Pourquoi la ville et surtout les habitants d'Al Hoceima souffrent toujours malgré les dons de quelques millions d'euro envoyés à la ville en plus des dons en natures. Je vous invite par la même occasion de lire la première page du quotidien AS SABBAH [www.assabah.press.ma]
j'habite en belgique et je viens d'al hoceima, il a eu bcp de dons comme tu l'as dis mais ce qui faut savoir que les autorités ont vendus lors du tremblement de terre une tente à mes grands parents (très vieux) et je connais une autre famille qu'ils sont allés chercher aussi une aide urgence et comme il y avait une caméra ils leurs ont donnés mais dès que la télé est partie ils ont courrus pour récupérer les affaires . les autorités marocaines se sont bien fait du pognon au détriment de la population c'est triste mais voilà la preuve d'une dictature
j'habite en belgique et je viens d'al hoceima, il a eu bcp de dons comme tu l'as dis mais ce qui faut savoir que les autorités ont vendus lors du tremblement de terre une tente à mes grands parents (très vieux) et je connais une autre famille qu'ils sont allés chercher aussi une aide urgence et comme il y avait une caméra ils leurs ont donnés mais dès que la télé est partie ils ont courrus pour récupérer les affaires . les autorités marocaines se sont bien fait du pognon au détriment de la population c'est triste mais voilà la preuve d'une dictature
Arestations arbitraires de membres d'associations Manifestations violement reprimées à Tamasint Beni Bouayach et Imzouren Alhoceima est pratiquement en siège
Dans l'indifférence totale...ben faut dire que ni le roi ni les caméra de tf1 ne sont là alors on revient aux bonnes vieille pratique !!
Et puis surtout ne demander pas où est passé l'argent de l'aide national et international...
Les habitants de Tamassint (35 km d’Al Hoceima) ont subi la colère du Makhzen le jeudi 19 mai 2005. Des centaines de manifestants marchaient vers la capitale en protestation contre l’exclusion de 65 sinistrés des aides (modiques) octroyées. Au bout de 7 km, les gendarmes les interceptent, leur faisant savoir que la marche est interdite. Pas prêts d’abdiquer, les marcheurs font un sit-in sur la route, sans trop bloquer la circulation. S’ensuit une riposte musclée avec un cocktail de bastonnade, de bombes lacrymogènes et de tirs en l’air. Bilan de l’opération, des dizaines de blessés, dont deux seulement (militants de l’AMDH) ont osé se présenter à l’hôpital, et deux estafettes bondées de villageois arrêtés dans leur fief.