Près de trois semaines après l’appel de la SNCF suite à sa condamnation, les cheminots marocains sont toujours sous le choc. Ils essaient de rassembler leurs forces pour la suite du combat qui les oppose au groupe ferroviaire français. Parallèlement, des voix s’élèvent pour dénoncer le silence des autorités françaises et marocaines dans une «affaire historique».