Sans grande surprise, le Sénat français a validé la proposition de loi socialiste sur le vote des étrangers en France. Une étape de plus a été franchie, mais il reste encore un long chemin à parcourir pour le texte. Alors que le processus s’éternise, certaines communes ont pris de l’avance sur la question.
Le renouvellement de l’accord de pêche Maroc-UE, qui n’attend plus que l’aval du parlement européen, semble en bonne voie. La commission de la pêche du parlement a rendu un verdict positif, à l’issue d’un vote serré. Les opposants n’ont pas dit leur dernier mot.
Le Parti Socialiste l’avait annoncé comme l’une de ses priorités, et semble décidé à passer à l’acte. Les députés de gauche, actuellement majoritaires au Sénat français, vont prochainement y soumettre un texte en faveur du droit de vote des étranger non-européens lors des élections locales françaises. Toutefois, la partie est loin d’être gagnée.
Des députés MRE au Parlement, ce n’est pas pour bientôt. Le Code électoral présenté mercredi aux partis politiques ne prévoit pas l’élection de candidats MRE lors des prochaines élections législatives dont la date reste toujours indéterminée. Par contre, le vote sera facilité. Si pour voter à l'étranger, rien n'est encore gagné, le ministère de l'Intérieur
Après le référendum constitutionnel, le Maroc s’apprête pour les législatives. La date du 7 octobre, si elle est confirmée convient déjà à l’ensemble de la classe politique, à l’exception du PJD et de l’USFP. Ces deux partis estiment très court, les deux mois et demi restant pour l’adoption du Code électoral ainsi que de nombreux autres textes, comme la loi organique sur le vote et
Vendredi 17 juin 2011, le roi Mohammed VI a adressé au peuple marocain un discours sur la réforme constitutionnelle. Yabiladi.com vous propose le texte intégral du discours royal.
Le calendrier électoral se précise de plus au Maroc. Après les consultations sur la future constitution, la classe politique doit se préparer aux prochaines échéances électorales. Le référendum serait prévu pour la fin juin ou le premier juillet, et les législatives le 7 octobre prochain. Entre temps, le gouvernement ainsi que le Parlement devront être dissous et l’ensemble des réformes politiques
Mustapha Ramid, député du Parti Justice et développement (PJD) et président du groupe Justice et développement à la Chambre des représentants a renoncé hier mercredi à démissionner. Il a fait savoir sa nouvelle décision lors d’une conférence de presse à Rabat, a rapporté l’AFP.
Dans le cadre de son plaidoyer national pour une loi sur le droit d’accès à l’information publique, le CMF MENA a porté son intérêt sur un domaine rarement exploré au Maroc : celui du système d’information parlementaire marocain.