Depuis 1914, les gisements de gaz ou de pétrole dont pourrait disposer le Maroc ont intéressé les compagnies étrangères, le Protectorat et même les autorités marocaines. Si l’exploration pétrolière et gazière s’accélère et s’interrompt au fils des années, aucune annonce faite par les compagnies n’est venue confirmer l’ambition du royaume de devenir un pays exportateur.
L’embargo sur le pétrole russe, instauré par l’Union européenne, a produit une vaste opération de détournement internationale qui bénéficie à certains acteurs comme en Inde et au Maroc.
Plusieurs milliers d’internautes marocains, acteurs politiques et de la société civile, ont diffusé sur les réseaux sociaux des publications appelant à une réduction des prix du carburant à ce qu’ils ont été avant la guerre entre l’Ukraine et la Russie. Ils ont aussi exigé le départ du chef du gouvernement, Aziz Akhannouch.