D’après des informations de la police reprises par la MAP, la jeune ressortissante Française nommée Jennifer 23 ans et sa petite de 16 mois, n’auraient pas été maltraitées ou séquestrées dans la ville de Khouribga en vue d'un mariage forcé. Voilà une version des faits qui vient contredire les propos tenus sur le journal Le Parisien que nous rapportions hier. [lien]
Les festivités organisées à Santa Pola dans l’est de l’Espagne le week-end dernier ont été quelque peu ternies par un drame. Un ressortissant Marocain a été sauvagement assassiné. La victime âgée d’une trentaine d’années a été retrouvée morte, gisant dans un bain de sang dans une petite ruelle. D’après les premiers éléments de l’enquête le marocain, dont l’identité n'a pas été divulguée, aurait succombé à des blessures causées par trois coups à l'arme
Les forces de l'ordre ont procédé à la dispersion aujourd’hui, de près de 300 manifestants qui bloquaient l'accès au port de Sidi Ifni dans le sud-ouest du pays sans faire de blessés. C’est ce qui émanerait des affirmations de la police, citée par Maghreb Arabe Presse (Map). Les services de police ont également affirmé qu’aucun blessé n’a été enregistré lors de l’intervention qui a donné lieu à l’arrestation d’un individu.
48 heures après les violents affrontements survenus au Sud du Maroc (on parle d’une quarantaine de blessés), plus précisément à Sidi Ifni, entre les forces de l’ordre et des habitants de la commune (d’environ 40 000 habitants), la tension semble être légèrement apaisée. Néanmoins, la ville demeure sous haute surveillance et les éléments de la sécurité nationale veillent à restaurer le calme.
Les deux hebdomadaires du groupe Presse Directe, dirigés par Ahmed Benchemsi ont subi un blackout surprise de la part des autorités. Après un week-end animé pour le directeur des deux publications, une nouvelle convocation par la police vient de tomber. L'affaire Nichane+Telquel promet encore des rebondissements. Récit
Comment traduire, lire, expliquer, les faits qui se sont déroulés, succédés, durant plus de 4 heures en plein cœur de Casablanca ? Tout a débuté à 8 heures 45, ce samedi, au consulat général des Etats-Unis d’Amérique, situé dans le quartier Moulay Youssef (voisin de pallier du siège social de Attijariwafa bank).
Après le décès des deux kamikazes, hier matin, et de celui survenu en plein milieu d’après-midi (15 heures 30), toujours dans le quartier El Fida de Casablanca, la journée a connu un double rebondissement. En effet, traqué par les services de police, le troisième kamikaze, en fuite depuis l’aube, était neutralisé dans le quartier populaire Hay Farah.
Décidemment, le Maroc est frappé de plein fouet par des attentats terroristes initiés par des jeunes islamistes en mal de vivre. Après l’attentat perpétré à Casablanca, quartier de Sidi Moumen le 11 mars dernier dans un cybercafé, c’est au tour du quartier casablancais de El Fida d’être le théâtre d’une scène de violence aveugle.
Les protestations violentes émises par les banlieues françaises, au regard de l’histoire de l’Hexagone, ne sont pas des manifestations exceptionnelles. En France, elles s’inscrivent dans une longue tradition. Le quotidien britannique, The Independent, l’a pertinemment rappelé, en ces termes : « A partir de l'assaut de la Bastille, l'image de Paris est désormais inséparable de celle de la Révolution française. Sanctifiée dans les paroles de la « Marseillaise », cette