Un ancien jihadiste marocain en Syrie vient de décéder à la prison Salé II. Une association islamiste attribue les causes de la mort la thèse de la négligence médicale. Elle demande l’ouverture d’une enquête en vue de déterminer les responsabilités au sein de la Haute délégation des prisons et de la tutelle, la présidence du gouvernement.
Désormais, la Belgique n’est plus le seul pays de l’Union Européenne à avoir conclu un accord avec le Maroc pour le transfèrement des prisonniers condamnés. L’Italie vient de lui emboîter le pas. Les Pays-Bas et la France sont également demandeurs d'un tel accord avec le royaume, mais n'ont pas encore réussi à convaincre le gouvernement marocain.
Qui a dit que les repas halals servis dans les prisons françaises étaient contraires au principe de la laïcité ? Pas Jean-Marie Delarue. Celui qui est contrôleur général des prisons en France, depuis 2008, vient de publier son rapport annuel pour 2013, dans lequel il recommande, notamment, aux administrations pénitentiaires d’autoriser les repas dits «confessionnels».
La question de la peine de mort reste toujours un sujet de discorde au Maroc. Un groupe de parlementaires marocains vient de déplorer le refus du ministre de la Justice, Mustafa Ramid, d’abolir la peine capitale dans le royaume alors que la nouvelle constitution garantit le droit à la vie.
Après plus de quatre mois d’attente, la Haute délégation des prisons à un nouveau patron : Mohamed Salah Tamek. Ce Sahraoui, qui a soutenu le Polisario par le passé, a lui-même connu les prisons marocaines en tant que prisonnier politique. Il succède à Hafid Benhachem qui avait été écarté suite au Danielgate.
Fatéma Oufkir est décédée, hier, à 78 ans. Elle était l’un des membres de la famille Oufkir les moins médiatisés. Au moment de la préparation du coup d’Etat de 1972, l’épouse du général et ministre de la Défense, avait la tête ailleurs, pensant plutôt au divorce. Le cours des évènements lui réservait une autre issue : dix-neuf ans de prison pour un
Pour «éviter qu’un nouveau Daniel Gate se reproduise», deux associations marocaines viennent de présenter une proposition de loi pour réformer le droit à la grâce royale. Celle-ci vise à remplacer la procédure existante au profit d’une autre dite plus «démocratique».
Cela faisait 9 ans qu’Abdelhak Eddouk, ce Marocain arrivé en France dans les années 1980, officiait comme aumônier musulman à la plus grande maison d’arrêt d’Europe, celle de Fleury-Mérogis, en banlieue parisienne. Et pourtant, fin février 2013, l’homme, qui préside aussi l’Union des musulmans de Grigny, dépose sa démission auprès de l’aumônier national musulman Moulay El