Je pense que tu vas aimer ce passage du morceau « écrire » de Nekfeu :
« Écrire, c'est capturer quelques souvenirs uniques dans des pochettes immenses C'est coller ses tympans sur l'enceinte afin d'approcher l'silence C'est l'insolence du cerveau d'celui qui à l'apogée s'élance C'est voir défiler sa vie dans l'noir jusqu'à la prochaine séance »
Modifié 1 fois. Dernière modification le 03/06/20 17:34 par ineslilas.
Oh toi qui fait la liaison entre le ciel et la terre.
Quand tout va mal et que tu lève les mains en l'air.
L'éprouver.
Tant d'épreuves, toujours agité comme le torrent dans un fleuve.
Tu te bats sans relâche à contre-courant, se dessine dans tes yeux le regard du bâtan.
L'on dit toujours, la chance du débutant, l'épreuve du conquérant, la victoire du gagnant.
Mais c est un long tunnel, mais c'est souvent dans l'obscurité que j'aille l'étincelle.
Dans les profondeurs là où jaillissent tes plus grandes peurs.
Épris de torpeur, il arrive que parfois tu pleures.
Mais tu te remémore le créateur.
Dans sa grandeur c'est lui ton secoureur.
Dans la patience la persévérance l'endurance.
Chez l'éprouver, il est un mot qui n'existe pas et c'est le mot chance.
Il court il trébuche, il tombe, mais toujours se relève.
Qui apprend sans cesse comme un élève.
Son cas d'école, c'est la vie.
Son créateur, sa boussole.
Il ne désespère jamais.
Quand bien même il est seul.
De toute manière c'est bien comme ça que l'on sera dans son linceuil.
En vérité c'est dieu le pourvoyeur.
Place ta confiance en lui, sois digne est à la hauteur.
Ce n'est facile pour personne mais sache que le bon dieu t'affectionne.
Patience patience telle est notre fer de lance.
Endurance endurance telle est notre confiance.
Persévérance persévérance telle est notre croyance.
Et lorsque tu vrille, sache qu'il a créé pour toi des amis.
Une famille sur qui tu peux compter.
Et s'il n'en n'est rien n'oublie pas lui seul est digne d'être adoré.
Si tu penses qu'il va t'oublier.
Tu te fait erreur, lorsque le bonheur nous touche c'est nous qui l'oublions, lorsque le malheur nous touche on se sent oublié.
Et là seulement nous nous rappelons.
De tous ses bienfaits de sa douceur de son amour qui nous inonde chaque jour.
Ne t'oublie pas toi-même.
N'oublie jamais que quoi que tu fasses il t'aime.
N'oublie jamais le pilier.
Ce pouvoir qu'il t'a donné.
Et lorsqu'il dit demandé moi demandez-moi et je vous exaucerai.
Ravale ta fierté, accepte ce que tu es.
Repens-toi change, tu n'as pas fini d'évoluer.
Il est vrai que tu n'as pas fini de souffrir mais tu n'as pas fini de grandir il arrivera par moment que te viennes le sourire.
Mais tu sais ce que l'on dit la souffrance ne dure jamais longtemps elle n'est pas éternelle, Viendra un temps où elle plongera dans un profond sommeil.
Et tu pourras savourer des jours heureux apaiser car c'est ce que l'on convoite le plus le domaine de la sérénité.
( comme j'ai vu que il y avait marqué poème je me suis dit autant balancer un de mes anciens poèmes faites abstraction a l'hortographe )
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