L’affaire du ressortissant espagnol, condamné au Maroc à 30 ans de prison pour les viols de 11 enfants avant d’être gracié ce mardi par le roi, continue de faire scandale au Maroc. Pendant que le débat s’amplifie sur les réseaux sociaux, d’autres voix s’élèvent contre les autorités marocaines, accusées d’avoir laissé filer un pédophile de plus de ses prisons. Retour sur les
La crise que connaît notre monde, si elle a déjà brisé des économies, jeté des travailleurs dans la rue, des hommes et des femmes auxquels elle avait déjà pris leur maison, leur retraite, - familles et vies broyés. Cette crise, que l’on dit presque sans précédent, n’a-t-elle pas aussi détruit, ce quasi paradigme, cette loi d’airain qui consistait à penser que les Damnés du Monde
Le Polisario serait-il en train de rendre son dernier souffle ? C’est ce qu’affirme en tout cas l’éditorialiste espagnol Ramon Moreno, dans une analyse intitulée «l’agonie du Polisario», publiée ce week-end. L’Algérie, soutien du mouvement séparatiste, y est également pointée du doigt. En voici les grandes lignes.
L’Espagne n’a pas l’intention de rendre Sebta et Melilla au Maroc. Pour la diplomatie espagnole, la question ne devrait même pas faire l’objet d'un débat. C’est ce qu’a déclaré le ministre espagnol des Affaires étrangères José Manuel García-Margallo, mardi, à Madrid, lors d’un débat auquel a pris part également le ministre marocain délégué Youssef Amrani.
Fort symboliquement, l’entretien téléphonique entre le Roi Mohamed VI et le chef de gouvernement espagnol, Mariano Rajoy intervient le jour même de la nomination par le souverain du nouveau gouvernement et annonce une prochaine visite de Rajoy au Maroc. Il s’agira de la première visite que Rajoy effectuera à l’étranger.