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Le chevalier des temps modernes.
ok
30 avril 2009 11:27
Avertissement:

Cette histoire est ordurière et totalement dégoutante. Je conseil donc aux lecteurs les plus jeunes de s'abstenir de la lire, et aux ames sensibles de partir.
ok
30 avril 2009 11:28
Sans épée, ni oriflamme, si ce n'est les marque sur ses vêtements, notre amis le chevalier doit chercher une quête.

Pourquoi est-il chevalier? Il n'a point été adoubé. Il n'a pas d'armure, ni d'arme pour se protéger. Il n'a pas choisi d'être là. Il se demande si il faut faire quelque chose. Doit il sauver la princesse? Chasser les infidèles? Mais la fidélité n'est elle pas relative à celui à qui elle est du? Je suis fidèle à ma b... , se dit-il. C'est bon j'ai une réponse. Ce bout de carton sera mon bouclier et cette pierre sera mon arme! Qui est mon énnemi ? Je n'ai pas d'énnemi, il fallait que j'y pense. Putain si je n'ai pas d'énnemi, je n'ai pas de raison d'exister. Ce n'est pas possible, je m'en fou, je prend une pierre, je la jette aussi loin que je peux! Sur la police, sur ce type qui me fait ch.ier! Sur ta mere co.n.nard. Je vais tous vous bouffer. Je vais marcher dans cette rue. Comment s'appelle t-elle? Rue Albert Marcellin? Il n'y a personne ici. Je vais aller plus loin. Rue Monnet. Personne non plus. Rue Vauban. Personne. C'est quoi cette saleté de ville?!! Mais voila un chien, un sale clebs qui pisse et qui chie partout, c'est un énemie de la chevalerie! C'est ça il faut le buter.
« -Grrr!! viens ici. Va y mange cette pierre.
-Je l'ai rater, il part en courant, je vais le rattraper. »
Son maître qui n'était pas loin s'approche pour interpeller l'individu.
-Tu est fou ou quoi? Qu'est-ce qu'il ta fais mon chien?
- et bien, c'est un chien qui chie partout, il fallait lui rendre service en l'empéchant de polluer.
-C'est ça, et bien tu vas dégager et plus vite que ça sinon c'est moi qui vais te chier dessus. »
Vous êtes donc un énemie de la chevalerie? Je vais vous embrocher avec....
Mais le chevalier s'est vite retrouver par terre. Sans arme, ni armure ses chances étaient minimes quoiqu'il soit vaillant.
-Estime toi heureux que je ne t'ai pas envoyer à l'hosto petit c.o.n.nard.
-Mécréant! Lui répondit t-il, mais déjà deux dent couler de ses joues.
Alors que l'autre type s'en aller, telle une p.u.te aux aboies (se disait le preu chevalier), notre ami reprenait ses esprits.
Il errait dans les rues d'une grande ville. Une ville qu'il ne connaissait pas. Il y avait des gens qui roulaient dans des boites roulantes qui s'appellait voiture, ou bien scouter. Il avait demandé le nom de ces engins du diable à un passant. En marchant, il s'interrogeait sur le sens de tout ce qu'il voyait. Des affiches lui indiquées de se faire plaisir rapidement. « Le plaisir immédiat », « lingerie 3 suisse », « banque générale »! Servez vous. Il n'y a qu'a se servir, c'est bon je vais pas me priver. J'entre dans l'antre d'une porte de l'enfer, preuve en est qu'elle s'ouvre toute seule. Et je me sers tant que je peux. Ce truc en plastique, et hop dans mes poches. Du pain, j'en mange autant que je peux. Je fais bombance, des orange, du fromage chaussé aux moines! Un truc de mes frères réguliers qui est parvenu dans cette époque obscure.
C'est bon. Je prends tout ce qui me passe sous la main. Et hope la sortie!
« - Et vous là bas! Ce sont des hommes en noir, les suppos de satan.
- Halte là. Arretez vous.
- Pourquoi qu'ai je fais?
- Il faut payer
- Ah bon, c'est écrit servez vous dehors. C'est écrit, le plaisir immédiat, faites vous plaisir.
- Très drole. Soit vous payez, soit vous reposez tout ce que vous avez trouvé.
- Jamais, je suis venu pour faire bombance, et je passerai, je le jure sur ma dulciné. »
Il sorti un grand couteau, qu'il avait prit dans un rayon et se mit à dire fier de lui.
- En garde manant!
Enfin, ça va saigner, le preu chevalier va faire ses preuves se dit-il.
Le gardien se mit alors à parler dans une petite boite (maléfique)
- J'ai besoin de renfort, vite, c'est un tar...
Il n'eut pas le temps de terminer sa phrase, qu'un long couteau lui traversait la paroie de sa poitrine.



