"Rien n'existait pour moi que dans la mesure où cela se rapportait à toi; rien dans mon existence n'avait de sens si cela n'avait pas de lien avec toi."
"Mon monde n'avait de réalité que parce que tu existais. Et ma propre existence ne valait la peine d'être vécue que parce qu'elle élevait mon esprit à toi."
"Je parlais très peu, parce que c'était pour moi un infini bonheur de t'avoir près de moi et de t'entendre me parler."
"Je veux te révéler toute ma vie, cette vie qui véritablement n'a commencé que du jour ou je t'ai connu. Auparavant, elle n'était que trouble et confusion, et mon souvenir ne s'y replongeait jamais; une sorte de cave ou la poussière et les toiles d'araignée recouvrent des objets et des êtres aux vagues contours et dont le coeur ne sait plus rien."
Lettre d'une inconnue - Stefan Zweig
Modifié 1 fois. Dernière modification le 22/02/19 02:17 par ♕Bee.
On peut alors dire qu'on ne perd jamais. C'est assez satisfaisant de se dire que quoiqu'il arrive on en ressort vainqueur. Le seul frein à la victoire est donc la mort, quoique la mort cache une victoire derrière son mur de pierre... Dieu est grand
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