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chanson d amour
I
23 juin 2005 13:59
r
25 juin 2005 10:08
Chanson d'amour


Parle moi de ton coeur
Et de tous tes malheurs.
Confies moi tes secrets
Et je les écouterais...
N'aies pas peur de parler,
C'est bon parfois de se vider...
Je veux tout partager,
Etre en toute complicité...

Mon être s'est envolé
Dès que tu m'as embrassé
Mon coeur a palpité
Et mon corps frissonné...

As-tu ressenti cela ?
Je t'en prie, dis le moi,
J'ai envie de savoir,
Ne plus être dans le noir...

Dis moi tes sentiments
Et ce que tu ressens...
Ce n'est pas compliqué,
Laisse toi simplement aller...
Je serais comblée de bonheur
Si tu osais ouvrir ton coeur...
Moi, je t'aime très fort
Oh oui, de tout mon corps...

Tu m'as fait craquer,
Grâce à toi, j'ai recommencé...
Doucement à aimer...
Fortement à aimer...

Je tiens très fort à toi
J'ai peur que tu t'éloignes de moi
Je t'en prie, aime-moi...
Et je ferai tout pour toi.

inconnue_...

winking smiley
m
25 juin 2005 10:12
A m'asseoir sur un banc cinq minutes avec toi
Et regarder les gens tant qu'y en a
Te parler du bon temps qu'est mort ou qui r'viendra
En serrant dans ma main tes p'tits doigts
Pis donner à bouffer à des pigeons idiots
Leur filer des coups d' pieds pour de faux
Et entendre ton rire qui lézarde les murs
Qui sait surtout guérir mes blessures
Te raconter un peu comment j'étais mino
Les bonbecs fabuleux qu'on piquait chez l' marchand
Car-en-sac et Minto, caramel à un franc
Et les mistrals gagnants

A r'marcher sous la pluie cinq minutes avec toi
Et regarder la vie tant qu'y en a
Te raconter la Terre en te bouffant des yeux
Te parler de ta mère un p'tit peu
Et sauter dans les flaques pour la faire râler
Bousiller nos godasses et s' marrer
Et entendre ton rire comme on entend la mer
S'arrêter, r'partir en arrière
Te raconter surtout les carambars d'antan et les cocos bohères
Et les vrais roudoudous qui nous coupaient les lèvres
Et nous niquaient les dents
Et les mistrals gagnants

A m'asseoir sur un banc cinq minutes avec toi
Et regarder le soleil qui s'en va
Te parler du bon temps qu'est mort et je m'en fou
Te dire que les méchants c'est pas nous
Que si moi je suis barge, ce n'est que de tes yeux
Car ils ont l'avantage d'être deux
Et entendre ton rire s'envoler aussi haut
Que s'envolent les cris des oiseaux
Te raconter enfin qu'il faut aimer la vie
Et l'aimer même si le temps est assassin
Et emporte avec lui les rires des enfants
Et les mistrals gagnants
Et les mistrals gagnants


renaud
Dieu connait l'intention droite des hommes et il est seul juge
m
25 juin 2005 10:18
ha c guignol!
n
25 juin 2005 16:09
mektoubi a écrit:
-------------------------------------------------------
> A m'asseoir sur un banc cinq minutes avec toi
> Et regarder les gens tant qu'y en a
> Te parler du bon temps qu'est mort ou qui
> r'viendra
> En serrant dans ma main tes p'tits doigts
> Pis donner à bouffer à des pigeons idiots
> Leur filer des coups d' pieds pour de faux
> Et entendre ton rire qui lézarde les murs
> Qui sait surtout guérir mes blessures
> Te raconter un peu comment j'étais mino
> Les bonbecs fabuleux qu'on piquait chez l'
> marchand
> Car-en-sac et Minto, caramel à un franc
> Et les mistrals gagnants
>
> A r'marcher sous la pluie cinq minutes avec toi
> Et regarder la vie tant qu'y en a
> Te raconter la Terre en te bouffant des yeux
> Te parler de ta mère un p'tit peu
> Et sauter dans les flaques pour la faire râler
> Bousiller nos godasses et s' marrer
> Et entendre ton rire comme on entend la mer
> S'arrêter, r'partir en arrière
> Te raconter surtout les carambars d'antan et les
> cocos bohères
> Et les vrais roudoudous qui nous coupaient les
> lèvres
> Et nous niquaient les dents
> Et les mistrals gagnants
>
> A m'asseoir sur un banc cinq minutes avec toi
> Et regarder le soleil qui s'en va
> Te parler du bon temps qu'est mort et je m'en fou
> Te dire que les méchants c'est pas nous
> Que si moi je suis barge, ce n'est que de tes
> yeux
> Car ils ont l'avantage d'être deux
> Et entendre ton rire s'envoler aussi haut
> Que s'envolent les cris des oiseaux
> Te raconter enfin qu'il faut aimer la vie
> Et l'aimer même si le temps est assassin
> Et emporte avec lui les rires des enfants
> Et les mistrals gagnants
> Et les mistrals gagnants
>
>
> renaud
>
> Dieu connait l'intention droite des hommes et il
> est seul juge



