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Jalousie et expériences
T
19 janvier 2023 02:03
La jalousie est une poison tant pour celui qui la ressent que pour celui qui la subit.

J'ai été jaloux, vraiment jaloux pendant quelques minutes de la vie quand j'étais jeune.
J'avais un ami qui grandissait dans une ambiance familiale favorisé et favorisante, du moins le croyais je à ce moment, et j'ai éprouvé de la jalousie à son égard.

Celà a durée plusieurs minutes, pendant lesquelles j'ai lutté pour ne pas sombrer dans la réalité de ce sentiment abject.

J' ai repris mes esprits après un combat mental dans lequel j'ai tout remis en perspective.
La jalousie était infondé car je savais que, si lui avait ça moi j'avais autre chose et que d'être jaloux c'est accepter de se rabaisser à la condition de l'autre. Ce qui dans la vie, il me semble est un principe inacceptable.
Notre vie vaut toujours mieux que n'importe laquelle autre, quoiqu'il advienne. Chacun vie sa vie, doit suivre son destin et doit penser que son destin est la seule voie qui lui est possible et valable.

Bref.

Je tiens à dire que c'est la seul fois de ma vie ou j'ai ressenti de la vrai jalousie, de la jalousie qui prenait mon espace mental, et même si cette expérience fut courte elle est aussi été traumatisante et intéressante pour la suite de mon développement.

Je tiens à dire que quelques années plus tard cet ami est venu me voir et m'a dit que le monde était vraiment injuste parce que une fille dont ont était tout les deux amoureux venait me voir et qu'il m'arrivait de parler avec elle alors qu'elle n'avait pas même un regard pour lui.

Je n'avais même pas réalisé quoi que ce soit. Pour moi elle ne venait pas me voir plus que ça, même si ça arrivait. Par contre je savais une chose c'est qu'elle avait une bonne opinion de moi (à défaut d'être amoureuse, ce dont de toute façon je n'ai jamais rien su car je n'ai jamais parlé avec elle).

Donc là j'ai compris que mon ami faisait de la jalousie à mon encontre.

Par la suite il s'est avéré que j'ai continué pas mal de chemin avec lui jusqu'à ce qu'il devienne distant en ne prenant jamais de nouvelles alors que je le faisait systématiquement et je l'ai donc "laissé tombé" comme il avait l'air de le souhaiter.

Entre les deux je me suis rendu compte qu'il était manipulateur et que je n'ai jamais pu lui faire confiance.

Bref.

J'ai l'impression d'avoir toute ma vie subit la jalousie.
Je hais la jalousie. Pour moi les personnes jalouses sont des larves qui finiront écrasées par le poids de leurs exaspérations sur leur propres personnes.

J'ai renoncé à beaucoup de chose dans ma vie pour ne pas susciter la jalousie.
Maintenant je considère que le calvaire touche à sa fin mais j'ai tout de même encore de mauvaises surprises.

Les jaloux sont incapables de dépasser l'unité qui leur est propre. Il se projette dans l'autre en tant qu'eux même au lieu de faire en sorte que l'autre veuille se projeter en eux même. Car ils sont trop peu pour eux et finisse trop peu pour les autres.
Ils se verrouillent. Ils sont perfides, lâches, apathiques, ils sont méprisables.
Ils sont aussi très influençables.
J'ai perçu comment l'argent et l'amour peuvent être deux ressorts de la jalousie.

Tiens, une autre histoire de jalousie.
L'amitié et la jalousie.
J'ai deux fois dans ma vie été ami avec deux amis en même temps.
Donc nous formions un groupe de trois.

La première fois au collège. Un de mes amis (A) essayait toujours de m'écarter d'un autre de mes amis (B ) en disant du mal de lui. Il (A) disait vrai cependant mais je 'accordais pas l'importance nécessaire à ses propos. Et puis B était un bouche trou, pour être honnête.
Donc pour aller jusqu'au bout de l'évincement mon ami A à créé un complot pendant lequel il a accusé "à tort" mon ami B d'avoir fait très mal physiquement à mon frère (victime collatérale).
Bref l'ami B c'est retrouvé exclus socialement jusqu'à la fin. (Ou on était presque rendu heureusement).
Je crois cependant rétrospectivement que j'avais donné mon accord à A pour évincer B car il était vraiment descendu en flêche dans mon estime (mythomanie avéré).

