupe enregistre ce qui restera, probablement, comme son plus grand succès : "Ezzine ousoulouk". La chanson, magnifique de bout en bout, comporte un passage ("sarrah masjounek", littéralement libère ton prisonnier) devenu aussi fameux que le "Haydouss" de Lemchaheb. Explication de Derham : "Ce texte n’est pas à nous, il appartient au patrimoine marocain. Il signifie, au premier degré, libère-toi de ce qui te pèse sur le cœur. Mais la façon dont le couplet a été chantée, plutôt crié, hurlé, lui a donné une multitude de significations qui appartiennent, d’abord, à ses auditeurs". Pour la petite histoire, "Sarrah Masjounek" est devenu, au grè du hasard, "libère les prisonniers d’opinion", "vide ton verre (de vin)", "exprime ton désir à ta dulcinée", etc.
La belle histoire de Jil Jilala s’essouffle tout au long des pénibles années 80, marquées par l’arrivée massive des synthés, du raï et par l’ère du vidéo-clip. Le groupe, à l’image des Ghiwane et Lemchaheb, se cherche et se perd, entre le besoin de se renouveler et celui de coller à une époque qui n’est plus vraiment la sienne. Jil Jilala, sous l’impulsion de Derham, introduit une section de cuivres. Mais le clivage, au sein du groupe, est déjà consommé ; Derham fait bande à part avec Tahiri, tandis que le tandem Asbahani – Kasbiji fait des virées solitaires en malhoun (dont, notamment, un excellent "Dijour" avec le regretté Haj Houcine Toulali). "C’était le dur retour à la réalité des choses, se souvient avec amertume Mohamed Derham. Nous étions trop romantiques au départ, mais dans les années 80, nous sommes devenus adultes, des gens mariés, avec des responsabilités, des ambitions personnelles, etc. Même l’inspiration a commencé à se dissiper. Nous n’avancions pratiquement plus. Les décalages devenaient énormes entre les uns et les autres, et chacun voulait pousser dans sa direction. Difficile, dans ces conditions, de continuer d’exister, réellement, en tant que groupe". En 1995, Derham quitte définitivement Jil Jilala, une décision douloureuse qu’il avoue avoir sans cesse différée… depuis 1983. Trois années plus tard, l’artiste publie, à presque 50 ans, son premier et unique album solo. Une expérience qu’il n’a toujours pas renouvelée : "On vit, aujourd’hui, dans un monde de piratage tous azimuts. Publier un disque, même s’il marche bien, revient à perdre de l’argent puisque l’essentiel des recettes va à des pirates et autres revendeurs clandestins". Derham continue de jouer et de composer dans son petit coin (musiques de téléfilms, de génériques d’émission radio et télé, etc), se produisant même de temps en temps sur scène. Il gagne sa vie, d’abord, en tant que concepteur-rédacteur dans une agence de communication, loin, très loin du troubadour inspiré qui, dans les années 70, crachait littéralement ses poumons à chaque chanson de Jil Jilala. "Qui dit artiste, dit être atypique. Et dans un pays qui ne reconnaît pas vraiment ses artistes, on est tous condamnés à végéter ou à s’en sortir grâce à des bouts de ficelles". Il y a deux semaines, Derham a éprouvé un pincement de cœur en apprenant le décès, tragique, de l’un de ses anciens compagnons du groupe, le discret Mahmoud Saïdi découvert seul dans son appartement à Casablanca, plusieurs jours après sa mort. Un autre des ses camarades de "promotion", Abderrahmane Paca, vit des jours difficiles à Essaouira. Derham se déplace, d’ailleurs, ce week-end à Essaouira pour rendre un hommage à Paca, en compagnie de deux survivants des mythiques Nass El Ghiwame et Lemchaheb, Omar Sayed et Sousdi...
Enfin, pour la petite histoire, Mohamed Derham rappelle qu’il n’a rien à voir avec la famille Derham, l’une des plus puissantes tribus des provinces du Sud. Et ne tient pas spécialement à évoquer ses liens de sang avec la famille Oufkir. "J’ai épousé la nièce du général, en 1974, alors qu’il n’était déjà plus de ce monde, voilà tout"...


© 2005 TelQuel Magazine. Maroc. Tous droits résérvés
m
28 mai 2007 13:08
je ne suis pas une fan dévouée à jil jilala, mais vraiment j'apprécis bcp les talents marocains, en fait ces groupes là naissent et luttent rien que par amour à ce qu'ils font. je regrette bcp qu'on ne reconnait ces talents que tard. oon ne rend hommage à nos artistes qu'aprés leur mort. mais heureusement qu'il y a toujours des fidels pour se souvenir.
cette discussion m'a incité à m'inscrire sur ce site et aussi parce que cela fait des jours que je mimais une chanson dont j'ignore l'interprète, est ce nas el ghiwan ou jil jilala. je crois que ces paroles sont les suivantes:
Yak eddel m7ak
Ya sidi 3afak
We kelmet 3afak
Mat7eyed me7na
(pardon si je rate des mots mais c'est tout ce dont je me rappelle)

Si vous pouvez m'éclairer svp je serai ravie.smiling smiley
c
28 mai 2007 21:35
Un pur bonheur d'ecouter leur chanson!
s
29 mai 2007 10:31
Citation
mirage_sombre a écrit:
je ne suis pas une fan dévouée à jil jilala, mais vraiment j'apprécis bcp les talents marocains, en fait ces groupes là naissent et luttent rien que par amour à ce qu'ils font. je regrette bcp qu'on ne reconnait ces talents que tard. oon ne rend hommage à nos artistes qu'aprés leur mort. mais heureusement qu'il y a toujours des fidels pour se souvenir.
cette discussion m'a incité à m'inscrire sur ce site et aussi parce que cela fait des jours que je mimais une chanson dont j'ignore l'interprète, est ce nas el ghiwan ou jil jilala. je crois que ces paroles sont les suivantes:
Yak eddel m7ak
Ya sidi 3afak
We kelmet 3afak
Mat7eyed me7na
(pardon si je rate des mots mais c'est tout ce dont je me rappelle)

Si vous pouvez m'éclairer svp je serai ravie.smiling smiley
Salam,
C'est : "laklam lemrassaa", chanté par jilala
m
29 mai 2007 21:05
merci infiniment pour votre interet.
Emission spécial MRE
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