La jeunesse marocaine devient de plus en plus violente. C’est une réalité qu’on ne peut plus nier. Pourtant, on peut bien y trouver des solutions, après l’avoir bien étudiée. C’est ce à quoi se livre Fatima Mernissi dans son ouvrage «Réflexions sur la violence des jeunes».
Alors que la grogne sociale au Maroc manifeste depuis deux semaine l’un de ses aspects, à travers la hausse inquiétante de l’émigration clandestine, cette question a été évoquée par certains partis comme le PPS et le PAM mais boudée par le PJD.
On dit qu'au Maroc, le sentiment national s'est évanoui. Civisme, valeurs nationales, patriotisme seraient devenus, aux yeux des jeunes, des reliques du passé ; qu'il suffit de voir les symboles et les traditions tombés en déshérence, sinon brocardés, le discours officiel satirisé. Que les anciennes identités collectives ont été moissonnées par de nouvelles individualités et qu'au final, corrodé, le
Le Comité exécutif du Parti de l'indépendance a appelé cette semaine le gouvernement à corriger et à lutter contre les stéréotypes négatifs qui entourent le projet de loi réinstaurant le service militaire.
L’empêchement dans la transmission intergénérationnelle est un facteur d’engagement dans la violence extrême.
En investissant dans notre jeunesse dans le domaine de la santé et du secourisme, c’est vers un bien-être global qu’on se dirige.