En y repensant le B qui était déjà fragile psychiquement il a dû finir en copeaux après ça...

Aujourd'hui je vois très rarement A et plus B depuis ce temps là...
T
19 janvier 2023 02:25
Une autre fois j'avais deux amis (C et D) au lycée.
Pareil un des deux dénigrait fortement l'autre.
Bon c'était un gars sympas (D) avec lequel je passais du temps et avec qui je rigolais bien aussi.
Un jour C à pété une durite et pendant qu'on était à l'internat j'étais sur son lit et il m'a mis une lame de cutter sous la gorge pour me dire qu'il fallait que je fasse un choix entre lui (C) ou mon ami (D).
Je l'ai regardé dans les yeux méchamment en lui disant de poser la lame. Même avec la lame sous la gorge je lui ai fait comprendre que c'est moi qui maîtrisait et que ça ne m'impressionait pas, même si il m'a bien surpris car je ne pensais pas que j'allais finir avec une lame de cutter sous la gorge à ce moment et sa part. Je le connaissais et je savais qu'il allait pas faire de connerie (et pas m'obliger non plus à le défenestrer du 4 ème sur le béton). Nan mais quelle violence...eye rolling smiley Dur dur les relations en promiscuité.
Il a posé la lame. On a discuté. Cet ami qui m'a mis une lame sous la gorge était vraiment un "bon" ami.
Le soir on a mangé ensemble avec C. J'ai dit à D que c'était pas possible de se joindre à nous comme d'habitude.
Le lendemain j'ai été voir D pour lui annoncer la couleur et je l'ai laissé tombé (encore une fois je ne peux pas vraiment regretté dans le sens que ce n'ai pas quelqu'un avec qui j'aurai continué mon amitié, il arrivait vraiement à ses limites, le pauvre sad smiley ).
Je suis encore ami avec C. Mais disons que j'ai une confiance plus relative en lui maintenant.
Et que bon faut admettre que c'est quand même quelque part "un gros taré". Oups
Mais dans la vie parfois on a besoin de gros tarés...

Après le reste la jalousie est plus diffuse.
Je parle de ça parce que c'est vieux maintenant.
Dans quelques années j'en aurais quelques autres à raconter je pense.

Sinon mes autres amis ne sont heureusement pas jaloux. C'est des personnes qui quand je leurs faites part de mes succès ou qu'ils constatent mes succès sont heureux.
Ils ne rechignent pas à m' aider et comprennent que leur intérêt est d'être "associé" au succès plutôt que de se renfermer sur eux comme des cloportes.

Enfin la jalousie est quand même un comportement d'immaturité flagrant.
Le manque de confiance en soi et dans les autres.
Je sais que l'idée de la jalousie est toujours là car elle fait sans doute parti du processus mental de projection dans l'idéal de réalisation de l'enfant mais la faiblesse est penser que c'est plus qu'une simple idée et de la transformer en réalité putride.

Voilà pour l'instant ce que j'avais à dire sur la jalousie.
Et franchement ça pique.
19 janvier 2023 06:23
Moi c’était en primaire une fille m’avais parler et m’a copine était jaloux et partie vers elle et lui a tirer les cheveux
Elle et rentrée chez elle et a mis les cheveux dans sont coffre fort.
Morale de l’histoire, faite attention au fille cela pourrai être potentiellement dangereux
Toute âme goûtera à la mort
E
19 janvier 2023 08:24
Les jaloux sont des admirateurs secrets qui ne comprennent pas pourquoi tant de gens nous aiment ?.
Citation
Taheke a écrit:
La jalousie est une poison tant pour celui qui la ressent que pour celui qui la subit.

J'ai été jaloux, vraiment jaloux pendant quelques minutes de la vie quand j'étais jeune.
J'avais un ami qui grandissait dans une ambiance familiale favorisé et favorisante, du moins le croyais je à ce moment, et j'ai éprouvé de la jalousie à son égard.