j'aime beaucoup renaudwinking smiley
m
25 juin 2005 16:10
oui moi ossi jaime tro cette chanson elle est magnifik!

Dieu connait l'intention droite des hommes et il est seul juge
m
25 juin 2005 16:12
Je vous parle d'un temps
Que les moins de vingt ans
Ne peuvent pas connaître
Montmartre en ce temps-là
Accrochait ses lilas
Jusque sous nos fenêtres
Et si l'humble garni
Qui nous servait de nid
Ne payait pas de mine
C'est là qu'on s'est connu
Moi qui criait famine
Et toi qui posais nue

La bohème, la bohème
Ça voulait dire on est heureux
La bohème, la bohème
Nous ne mangions qu'un jour sur deux

Dans les cafés voisins
Nous étions quelques-uns
Qui attendions la gloire
Et bien que miséreux
Avec le ventre creux
Nous ne cessions d'y croire
Et quand quelque bistro
Contre un bon repas chaud
Nous prenait une toile
Nous récitions des vers
Groupés autour du poêle
En oubliant l'hiver

La bohème, la bohème
Ça voulait dire tu es jolie
La bohème, la bohème
Et nous avions tous du génie

Souvent il m'arrivait
Devant mon chevalet
De passer des nuits blanches
Retouchant le dessin
De la ligne d'un sein
Du galbe d'une hanche
Et ce n'est qu'au matin
Qu'on s'asseyait enfin
Devant un café-crème
Epuisés mais ravis
Fallait-il que l'on s'aime
Et qu'on aime la vie

La bohème, la bohème
Ça voulait dire on a vingt ans
La bohème, la bohème
Et nous vivions de l'air du temps

Quand au hasard des jours
Je m'en vais faire un tour
A mon ancienne adresse
Je ne reconnais plus
Ni les murs, ni les rues
Qui ont vu ma jeunesse
En haut d'un escalier
Je cherche l'atelier
Dont plus rien ne subsiste
Dans son nouveau décor
Montmartre semble triste
Et les lilas sont morts

La bohème, la bohème
On était jeunes, on était fous
La bohème, la bohème
Ça ne veut plus rien dire du tout


et celle ci de aznavour la bohème smiling smiley
m
25 juin 2005 20:27
Les parois de ma vie sont lisses
Je m'y accroche mais je glisse
Lentement vers ma destinée
Mourir d'aimer

Tandis que le monde me juge
Je ne vois pour moi qu'un refuge
Toute issue m'étant condamnée
Mourir d'aimer

Mourir d'aimer
De plein gré s'enfoncer dans la nuit
Payer l'amour au prix de sa vie
Pécher contre le corps mais non contre l'esprit

Laissons le monde à ses problèmes
Les gens haineux face à eux-mêmes
Avec leurs petites idées
Mourir d'aimer

Puisque notre amour ne peut vivre
Mieux vaut en refermer le livre
Et plutôt que de le brûler
Mourir d'aimer

