A moins d’un retrait de la nationalité espagnole à Daniel Galvan, le retour du pédophile dans sa cellule de la prison de Kénitra est impossible. Deux options s’offrent au Maroc : le juger de nouveau devant les tribunaux espagnols ou qu’il accomplisse le restant de sa peine en Espagne. Ce sont là les conclusions de la première réunion, tenue hier à Madrid, entre une délégation marocaine et ses hauts
L’annulation de la grâce royale accordée à Daniel Galvan ne sera pas automatiquement suivie par un retour immédiat du violeur dans sa cellule de la prison de Kénitra. La convention de 1997 signée entre Rabat et Madrid sur la coopération judiciaire écarte cette possibilité. Les deux parties ont convenu de ne pas extrader leurs ressortissants. Dans les meilleurs des cas, si on le retrouve, Daniel pourrait purger le restant