Celà a durée plusieurs minutes, pendant lesquelles j'ai lutté pour ne pas sombrer dans la réalité de ce sentiment abject.

J' ai repris mes esprits après un combat mental dans lequel j'ai tout remis en perspective.
La jalousie était infondé car je savais que, si lui avait ça moi j'avais autre chose et que d'être jaloux c'est accepter de se rabaisser à la condition de l'autre. Ce qui dans la vie, il me semble est un principe inacceptable.
Notre vie vaut toujours mieux que n'importe laquelle autre, quoiqu'il advienne. Chacun vie sa vie, doit suivre son destin et doit penser que son destin est la seule voie qui lui est possible et valable.

Bref.

Je tiens à dire que c'est la seul fois de ma vie ou j'ai ressenti de la vrai jalousie, de la jalousie qui prenait mon espace mental, et même si cette expérience fut courte elle est aussi été traumatisante et intéressante pour la suite de mon développement.

Je tiens à dire que quelques années plus tard cet ami est venu me voir et m'a dit que le monde était vraiment injuste parce que une fille dont ont était tout les deux amoureux venait me voir et qu'il m'arrivait de parler avec elle alors qu'elle n'avait pas même un regard pour lui.

Je n'avais même pas réalisé quoi que ce soit. Pour moi elle ne venait pas me voir plus que ça, même si ça arrivait. Par contre je savais une chose c'est qu'elle avait une bonne opinion de moi (à défaut d'être amoureuse, ce dont de toute façon je n'ai jamais rien su car je n'ai jamais parlé avec elle).

Donc là j'ai compris que mon ami faisait de la jalousie à mon encontre.

Par la suite il s'est avéré que j'ai continué pas mal de chemin avec lui jusqu'à ce qu'il devienne distant en ne prenant jamais de nouvelles alors que je le faisait systématiquement et je l'ai donc "laissé tombé" comme il avait l'air de le souhaiter.

Entre les deux je me suis rendu compte qu'il était manipulateur et que je n'ai jamais pu lui faire confiance.

Bref.

J'ai l'impression d'avoir toute ma vie subit la jalousie.
Je hais la jalousie. Pour moi les personnes jalouses sont des larves qui finiront écrasées par le poids de leurs exaspérations sur leur propres personnes.

J'ai renoncé à beaucoup de chose dans ma vie pour ne pas susciter la jalousie.
Maintenant je considère que le calvaire touche à sa fin mais j'ai tout de même encore de mauvaises surprises.

Les jaloux sont incapables de dépasser l'unité qui leur est propre. Il se projette dans l'autre en tant qu'eux même au lieu de faire en sorte que l'autre veuille se projeter en eux même. Car ils sont trop peu pour eux et finisse trop peu pour les autres.
Ils se verrouillent. Ils sont perfides, lâches, apathiques, ils sont méprisables.
Ils sont aussi très influençables.
J'ai perçu comment l'argent et l'amour peuvent être deux ressorts de la jalousie.

Tiens, une autre histoire de jalousie.
L'amitié et la jalousie.
J'ai deux fois dans ma vie été ami avec deux amis en même temps.
Donc nous formions un groupe de trois.

La première fois au collège. Un de mes amis (A) essayait toujours de m'écarter d'un autre de mes amis (B ) en disant du mal de lui. Il (A) disait vrai cependant mais je 'accordais pas l'importance nécessaire à ses propos. Et puis B était un bouche trou, pour être honnête.
Donc pour aller jusqu'au bout de l'évincement mon ami A à créé un complot pendant lequel il a accusé "à tort" mon ami B d'avoir fait très mal physiquement à mon frère (victime collatérale).
Bref l'ami B c'est retrouvé exclus socialement jusqu'à la fin. (Ou on était presque rendu heureusement).
Je crois cependant rétrospectivement que j'avais donné mon accord à A pour évincer B car il était vraiment descendu en flêche dans mon estime (mythomanie avéré).

En y repensant le B qui était déjà fragile psychiquement il a dû finir en copeaux après ça...

Aujourd'hui je vois très rarement A et plus B depuis ce temps là...
 
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