Dans un rapport publié en ce mois de février, l’Organisation mondiale de la santé (OMS), l’UNICEF et la revue scientifique médicale britannique The Lancet se sont intéressés à l’épanouissement des enfants. L’indice classe le Maroc à la 14e place dans la région MENA, derrière l’Algérie, la Tunisie et l’Egypte.
Dans un rapport publié la semaine dernière, la Banque mondiale aborde la question des tempêtes de poussière et de sable dans la région MENA, évoquant des pertes de 150 milliards de dollars et plus de 2,5% du produit intérieur brut (PIB) en moyenne, et évoque le cas du Maroc.
Dans son rapport annuel publié ce jeudi sur l’Indice de perception de la corruption (IPC) dans le monde, Transparency International classe le Maroc 80e sur 180 pays. Ainsi, le royaume perd 7 places par rapport à l’année dernière.
Tout en améliorant son score, qui passe de 4,99 à 5,10 points sur 10, le Maroc gagne aussi quatre places au classement mondial établi par The Economist Intelligence Unit, publié ce mercredi. Dans cet indice de démocratie, le Maroc maintient une bonne place dans la région MENA.
En pleine campagnes électorales pour les législatives anticipées de ce dimanche en Espagne, le parti Vox n’a pas mâché ses mots s’agissant du Maroc, qu’il a accusé de «faire du chantage» au royaume ibérique. Le PP a lui aussi abordé le dossier des mineurs non accompagnés, majoritairement marocains.
Bien qu’il stagne à la 75e place depuis l’année dernière, le Maroc continue de faire mieux que ses voisins maghrébins et africains. Il arrive ainsi à la première place au Maghreb et troisième en Afrique, selon l’indice de compétitivité du World Economic Forum (WEF).