Moi je connais un fikr, et d'ailleurs je n'en connais qu'un seul mais ce n'est pas une personne ce sont trois mots ... C'est Duhl jelal valikram, ce qui veut dire - Seigneur de splendeur et de majesté ... Chez les soufis on le prononce à la fin du wasifa prononcé 101 fois ...
le Prophète a dit : " L'image du Croyant qui lit le Coran est celle du cédrat : son odeur est suave et sa saveur est suave. Le Croyant qui ne récite pas le Coran est comparable à une datte : son goût est délicieux mais elle n'a aucune odeur Parmi les moyens pour la nouchra : "Invoquez Allâh en étant sûr de l'exaucement" dans le Cham (Palestine, Jordanie, Liban, Syrie) pour les gens ensorceler; ils prennent du cédrat et ils lisent le Coran dessus puis le donne au malade
fait du Dhikr, invocation, lie le Coran,
«Des compagnons du Prophète ( ) rendirent visite à l’une des tribus arabies, sans recevoir cependant d’elle aucune forme d’hospitalité.
Le plus âgé de la tribu fut peu après victime d’une piqure venimeuse de serpent ou de scorpion que les membres de la tribu ne réussirent à soigner.
Ils se rendirent de ce fait chez les Compagnons leur demandant avec insistance de soulager le vieillard.
Les Compagnons dirent : «Vous ne nous avez pas offert hospitalité, aussi ne guérissons nous point sans gages».
On leur présenta alors sur le champ un troupeau de moutons.
L’un des Compagnons se leva ensuite il lut la Sourate Al-Fâtihah au vieillard, lequel parvint à se redresser peu à peu comme s’il faisait des efforts pour se défaire de liens entravant ses mouvements.
Les Compagnons repartirent avec le troupeau mais refusèrent d’en disposer avant d’en demander la permission expresse du Prophète ( ) .
Ils se présentèrent à lui et lui contèrent l’aventure qu’ils venaient de vivre.
Le Prophète ( ) leur dit alors :
«Comment saviez-vous qu’elle (Al-Fâtihah) soulage les maux ?»
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