Depuis le retrait de la reconnaissance de l’Exécutif des musulmans de Belgique et le transfert de la gestion des affaires courantes au bureau de l’instance, la situation est loin de s’apaiser entre les représentants du culte et le ministre belge de la Justice, Vincent Van Quickenborne. Dans un nouvel épisode judiciaire, il est visé par une plainte pour ingérence arbitraire.