Dans sa contribution au débat sur la réforme du Code de la famille, conformément à la récente lettre royale adressée au gouvenrement pour accélérer ce chantier, l’ADFM a soumis des propositions axées particulièrement sur la non-discrimination. Elle insiste notamment sur une harmonisation avec les principes constitutionnels, mais aussi les dispositions internationales auxquelles le Maroc a adhéré.
Avant que le Maroc dispose, en 1962, d’une toute première constitution, plusieurs projets verront le jour dès le début du 20e siècle. Parmi eux, un projet de texte constitutionnel publié par le journal tangérois Lissan Al Maghrib. Un texte dans lequel ses rédacteurs appellent à l’octroi de libertés individuelles, d’expression et de culte aux Marocains. Histoire.
Après avoir opéré une incursion sur un terrain exclusivement royal, le 19 février, exigeant de Mohammed VI l'organisation d'élections législatives anticipées au cas où Aziz Akhannouch échouerait à apporter des solutions aux problèmes des Marocains, le chef du PJD opère un rétropédalage et présente son «mea-culpa».
Adoptée en lecture définitive par l’Assemblée nationale, le 23 juillet dernier, la loi sur le séparatisme a été scrutée en partie par le Conseil constitutionnel. Ce dernier a statué sur la constitutionnalité ou non de quelques articles et alinéas ayant fait l’objet d’une QPC.
L’étau se resserre sur Mustapha Ramid. Driss Lachgar, son ancien «allié» pour le projet d’un «front national» entre l’USFP et le PJD en 2009, se mobilise pour l’évincer du gouvernement. Une pression de plus sur El Othmani.