Modifié 2 fois. Dernière modification le 30/04/09 11:31 par ok.
ok
30 avril 2009 11:34
Un rale est il tombe.
Le monde autour de lui est terrifié, et s'écarte sur son passage. Arrivé à la sortie, cinq gardiens lui sautent dessus. Mais rusé comme un renard et habile comme le guépard, faisant tournoyer le couteau d'une main, il coupa les phalanges du premier. On l'attrapait par le coup et par les jambe. Puis vint le tour des mains. Notre homme n'était plus qu'un vers se tortillant entre les bras de ces quatres personne. Tandis que la cinquième recroquevillée pissait le sang.

- Mécréant, mécréant! Je vous aurai tous. Criait-il d'un ton méprisant. »
Par chance ses dent atteint son bras droit qui était tenu solidement. Il mordit alors de toute ses forces. Assez fort pour que celui qui le tenait le laissa , juste assez pour qu'il puisse rattrapper le couteau ensanglanté que personne n'avait osé toucher (quelle bétise). Vif comme l'éclair, il l'empoigna, et trancha le bras de celui qui lui tenait le bras gauche. Tête à terre, ses jambes étaient toujours aux mains de ces chiens de garde. Cependant la peur les faisaient reculer, juste assez pour qu'il puisse se retourner et partir en courant. Mais déjà la police était là dehors. Par quelle magie? La magie noir, c'est sûr.
-Un pas de plus et on tire. Somma t-on
Mais notre amis fut le plus rapide. Il courut tant qu'il pu. Bien heureusement, ces quelques hommes était en petit nombre et n'avait pas eu le temps d'appeller du renfort. Mais où aller? Je vais me cacher sous ce pont, personne ne me verra.
- Ce monde est bizzare, pensa t-il. Ou est le plaisir immédiat? Que sont tout ces gens qui viennent en boite roulante. C'est un monde de sorciers ou je rêve? Que font ils? Que fais je?
A peine était il sorti de ses pensés qu'on lui passé les menottes. Tabassé au poste de police, et vite jugé, on l'expedia en prison. Là il apprit la réalité des faits. Il n'était pas plus chevalier que les autres. Son but était de survivre. Tous avaient leur dulcinés qui espéraient être chéries et protégées. Durant de longues années il réussi d'ailleurs à en satisfaire un bon nombre d'entre elles. Il avait apprit aussi que toute chose avait un prix. C'est donc ça le monde. Passer son temps à payer pour satisfaire quelques dulcinés?
Sorti de ce trou trente années plus tard, il savait ce que le chevalier devait faire maintenant.


