En 2012, l’ancien «ministre de la Défense» du Polisario, Lamine Ould El Bouhali avait reconnu dans des déclarations à un quotidien espagnol qu’une dizaine de jeunes sahraouis avaient rejoint les groupes terroristes au Sahel. Cinq ans plus tard, le phénomène a pris des proportions inquiétantes au point qu’un média du Polisario lui consacre un long article. Détails.
Daesh diversifie ses recrutements. Le profil du chef de la cellule démantelée, hier, à Melilla et Nador est une exception. Il n’a aucun antécédent criminel et il était même promu à un bel avenir politique dans les rangs du Partido Popular (PP).