Partir en redressant la tête
Sortir vainqueur d'une défaite
Renverser toutes les données
Mourir d'aimer

Mourir d'aimer
Comme on le peut de n'importe quoi
Abandonner tout derrière soi
Pour n'emporter que ce qui fut nous, qui fut toi

Tu es le printemps, moi l'automne
Ton cœur se prend, le mien se donne
Et ma route est déjà tracée
Mourir d'aimer
Mourir d'aimer
Mourir d'aimer
r
3 juillet 2005 11:50
Elle etait si jolie


Elle était si jolie
Que je n'osais l'aimer
Elle était si jolie
Je ne peux l'oublier
Elle était trop jolie
Quand le vent l'emmenait
Elle fuyait ravie
Et le vent me disait...

Elle est bien trop jolie
Et toi je te connais
L'aimer toute une vie
Tu ne pourras jamais
Oui mais elle est partie
C'est bête mais c'est vrai
Elle était si jolie
Je ne l'oublierai jamais

Aujourd'hui c'est l'automne
Et je pleure souvent
Aujourd'hui c'est l'automne
Qu'il est loin le printemps
Dans le parc où frissonnent
Les feuilles au vent mauvais
Sa robe tourbillonne
Puis elle disparaît...

Elle était si jolie
Que je n'osais l'aimer
Elle était si jolie
Je ne peux l'oublier
Elle était trop jolie
Quand le vent l'emmenait
Elle était si jolie
Je n'oublierai jamais

Alain Barrière -

winking smiley
r
3 juillet 2005 11:53

Savoir Aimer


Savoir sourire,
À une inconnue qui passe,
N'en garder aucune trace,
Sinon celle du plaisir
Savoir aimer
Sans rien attendre en retour,
Ni égard, ni grand amour,
Pas même l'espoir d'être aimé,

{Refrain:}
Mais savoir donner,
Donner sans reprendre,
Ne rien faire qu'apprendre
Apprendre à aimer,
Aimer sans attendre,
Aimer à tout prendre,
Apprendre à sourire,
Rien que pour le geste,
Sans vouloir le reste
Et apprendre à Vivre
Et s'en aller.

Savoir attendre,
Goûter à ce plein bonheur
Qu'on vous donne comme par erreur,
Tant on ne l'attendait plus.
Se voir y croire
pour tromper la peur du vide
Ancrée comme autant de rides
Qui ternissent les miroirs

{Refrain}

Savoir souffrir
En silence, sans murmure,
Ni défense ni armure
Souffrir à vouloir mourir
Et se relever
Comme on renaît de ses cendres,
Avec tant d'amour à revendre
Qu'on tire un trait sur le passé.

{Refrain}

Apprendre à rêver
À rêver pour deux,
Rien qu'en fermant les yeux,
Et savoir donner
Donner sans rature
Ni demi-mesure
Apprendre à rester.
Vouloir jusqu'au bout
Rester malgré tout,
Apprendre à aimer,
Et s'en aller,
Et s'en aller...

Florent Pagny

Paroles: Lionel Florence, Pascal Obispo

winking smiley
r
5 juillet 2005 11:27
Francis Cabrel

L'encre de tes yeux

Puisqu'on ne vivra jamais tous les deux
Puisqu'on est fou, puisqu'on est seuls
Puisqu'ils sont si nombreux
Même la morale parle pour eux
J'aimerais quand même te dire
Tout ce que j'ai pu écrire
Je l'ai puisé à l'encre de tes yeux.

Je n'avais pas vu que tu portais des chaînes
À trop vouloir te regarder,
J'en oubliais les miennes
On rêvait de Venise et de liberté
J'aimerais quand même te dire
Tout ce que j'ai pu écrire
C'est ton sourire qui me l'a dicté.

Tu viendras longtemps marcher dans mes rêves
Tu viendras toujours du côté
Où le soleil se lève
Et si malgré ça j'arrive à t'oublier
J'aimerais quand même te dire
Tout ce que j'ai pu écrire
Aura longtemps le parfum des regrets.