« -Je me b.r.a.n.le, je me b.r.a.n.le, objectif atteint, ma dulciné. Je suis un chevalier ». Se tordant de plaisir, il en éprouvait une joie manifeste. Tout le faisait bander. Le frigo, la serpillère, la table. Ainsi et surtout les objets de grande consomation comme la T.V et la voiture, la chaine IFI, le frigo, les conserves, l'arabica, le freedent.
Mais ce qu'il aimait par dessus tout c'était la dakatine. Ça lui procurait un tel plaisir.
Dakatine, fameux gouter!
Dakatine suce moi la pine!
Ta la bouche grande ouverte, pt'i con.
Il s'essuyait alors avec quelques torche bites durement gagné.
Ho oui, que c'est bon!
C'était la grande vie.
Mais notre ami le chevalier était dans la rue, il dormait sous une couverture qui ne le protégeait nullement du froid et de la pluie. Il mendiait sa maigre pitance. Sa survie ne tenait qu'à un maigre fil. Il passait sa journée à débiter des conneries, il délirait. Le monde passant devant lui, sa tête tournait et disparaissait dans les brumes de l'indifférence.
C'est là qu'il eut la révélation! Les gens passaient, il voyait leurs sueurs, leur morves sortir des bouches. La merde qui sortait de tout ces culs puant cacher sous ces jeans Levis, jupes, ces caches misères. Les voix dans tout les sens l'envahissait. Sans aucun sens... Pour lui. Tout ce gros tas se réuni pour former une masse innommable.
Qui t'est saleté?
Je suis l'ange Gabriel. Je suis là pour te guider.
Il se dit, le voilà, mon libérateur, c'est de la merde. Je suis pas Jeanne D'Arc pourtant..
ok
30 avril 2009 11:35
- Je suis l'incarnation de la bétise humaine, dis l'individu. Ta branlette ma fait apparaître. Car l'homme est naît d'une goutte de sperme. Eau vil et souillée par la bétise du pêché originelle.
- Excuse moi de ne pas te sérrer la main, mais j'ai peur de me salir!
Je suis venu t'aider dans ta quête, chevalier. Je t'adoube, et désormais tu auras une quête!
Le chevalier releva la tête, il n'en croyait pas ses oreilles. Il reprenait espoir.
- Ta destiné sera la folie. Tu seras le protecteur des fous. Ces âmes perdus dans les méandre de l'inconscience et de l'innocence. Tu les aideras à retrouver le chemin de sérénité. Toi seule verras clair dans les esprits, et pourra communiquer avec eux.
Mais le chevalier ne l'entendais pas de cette oreille. Il saisi son poing pour l'enfoncer dans cette masse informe qui prétendait être un archange. En l'atteignant son poing s'enfonca si profondement, qu'il fut absorbé.
Il retint sa respiration, il flottait dans une sorte de liquide amiotique.
- Voilà le foyer originel. Ou tout âme est crée en trois mois seulement. La vie est clairement rédigée sur un livre vierge qui représente ton avenir. Nous sommes les scribes. Mais le grand dessein vient d'en haut.
Ta vie devait s'arréter ici! Mais Dieu fut ému par ta branlette (whoula!). Toute l'émotion du monde était contenu, (soupir) dans celle-ci. Il a décidé de te laisser une chance de te racheter, pour échapper à une damnation certaine.
- Juste une question? Je peux me branler dans l'autre monde?
- Non.
- (Pensif, il acquiesse) Alors c'est d'accord, je vais accomplir ma mission.
- Si tu réussis ton coup, tu renaîtra sur une planéte prés de la constellation d'alpha du centaure avec un millier de bites, et plein de pute pour te servir.
- Si tu échous, ce sera toi la pute, et ton ventre explosera (ou sera exploser selon les version) toute les heures. Et passera tes nuits dans une cocotte minute en ébulition.

Le chevalier était consterné. C'était indescent, scandaleux de lui faire une telle proposition. Pour qui se prenait t-il pour faire une telle. Il allait porter plainte au syndicat des qu'il reprendrait ses esprits.

- Je me fou d'être un petit croupion dans les mains de Dieu. Je vais te trainer en justice! J'aurai ta peau, tu m'entends? J'ai rien fais pour être traité comme ça. J'ai même pas demandé à exister.
Mais l'archange ne semblait pas l'écouter. Il reprit fermement.
- Mais ton périple sera semé d'embuches. Ton âme sera mit à rude épreuve, qu'elle devra supporter. Le diable lui même te tentera. Mais tu devras resister. Quand tu auras parcouru tout ce chemin, ton coeur et ton esprit en sortiront purifiés. Tes pêchés seront éffacés...

Mais l'autre ne se sentait pas en forme, il tentait vainement de se toucher (ça marche pas, je peux même pas me gratter mon cul).
- Non, je refuse. Nooon!!!
ok
30 avril 2009 11:40
Ainsi le chevalier partait malgré lui dans sa quête, ou plutot sa quéquette, à la recherche de ces ames perdus.

L'idée serait de vous faire écrire une suite. Chacun d'entre vous imaginerait un chapitre, comprenant un scénario différent. Chaque fou que notre ami le chevalier se doit de libérer.
Pour chaque chapitre n'oubliez pas le titre.
Si ça vous intéresse pas, j'écrirai moi même la suite. Mais je vous préviens, ça se terminera dans une marre de sperme, et tout le monde se fera n.i.q.u.e.r
ok
4 mai 2009 13:09
- Chapitre 1- Allo maman Bobo.

