Entre le 21 février et le 6 mars, tous les centres de rétention connus à travers le pays ont relâché les migrants arrêtés à Gourougou le 10 février. Le ministère de l’Intérieur a renoncé à les expulser, mais les arrestations continuent à Nador.
L’adhésion des Marocains aux consultations électorales demeure faible. Le CNDH recommande la participation aux élections communales des militaires et autres agents des forces de l’ordre ainsi qu’aux résidents étrangers, pendant au moins cinq ans au royaume.
Quatre ans plus tard, les familles des personnes mortes en marge des marches du Mouvement du 20 février réclament toujours la vérité sur les causes exactes des décès. C’est le cas des proches des cinq jeunes d’Al Hoceima et du «Adliste» Kamal Ammari, originaire de Safi.
Après la surenchère politicienne du PAM, le projet de loi sur le terrorisme est de nouveau au cœur d’une polémique. Ses protagonistes sont le site d’actualité Hespress et le ministère de la Justice. Cette fois la controverse concerne les réseaux sociaux.
Le CNDH s’est engagé lundi, devant l’ONU, à mettre en place un mécanisme de prévention de la torture à travers des visites surprises en prison. Le CNDH souhaite mettre en œuvre ce mécanisme, mais est-il le mieux placé ?
Après l’AMDH, la LMDH et le Rassemblement mondial des amazighs, huit ONG sahraouies ont finalement décidé de bouder le Forum des droits de l’Homme de Marrakech. Une décision politique qui épargne à ces ONG proches du Polisario de prendre part à une messe placée sous le haut patronage du roi Mohammed VI.
Après le Brésil, le Maroc abrite, du 27 au 30 novembre, la deuxième édition du Forum mondial des droits de l'Homme (FMDH)à Marrakech. En marge de ce rendez-vous international, le Conseil National des Droits de l’Homme (CNDH) a tenu aujourd'hui à Casablanca une conférence de presse pour revenir sur les attentes et les différentes actions prévues pour l'événement.
A deux semaines de la tenue à Marrakech du Forum mondial des droits de l’Homme, une demande de participation à l’événement émanant de la CODESA, l'association présidée par Aminatou Haidar, a mis les organisateurs dans l’embarras. L'ONG s’accroche à son droit de contribuer à un atelier sur la justice transitionnelle. Les organisateurs tardent à répondre à la requête de
Le 14 septembre 2006, le journal Libération annonçait en première page : «les tombes de Bennouna et Alaoui localisées» (1). Le 23 septembre, une exhumation médiatisée des dépouilles est effectuée pour procéder à un prélèvement afin d’identifier les corps par comparaison génétique entre l’ADN des dépouilles et celle des membres de leur famille.