Ce jour-là il faisait ... bon, sans plus. La température ambiante se manifestait jusqu'à vingt-deux degrés Celcius. Le ciel était complètement dégagé mis à part deux ou trois nuages étirés à leur aise sur un fond très noir, c était la nuit. Vers vingt-trois heures et trente-trois minutes exactement, c'est au tour de l'aube proclamant finement sa présence par un beau ruban clair venant transpercer un ciel encore si sombre.
La première chose que l'on peut remarquer c'est cet air qu'elle propose et qui se propage jusqu'à des milliers kilomètres à la ronde. Un air si exceptionnel, toujours innatendu qu'on ne peut assister à sa fraîcheur matinale à son oxygène pure et accompagné par une atmosphère apaisante réconfortante, à aucun autre moment de la journée ou de la nuit! Tout le monde respire profondément les cœurs battant, c'est une nouvelle journée qui s'annonce très calmement.
Un vent débrouillard et des brises discrètes s'invitent à la scène admirablement...
... à suivre
Rien ne s'oublie, rien ne s'imagine, tout se raisonne...
C est avec un terrible embarras que je vous écris ce soir. Effectivement, lorsque je m apprêtais à broder la suite du phénomène, je me rends compte de la catastrophe de mes yeux vus!
Bon, je vous rassure quand même, c était un simple copier collé qui a mal tourné lorsque j ai voulu za'ma za'ma écrire une chose sous une autre forme... enfin bref, jenedisrien...
Voilà, je vous propose de jouer en trouvant dans le texte l erreur, incontestable, en citant la .... choooose en question ?!! Le premier ou la première qui trouve.
Rien ne s'oublie, rien ne s'imagine, tout se raisonne...
chargement...
+ 