C'est alors qu'il se réveilla. Il était à l'hopital, un fantastique hopital, quelque part dans ce monde. Très certainement en France, car les gens parlaient français...
-Vous êtes reveillé, monsieur. Nous vous avons retrouvé à demi inconscient, surmontant... Comment dire, un chien.
- Ouai, c'est frolic, frolic, mon pote. Vous savez, le chien c'est le meilleur ami de l'homme. Plus jeune, j'ai d'ailleurs reçus une leçon à ce propos. J'ai juste voulu prolonger l'intimité un peu plus loin.
- Vous avez bien compris la leçon à ce que je vois (rire jaune). Nous avons inspecté vos organes génitaux, aucune trace d'une quelconque M.S.T, ni de bactéries nocives, par contre nous y avons trouvé de fortes traces d'aluminium, de plastiques en tout genre, notamment du P.V.C, ainsi que de la peinture industrielle. A forte dose, le contacte avec ces matière peut s'avérer nocif. Faite attention. D'ailleurs à ce propos, je voudrais vous poser quelques questions à propos de votre sphincter anal. Avez vous déjà était victime de viol?
- Bon, qu'est-ce que c'est que ces c.o.n.neries? Je suis libre de faire ce que je veux de ma vie. Foutez moi la paix. Je veux partir.
- Mais, n..
- Je me tire d'ici, tout de suite. Cria t-il
Mais le médecin ne l'entendait pas de cette oreille. Il appuya sur un gros bouton rouge. En le voyant faire, notre héro se disait qu'il n'avait jamais essayé avec un truc pareil. Comment faire? Il était trop petit pour...
4 mai 2009 19:02
eye popping smileyeye popping smileyeye popping smileyeye popping smiley wach 3okoba hadi angry smiley
ok
15 mai 2009 17:27
Attends un peu, je prépare la suite. evil
ok
20 mai 2009 14:19
Une petite piquuuure, et c'est le rêve étoilé. Que dis je étoilé, c'est un sommeil artificiel est sans rêve. Ça ressemble au coma, un puit sans fond et sans contenance, ou le temps et l'espace n'existe plus. Deux secondes séparent le coucher du réveil en temps onirique. Quatre heures en temps réel. Réveil quelque peu dégueux, car la vessie n'avait pas tenu.
- Hé m.e.r.d.e, se dit-il à voix haute.
Une autre mauvaise surprise l'attendait, il avait les bras et les jambes attachés. Autour de il voit son lit d'hopital et celui de son voisin, et il sent cette odeur d'antiseptique propre aux établissements hospitaliers. Il ne pouvait pas respirer cette odeur, car ses poumons étaient foutus. En prison, il avait travaillé dans la peinture en bâtiment, ça l'occupait, ça l'empéchait de devenir fou. Toute cette odeur lui rentrait dans les narines jusqu'au cerveau. Maintenant il ne pouvait plus la supporter. Il décida donc de respirer par la bouche en attendant qu'il s'habitue à ce truc. Il attend, ainsi quelques minutes, avant qu'il ne s'aperçoive qu'il a un voisin.
- Je suis pas seul? Il faut que je me tire. Pense t-il. J'ai de la chance, le type à coté de moi n'est pas attaché.
- Hé toi.
(silence)
- Hé!
(silence)
- Réponds moi.
Le type regardait la télé. Il était assez grand, de type européen, il avait à peu prés la quarantaine, une bonne calvicie bien avancé, un gros, des sourciles épais et blond. La peau de son visage révélait les stigmates d'une vie bien remplie. Mais son air était tout à fait... Comment dire? Niais, voir enfantin.
- P.ut.ain, un taret. C'est un tarlouze.
C'est que le type alors se tourna vers notre ami (qui n'a toujours pas de nom au passage).
« HééééHooo. Ding, dong! Ici la lune »
- Ouai, la lune, viens me dégager s'il te plait.
«  T'est qui toi? »
- Le père noël, viens plutôt me sortir de là couillon.
«  C'est pas vrai, le père noël, il est rouge, et il a une barbe, et.. »
- Je m'en fou. Détache moi
«  Non, monsieur me dire de ne pas parler à toi. Car toi méchant, toi méchant, toi dire mauvais mots! »
Ne pouvant se contenir, l'autre pousse une grognement et se débat. En vain. Il réfléchi, et dit.
