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fwine a écrit:
Le plus important dans la vie d'un musulman, c'est Dieu. Tout le reste est secondaire.
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fwine a écrit:
Y'a pas grand-chose à développer.
Si quelqu'un se définit comme musulman avant tout, alors celui-ci doit placer Dieu au centre de sa vie, puisque c'est ce qu'il semble être le plus important pour lui. Si sécher les cours permet à ce musulman de libérer du temps et de permettre la prière, je ne vois pas en quoi cela serait haram. L'islam ne place-t-il pas l'adoration d'Allah au-dessus de tout ? Le but d'un musulman est de mériter sa place dans l'au-délà.
Et puis il ou elle ne sèche que des cours. Les cours ça se rattrape. Et si ça ne se rattrape pas, tant pis, faut pas se prendre la tête pour ça.
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fwine a écrit:
Y'a pas grand-chose à développer.
Si quelqu'un se définit comme musulman avant tout, alors celui-ci doit placer Dieu au centre de sa vie, puisque c'est ce qu'il semble être le plus important pour lui. Si sécher les cours permet à ce musulman de libérer du temps et de permettre la prière, je ne vois pas en quoi cela serait haram. L'islam ne place-t-il pas l'adoration d'Allah au-dessus de tout ? Le but d'un musulman est de mériter sa place dans l'au-délà.
Et puis il ou elle ne sèche que des cours. Les cours ça se rattrape. Et si ça ne se rattrape pas, tant pis, faut pas se prendre la tête pour ça.
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faqir a écrit:Citation
fwine a écrit:
Y'a pas grand-chose à développer.
Si quelqu'un se définit comme musulman avant tout, alors celui-ci doit placer Dieu au centre de sa vie, puisque c'est ce qu'il semble être le plus important pour lui. Si sécher les cours permet à ce musulman de libérer du temps et de permettre la prière, je ne vois pas en quoi cela serait haram. L'islam ne place-t-il pas l'adoration d'Allah au-dessus de tout ? Le but d'un musulman est de mériter sa place dans l'au-délà.
Et puis il ou elle ne sèche que des cours. Les cours ça se rattrape. Et si ça ne se rattrape pas, tant pis, faut pas se prendre la tête pour ça.
Assalam alaikoum
L'adoration ne se limitant pas à la prière, au rituel, demander la science, travailler, peut être, avec la bonne intention, aussi une forme d'adoration, de prière. L'islam nous permet d'intégrer tous les aspects de la vie dans ce principe essentiel d'unicité.
Nous ne pouvons laisser nos responsabilités, et pour la prière, bien sûr elle a un temps donné, cependant, s'il n'y a pas possibilité de l'effectuer à son temps normal, il y a d'autres possibilités, par exemple faire la prière de 'asr avec celle de dhuhr, jam' taqdîm, ou le dhuhr avec le 'asr, jam' ta'khîr.
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faqir a écrit:
Assalam alaikoum
Je ne crois pas que le voyage soit le seul cas où il y aurait possibilité de regrouper les prières, par exemple dans les mosquées, au Maroc, on a recours à regrouper, quand il fait mauvais temps, le 'ishâ avec le maghrib. On peut dire que la règle générale c'est lever le haraj, la difficulté, et dans le sahîh de Muslim, il est rapporté d'Ibn 'Abbâs que le Prophète, sur lui le salut et la paix, a regroupé entre le dhouhr et le 'asr, le maghrib et le 'ishâ, sans qu'il y ait peur ou pluie, et quand on a demandé à Ibn 'Abbâs la raison de ceci de la part du Prophète, il a répondu : il a voulu ne pas mettre sa oumma dans le haraj (la difficulté).
Et puis, le contexte, dans lequel on se trouve, a son importance et joue son rôle, et il est à prendre en considération, et il ne faut pas voir à la charî'a comme des règles rigides, s'appliquant en dehors de tout contexte. Par exemple, être dans un contexte islamique ce n'est pas pareil qu'être dans un contexte non islamique, et rater les cours et les examens, ça peut être un choix individuel, mais non une solution.
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AlOustada a écrit:Citation
faqir a écrit:
Assalam alaikoum
Je ne crois pas que le voyage soit le seul cas où il y aurait possibilité de regrouper les prières, par exemple dans les mosquées, au Maroc, on a recours à regrouper, quand il fait mauvais temps, le 'ishâ avec le maghrib. On peut dire que la règle générale c'est lever le haraj, la difficulté, et dans le sahîh de Muslim, il est rapporté d'Ibn 'Abbâs que le Prophète, sur lui le salut et la paix, a regroupé entre le dhouhr et le 'asr, le maghrib et le 'ishâ, sans qu'il y ait peur ou pluie, et quand on a demandé à Ibn 'Abbâs la raison de ceci de la part du Prophète, il a répondu : il a voulu ne pas mettre sa oumma dans le haraj (la difficulté).
Et puis, le contexte, dans lequel on se trouve, a son importance et joue son rôle, et il est à prendre en considération, et il ne faut pas voir à la charî'a comme des règles rigides, s'appliquant en dehors de tout contexte. Par exemple, être dans un contexte islamique ce n'est pas pareil qu'être dans un contexte non islamique, et rater les cours et les examens, ça peut être un choix individuel, mais non une solution.
Aleykoum salam,
D'accord, mais est-ce que dans le cas des cours (je dis bien cours, pas forcément obligatoires et non
examens évidemment) ou d'autre type d'occupations plutôt importantes, ces regroupements de prière
sont autorisés ? Car je trouve ça trop simple quand même. Il y en a même qui ont dit que c'était
possible de prier avant l'heure...