Quand ton coeur se serre, jamais ne désespère. Eloigne toi du doute, sors du mazout. Garde confiance en toi et en ta lumière, chaque pierre, est une stèle sur laquelle ne marchera pas la haine. Enfant du monde enfant du soleil, agrée le ciel et guérit. Trouble au coeur de la nuit, jamais ne faiblit. J'essaie d'avancer, une lanterne à la main, que sera demain? Nul ne le sais à part Dieu dans sa majesté, laisse tomber ta lâcheté, elle ne fera que tout aggraver. Même si c'est dur, aie confiance en lui et résiste. Enfin de partout et de nulle part, quelque part j'entend sa voix. Il est à l'écoute de mes peines, de mes colères, comme une pluie bienfaisante qui étouffe les flemmes. Je ne serais à jamais qu'une humaine une femme, un peu perdue dans ce monde de barge. Ca y est prend le large, à quoi bon lutter, contre des barrière, autant se mette en marge. Dure transition, faite de souffrances, de questions? Ai je le choix, non vraiment je ne crois pas. Quand la Lune, se fend, et du ciel descend mille pluie, ressens un effet bienfaisant. Au coeur, de la nuit, nul ne t'écoute, sauf le très haut, qui lui ne se prend pas de doutes. Ô ciel obscurcit, avion qui traverse le ciel, l'hirondelle bat de l'aile. Sous la fumée des réacteurs, toile d'araignée de chaimtrails. Quand je vois ce monde oui j'ai peur, je ne devrait pas, je sais c'est futile. Il n'y en a qu'un qui nous ait vraiment utile. Un jour tout disparaitra, et seul la connaissance y sera. A mes jours perdus à broyer du noir, à mon désespoir seule ce soir. A quand une revanche, sous la lune blanche. Enfant du désert affectif et social. Je me moque qu'on m'observe et après. Une pierre brulante entre les mains, dans le corps dans les veine. J'en ai marre de la haine, du mensonge et ses faux triomphes. D'un orgueil il se gonfle. Je préfère croire en l'éternel, au tout puissant à mes rêves, laisser le doute dans les tiroirs, espérer pour encore y croire. Le pire c'est se mentir à sois, je cherche la vérité car pourquoi ne pas la chercher, dans un monde où beaucoup de choses nous est caché. Je tomberais plus dans la colère c'est fini, c'est délétère. Quand l'ange passe, dépose une plume, un cadeau dans les coeurs fatigués harassés. Le verglas, la glace ont tout envahi, je me perd sur cette banquise des sentiments, l'iceberg a coulé. Il flotte sous la glace. Plus rien n'est dressé. Trouver la lumière dans l'obscurité est la seule possibilité, le chemin d'une liberté.
Tu connais pas les poèmes en proses ? je te conseille les petits poèmes en proses de Baudelaire. Après cette forme de texte permet plus de spontanéité que les sonnets par exemple. Je vois pas si tu vois. Bonne soirée.
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