Un expert espagnol confiait la semaine dernière que la coopération anti-terroriste entre le Maroc et l’Espagne a atteint «un niveau jamais vu». Et c’est le moins que l’’on puisse dire. La presse ibérique révèle la participation d’agents secrets marocains à des opérations de traque des jihadistes chez le voisin du Nord. La coopération est si avancée que les deux royaumes
Alors que le phénomène des jeunes qui partent en Syrie et en Irak pour combattre dans les rangs des groupes jihadistes continue d’alimenter les débats, notamment en Europe, l’artiste d’origine marocaine Ismaël Saïdi vient apporter sa contribution pour faire comprendre la question. Dans une pièce humoristique, intitulée «Djihad», il évoque l’histoire de trois jeunes jihadistes qui découvrent une autre
Daesh diversifie ses recrutements. L’organisation d’Aboubaker Al Baghdadi a jeté son dévolu sur les femmes. Les ralliements de la gent féminine sont de plus en plus nombreux. En vue de freiner une tendance aux conséquences graves, le Maroc et l’Espagne viennent de démanteler une cellule spécialisée. Parmi les interpellés figure une ressortissante chilienne.
Alors que quatre présumés jihadistes ont été encore arrêtés jeudi à Marrakech et Laâyoune, dans le sud, le nord marocain reste aussi une zone où opèrent plusieurs réseaux de recrutement. Dans les quartiers pauvres de Tanger comme Béni Makada, à Nador et à Melilla, ces recruteurs emploient toutes sortes de moyens pour convaincre la jeunesse de partir faire le jihad. Les témoignages sur France
Le chef de Daesh a annoncé, dans un message audio adressé à ses fidèles, que son «Etat islamique» devrait s’étendre dans quatre pays arabes dont deux au Maghreb : la Libye et l’Algérie. Au Maroc, le ministre de l’Intérieur a reconnu, au parlement, que le royaume fait face à une menace très sérieuse de la part de l’organisation d’Abou Bakr Al Baghdadi.