- ça va excuse moi. Je te connais pas, je me suis énervé. On fait les présentation? Moi c'est Bob Mylan. Chevalier de la b.i.t.e ronde. Je sers le roi arthur. Je sais pas qui c'est, mais je m'en fou. Tout ce que je sais, c'est que chevalier c'est mieux que d'aller bosser de vivre une vie minable de fonctionnaire ou de travailler à l'usine dans une boite privé. Faire des trucs chiants et inutiles, c'est pas mon truc.
«  Mylan? moi prendre médicament mylan aussi »
- Ouai, même mon nom c'est un générique. Qui t'est toi?
«  Moi? Didier. Je sais compter jusqu'à 10, avec mes doigts. Regarde: un, deux, trois... »
Précision bien superflu qui aurait achevée de l'énerver, s'il n'avait pas d'autres occupations plus pressantes.
- Que t'est t-il arrivé?
« Moi attendre madame Chantal pour manger, puis elle me laver. Et moi prendre bonbon et dormir. »
Quand on parle du loup, il arrive. Le loup ici, c'est l'infirmière.
- C'est l'heure de ton déjeuner, mon petit didiouu. De la purée et des petits pois.
Didier se met à applaudir, il a l'air bien content.
« Ouai, super! De la purée.. De la purée! »
A ce moment, elle s'aperçoit que l'autre patient s'est réveillé. Son regard s'assombrit quelque peu. Elle prend un bon coup de respiration , par timidité? Non, elle préparait son coup.
- Tien, voici notre fameux zoophile qui vient de se réveillé. Je vais devoir avertir le docteur Smet de votre retour parmis nous.
Mais Bob ne faisait pas attention à ces paroles. La seule chose qui l'intéressait, c'était de se détacher et de foutre le camp.
-Je ne souhaite pas rester ici, je veux m'en aller.
« C'est impossible pour l'instant. Votre cas relève de la psychiatrie, j'en ai bien peur (soupir étouffé). Mr Smet va statuer sur votre cas, vous serait vite fixé. En attendant son retour je vais chercher votre repas. Après avoir fait manger Didier...Monsieur? »
- Bob.
«  Monsieur Bob »
Après avoir fait manger son patient, comme une mère nourrirait un enfant de quelques mois à peine. Une bouché pour maman, une bouché pour papa, s'il vous plait... Tout cela était ridicule vu l'age avancé du type. Son air débile constrasté avec un physique d'adulte. Un regard juvénile, mais des poignets de fer, et plus que des poils au menton.
- Miam! Miam! Et le dessert.
«  Un yaourt et une pomme »
- Au non. Je veux du fromage!
«  Non, non! Pas de fromage aujourd'hui. »
- Non, non. Jamais!
«  C'est ça ou rien! »
- Non, non, non.
ok
20 mai 2009 14:23
Elle décide donc de s'en aller. Des son départ, des mugissements, puis des rugissements éclate dans la salle, avertissant, très certainement tout l'hopital qu'un taureaux venait d'être égorgé vif. Ce qui provoque le retour précipité de l'infirmière, qui vient jusque dans ses bras, pour lui foutre une super tarte, de la main droite.
- ça suffit maintenant, sinon la piqure.
« Non pas la piqure, chantal... »
Elle repart aussi précipitament qu'elle est venu, telle une guenon en rute (se disait Bob). Elle poussait de petits gloussements, qui montraient son désarrois:
- Glou, glou, glou, glou.
Mi guenon, mi pintade en conclu Bob. « Fameux gouter » ne m'aurait jamais fait un truc pareil, pensait-il avec raison. J'ai bien fait de m'en tenir aux fondamentaux...
En réalité la raison n'était pas son fort, mais il savait qu'il avait une mission autre que sa dulciné. Le débile commençait à le regarder avec des yeux tout rond, en larmes.
-Pas la piqure, non, pas la piqure! Didi sera sage, Didi sera sage.
Le voilà qui se tape la tête contre le mur.
-Pas la piqure susura t'il. Juste un peu de fromage.
C'est alors qu'il se s'avança vers Bob, ses yeux étaient moins enfantins, il faisaient penser aux yeux d'un adolescent.
-Toi m'aider! S'il te plait
«  Ok, détache moi, et t'aura du fromage... »
