Des ventes de biens immobiliers hérités par des filles et leur parentèle très étendue d’héritiers d’ascendance masculine, sont encore réalisées de nos jours. Les bénéfices réalisés par la vente ne montent généralement pas très haut, puisque souvent les héritiers n’ont comme quote-part qu’une somme dérisoire. Les lointains «héritiers»