Quand l'astre se lève avec lui son cortège de lueurs qui percent la nuit tranquille. Telle un craquèlement. Joliesse d'une onde qui prend fin pour laisser place au fil de l'aube nouvelle. Forte et chaude dans sa froideur.
Remonte vers l'ocre stellaire.
Icare, n'est plus, ailes brulées, narcisse se meure dans le reflet des rayons du soleil.
Narcisse, a perdu son miroir dans le perçant du jour. Danse les mots, les lueurs du jour. Calme d'une prière clamer par l'expiration de la nuit.
Icare tombe dans l'océan des rayons du soleil. A trop vouloir l'atteindre il s'est brulé les ailes. Il se retrouve là meurtri , ses habits déchirés.