A moins d’un retrait de la nationalité espagnole à Daniel Galvan, le retour du pédophile dans sa cellule de la prison de Kénitra est impossible. Deux options s’offrent au Maroc : le juger de nouveau devant les tribunaux espagnols ou qu’il accomplisse le restant de sa peine en Espagne. Ce sont là les conclusions de la première réunion, tenue hier à Madrid, entre une délégation marocaine et ses hauts