Mais puisqu'on ne vivra jamais tous les deux
Puisqu'on est fou, puisqu'on est seuls
Puisqu'ils sont si nombreux
Même la morale parle pour eux
J'aimerais quand même te dire
Tout ce que j'ai pu écrire
Je l'ai puisé à l'encre de tes yeux.

Paroles et Musique: Francis Cabrel 1980 "Fragile"
r
5 juillet 2005 11:51
Charles Aznavour



Je n'aurais jamais cru qu'on se rencontrerait
Le hasard est curieux, il provoque les choses
Et le destin pressé un instant prend la pause
Non je n'ai rien oublié

Je souris malgré moi, rien qu'à te regarder
Si les mois, les années marquent souvent les êtres
Toi, tu n'as pas changé, la coiffure peut-être
Non je n'ai rien oublié

Marié, moi ? allons donc, je n'en ai nulle envie
J'aime ma liberté, et puis, de toi à moi
Je n'ai pas rencontré la femme de ma vie
Mais allons prendre un verre, et parle-moi de toi

Qu'as-tu fait de tes jours ? es-tu riche et comblée ?
Tu vis seule à Paris? mais alors ce mariage ?
Entre nous, tes parents ont dû crever de rage
Non je n'ai rien oublié

Qui m'aurait dit qu'un jour sans l'avoir provoqué
Le destin tout à coup nous mettrait face à face
Je croyais que tout meurt avec le temps qui passe
Non je n'ai rien oublié

Je ne sais trop que dire, ni par où commencer
Les souvenirs foisonnent, envahissent ma tête
Mon passé revient du fond de sa défaite
Non je n'ai rien oublié, rien oublié

A l'age où je portais mon cœur pour toute arme
Ton père ayant pour toi bien d'autres ambitions
A brisé notre amour et fait jaillir nos larmes
Pour un mari choisi sur sa situation

J'ai voulu te revoir mais tu étais cloîtrée
Je t'ai écrit cent fois, mais toujours sans réponse
Cela m'a pris longtemps avant que je renonce
Non je n'ai rien oublié

L'heure court et déjà le café va fermer
Viens je te raccompagne à travers les rues mortes
Comme au temps des baisers qu'on volait sous ta porte
Non je n'ai rien oublié

Chaque saison était notre saison d'aimer
Et nous ne redoutions ni l'hiver ni l'automne
C'est toujours le printemps quand nos vingt ans résonnent
Non je n'ai rien oublié, rien oublié

Cela m'a fait du bien de sentir ta présence
Je me sens différent, comme un peu plus léger
On a souvent besoin d'un bain d'adolescence
C'est doux de revenir aux sources du passé

Je voudrais, si tu veux, sans vouloir te forcer
Te revoir à nouveau, enfin... si c'est possible
Si tu en as envie, si tu es disponible
Si tu n'as rien oublié
Comme moi qui n'ai rien oublié
r
5 juillet 2005 14:35
Willy Denzey
Au firmament

A l'époque de nos jeunes âges,
Je n'ai su tourner la page...
Et dans ce malheur,
J'y ai laissé mon coeur
T'avoir vu allongé là,
Dans ce grand lit blanc et froid
La vie avait quitté ton corps,
Et j'en pleure encore et encore
Je revois ces deux enfants,
Qui ne comptaient pas le temps
On se promettait des choses,
On voyait la vie en rose
On ne s'est jamais quittés,
Même durant les jours d'été
Et puis passe les semaines,
Jusqu'au tout premier « je t'aime »

Au firmament, je veux être avec toi,
Serré contre tes bras
Au paradis des anges
Au firmament, couchés sur un nuage,
Caressant ton visage
Personne ne nous dérange

A présent, j'ai pris de l'âge,
Et je revois ces images
Car depuis ce malheur,
Mon âme reste ta demeure
J'ai tenté de t'oublier,
Et ton sourire, effacer
D'autres t'ont remplacé,
Mais ta présence les a repoussé
Je me souviens de nos nuits,
Où l'amour noyait nos vies
Et je te voulais pour femme,
Quand notre idylle tourna au drame
Je t'ai veillé jour et nuit,
Les Dieux, je les ai tous maudit
Et puis passe les semaines,
Jusqu'au tout dernier « je t'aime »

Au firmament, je veux être avec toi,
Serré contre tes bras
Au paradis des anges
Au firmament, couchés sur un nuage,
Caressant ton visage
Personne ne nous dérange
r
6 juillet 2005 11:06
Chanson d'amour

J'aime tes yeux, j'aime ton front
Ô ma rebelle, ô ma farouche,
J'aime tes yeux, j'aime ta bouche
Où mes baisers s'épuiseront.