Didier hésite quelques secondes et fini par le détacher.. Victoire il était à nouveau libre. Mais le regard de son amis le laissé en émois. Un peu comme une gonzesse (pensait il). Il fallait le sortir de là. Un fromage ne suffirait pas. Il fallait lui faire prendre conscience de lui même. Il fallait l'émanciper. Mais comment? Sa dulciné, commençait à le démanger. C'est toujours comme ça quand il avait un problème. Mais ce coup ci, il la fit taire.
- Ta gueule, c'est pas le moment.
Didier avait l'air étonné.
« Quoi gueule? »
- T'occupe.
Il se souvint que l'autre gars lui avait filé des pouvoirs.. Sans mode d'emploi! Il réfléchi un moment, observant son patient quelques temps. Ses yeux, on dit que c'est le miroire de l'âme, peut être je devrai.
A peine avait il commençait à se concentrer sur son regard, que la voix de Freedy Mercuri se mit à Jaillir en tenu de danseur étoile. Mamamia, mamamia!
- Hé mais c'est Guine. C'est marrant. (songea t-il, car il ne pouvait plus penser. Il était coupé de la réalité, bien qu'il ne s'en aperçut pas sur le moment.
Voici Freedy en collant e
ntrain de faire des pirouette. Puis ouvrir une grande porte, vers une lumière:
- BISMILAH!
- BISMILAH!
« Ho! Ho! Hoooooooo! »
Est-ce la voix des séraphins?
Alélouia! Mamamia, mamamia....
Il pénétrait dans un royaume inconnu jusqu'alors, celui de l'esprit. Et plus particulièrement, celui d'un débile mental? Et bien, une grande prairie verdoyante à perte de vue. Les fleurs ressemblent à des bombecs en cartons pates. C'est jolie comme endroit! Bob, était surpris. Il se demandait si son patient était si déséquilibré que ça.
A tien, une soucoupe volante au milieu de la verdure. Etrange!? Explorons les lieux, se dit-il. Mais une voix retenti dans tout le coin. Qui c'était? d'ou venait-elle? Elle résonnait tel un tonnerre. Il se tourne donc vers le ciel. Et que vit il?. Un bébé qui se marre. J'vous jure! Le côté obscure de la force? Mais non, c'est le soleil. C'est incroyable, il se trouvait sur une planéte qui avait un soleil qui porte des pampers (si un soleil avait un cul ce serait bien possible)! Il riait, il avait l'air content.
- Hagagahh. Ha! Ha! Ha!
Bob se demandé s'il s'agissait d'une entité vivante et intelligente. P.u.t.a.i.n, il faut essayer de communiquer avec cette chose, elle m'en dira certainement plus.
- Hé, Ho! Moi! Parler toi!
«  Hagueu? »
- Qu'est-ce qui se passe ici?
S'en était trop pour lui. Le soleil! C'était la première fois depuis quatre milliards d'années d'existance qu'on s'adréssait à lui. D'habitude, il se contentait de dire Haggah ou Hageuu! Et l'affaire était dans le sac. Mais là, il était foutu. Dans ses yeux déments on voyait le désir de suicide.
Du genre, j'ai passé toute ma vie à faire le débile, j'en ai marre.
- Mheua! Ha! Ha! Ha!
«  ça veux dire quoi ce truc? Tu veux un tirebaba, j'en ai des tas ou machin du genre? Ta envie de pissé, mais il fait trop chaud? Tu veux un Snickers?
- Ouiinnn! Ouinnn!
«  Mais oui, je vois d'ici, ce sont tes narines, ta envie de te gratter le nez. C'est ça?
- Yepo!
« Désolé, je peux rien faire pour toi, il te faudrait un micado de la taille de saturne pour ça! »
- Aaaaa!
«  Ne fait pas ça!
- Tchaaaa.
Une sacré crotte mélée à de la morve en fusion se détacha de son nez. C'était l'apocalypse.
Mais D'un coup le temps se figea, et une nouvelle voix retenti

«Ho, mais qu'est que tu veux »
C'était une autre voix, plus grave. Qui venait de nulle part et de partout à la fois.
- Tu va mettre l'émission en l'air si ça continu.
«  Où suisje? »
- Chez les TELETUBBIES!!!!
ok
20 mai 2009 14:29
A ces mots, une musique gnangan se mit en route. Quatre espèces de gros moutons albinos croisés avec des sortes d'ours sans poil se mirent à gueuler:
- Tinki winki!
" Dispsy"
"La, la!"
"Po"!
C'était une vision d'horreur. C'était les tortues ninja que les plus de cinq ans ne peuvent pas connaître.
 
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