J'aime ta voix, j'aime l'étrange
Grâce de tout ce que tu dis,
Ô ma rebelle, ô mon cher ange,
Mon enfer et mon paradis!

J'aime tout ce qui te fait belle,
De tes pieds jusqu'à tes cheveux,
Ô toi vers qui montent mes voeux,
Ô ma farouche ô ma rebelle!

Poème d'Armand Sylvestre
r
14 juillet 2005 22:47
Etre une femme amoureuse




être une femme amoureuse,c'est vouloir ignorer
le danger de tes mains sur la peau de mes reins
être une femme amoureuse, c'est savoir te guider
à nos nuits de duvet, à nos matins félins
.
être une femme amoureuse c'est connaitre de toi
des abysses bleutées et des iles lointaines
être une femme amoureuse c'est te donner ma foi
m'attacher à ton âme et à toutes tes chaines
.
être une femme amoureuse c'est voir dans le lointain
le bleu de l'horizon tout au bout du chemin
être une femme amoureuse ça n'est jamais certain
pour qui ne veux pas croire que tu es magicien
.
être une femme amoureuse ça n'est jamais façile
quand soufflent ces grands vents qui déchirent les voiles
être une femme amoureuse ça n'est pas si futile
ça fait vivre la nuit de si belles étoiles
.
être une femme amoureuse c'est se moquer du temps
c'est t'aimer de midi jusqu'au bout de la nuit
être une femme amoureuse c 'est encore au printemps
être belle et sourire juste, juste pour lui
.
être une femme amoureuse c'est connaitre ta faim
pour mon gout de cannelle et mes autres parfums
être une femme amoureuse ce n'est qu'être le feu
ce n'est qu'être la terre, ce n'est qu'être l'argile
.
être une femme amoureuse c'est peut être si peu
c'est peut être beaucoup, c'est peut être fragile
être une femme amoureuse c'est te donner mon corps
et même fatigué, c'est le donner encore
.
être une femme amoureuse c'est un peu comme éclore
un peu comme le cuivre et surtout comme l'or
.
================Refrain============================
et si nous n'étions qu'un, serions nous en enfer
fondu comme l'acier ou brûlant sous la terre
et si nous n'étions qu'un, qui pourrait nous défaire
de qui aurait on peur et de quelle colère
.
et si nous n'étions qu'un, réunit par le sang
contre toutes les lois ou les dieux tous puissants
et si nous n'étions qu'un, plus solide qu'avant
serions nous sur la terre les uniques vivants


sans nom
r
18 juillet 2005 16:20
Et si tu n'existais pas


Et si tu n'existais pas,
Dis-moi pourquoi j'existerais.
Pour traîner dans un monde sans toi,
Sans espoir et sans regret.

Et si tu n'existais pas,
J'essaierais d'inventer l'amour,
Comme un peintre qui voit sous ses doigts
Naître les couleurs du jour.
Et qui n'en revient pas.

Et si tu n'existais pas,
Dis-moi pour qui j'existerais.
Des passantes endormies dans mes bras
Que je n'aimerais jamais.

Et si tu n'existais pas,
Je ne serais qu'un point de plus
Dans ce monde qui vient et qui va,
Je me sentirais perdu,
J'aurais besoin de toi.

Et si tu n'existais pas,
Dis-moi comment j'existerais.
Je pourrais faire semblant d'être moi,
Mais je ne serais pas vrai.

Et si tu n'existait pas,
Je crois que je l'aurais trouvé,
Le secret de la vie, le pourquoi,
Simplement pour te créer
Et pour te regarder.


joe dassin
 
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